Biographie Troisième fils d'une famille modeste de sept enfant, Bram Stoker est né à Clontarf, près de Dublin en 8 Novembre 1847. Il fit ses études au Trinity collège à et obtient son diplome en 1870 et devient par la suite choniqueur dramatique au Dublin Mail. Puis se lit d'amitié avec un acteur afluent; Henry Irving, qui lui permettra de sa faire une place
RÉSUMÉ L’histoire se déroule en 1960. Oscar est un petit garçon qui vit à l’hôpital des enfants, car il a une leucémie. Il a dix ans, mais il pense qu’il a l’air d’en avoir sept et que sa tête ressemble à un Crâne d’Œuf à cause de son cancer. À l’hôpital il fait la connaissance de Mamie-Rose, la dame rose », qui travaille là pour réconforter les enfants malades. Elle encourage Oscar à écrire des lettres à Dieu pour se sentir moins seul. Bien qu’il ne croie pas vraiment que Dieu existe, il le fait et lui demande un vœu par jour. Pour aider Oscar à prendre plaisir au reste de sa vie, Mamie-Rose lui donne la possibilité de faire la connaissance de chaque étape de la vie en inventant un jeu dans lequel un jour compte pour 10 ans. En conséquence, elle améliore le reste de sa vie. Dans le reste du livre, on parlera de son âge », 10 ans de plus à chaque lettre. Finalement, il meurt à 110 Moment préféré L’hôpital, c’est le pied si tu es un malade qui fait plaisir. Moi je ne fais plus plaisir. Depuis ma greffe de moelle osseuse, je sens bien que je ne fais plus plaisir. Quand le docteur Düsseldorf m’examine, le matin, le cœur n’y est plus, je le déçois. Il me regarde sans rien dire comme si j’avais fait une erreur. Pourtant je me suis appliqué, moi, à l’opération ; j’ai été sage, je me suis laissé endormir, j’ai eu mal sans crier, j’ai pris tous les médicaments. Certains jours, j’ai envie de lui gueuler dessus, de lui dire que c’est peut être lui, le docteur Düsseldorf, avec ses sourcils noirs, qui l’a ratée l’opération. Mais il a l’air tellement malheureux que les insultent me restent dans la gorge. Plus le docteur Düsseldorf se tait avec son œil désolé, plus je me sens coupable. J’ai compris que je suis devenu un mauvais malade, un malade qui empêche de croire que la médecine, c’est formidable. La pensée d’un médecin, c’est contagieux .Maintenant tout l’étage, les infirmières, les internes et les femmes de ménage, me regarde pareil. Ils ont l’air triste quand je suis de bonne humeur ; ils se forcent à rire quand je sors une blague » Ce que j'ai aimé de ce passage Ce passage est pour moi le reflet de ce que pourrait ressentir un patient si j'agis de cette façon avec lui. Cela me fait donc réaliser qu’il faut avoir un comportement adapté par rapport à l’approche de la mort de quelqu’un, afin que celui ci ressente le moins possible qu’on le considère comme une personne qui est sur le point de mourir, même si c’est le cas. Ce passage est donc le reflet du regard d’un enfant sur la vie, la maladie et la mort. APRÉCIATION Premierement ce livre est de loin un grand succès, car il nous fait réfléchir sur les étapes de la vie qu'on va peut-être vivre plus tard et il vient nous chercher pendant la lecture. Qu'est ce que j'ai vraiment aimé de ce livre c'est qu'il y a beaucoup d'information bien coordonné dans un court livre qui n'as seulement que 99 pages. Moi qui n'est pas un bon lecteur a eu de la facilité a lire le cette histoire grâce a la façon que l'auteur a bien diriger ses information de sorte a ce que tout les sortes de lecteur, qu'ils soient bon lecteur ou non. Deuxièmement ce livre est une histoire extrêmement touchante , j'en a même pleurer durant la lecture . Et même la langue utilisé standard et familière est de façon pour garder les lecteur intéressé. En voici quelques exemples. 1" L’hôpital, c’est le pied si tu es un malade qui fait plaisir."2"Certains jours, j’ai envie de lui gueuler dessus, de lui dire que c’est peut être lui, le docteur Düsseldorf, avec ses sourcils noirs". Pour finir je conseille ce livre a toute les sortes de lecteur que tu soi bon ou moins bon ce la ne fais pas de différence avec ce livre qui est un des meilleur livre que j'ai jamais lu , il est très profond et il est très bon. Titredu livre : Oscar et la dame rose Auteur : Eric-Emmanuel Schmitt Editions : Magnard Année de parution : 2006 Genre/catégorie de roman : Roman épistolaire s-és maladie, cancer, mort, religion, amitié Auteur du roman (éléments biographiques) Eric-Emmanuel Schmitt est né le 28 mars 1960. C’est un auteur, dramaturge, nouvelliste, romancier,
Oscar a dix ans et vit désormais à l'hôpital. Même si personne n'ose le lui dire, il sait qu'il va mourir. Parmi les dames en blouse rose qui viennent passer du temps avec les enfants malades, il en est une qui lui propose, pour qu'il se sente moins seul, d'écrire à Dieu. Ces lettres décrivent douze jours dans l'existence d'Oscar, des jours cocasses et poétiques, pleins de personnages drôles et émouvants. Douze jours qui seront peut-être les derniers. Mais, grâce à Mamie-Rose qui noue avec Oscar un lien très fort, ils deviendront légende. C'est un livre de lumière. Un pur moment de tendresse, un hymne à la vie, une bataille gagnée contre la mort. Violaine Gelly, Psychologies magazine. Un prodigieux conte métaphysique sur la souffrance et la lâcheté. Audacieux, et sacrément plus efficace qu'une thèse ou de beaux discours. François Busnel, L'Express. Un livre qui restera pour les âges à venir. Françoise Xenakis, Télé Matin France 2. Biographie d'Eric-Emmanuel Schmitt Ses livres, traduits en quarante-six langues, atteignent des tirages vertigineux et ses pièces sont jouées régulièrement dans plus de cinquante pays Eric-Emmanuel Schmitt est l'un des auteurs francophones les plus lus et les plus représentés dans le monde. Il est aussi l'auteur le plus étudié dans les collèges et les lycées. Né en 1960 à Lyon, cet agrégé de philosophie, docteur en philosophie, normalien de la rue d'Ulm, auteur d'une thèse sur Diderot, s'est d'abord fait connaître au théâtre en 1991 avec La Nuit de Valognes, son premier grand succès. Il n'arrêtera plus. Non seulement les plus grands acteurs ont interprété ou interprètent ses pièces – Belmondo, Delon, Francis Huster, Jacques Weber, Charlotte Rampling et tant d'autres –, mais le Grand Prix de l'Académie française couronne l'ensemble de son oeuvre théâtrale dès 2001. Romancier lumineux, conteur hors pair, amoureux de musique, Eric-Emmanuel Schmitt fait passer une émotion teintée de douceur et de poésie dans tous les arts. Il est à la fois scénariste, réalisateur, signe la traduction française d'opéras, sourit à la BD et monte lui-même sur scène pour interpréter ses textes ou accompagner un pianiste ou une soprano... En 2012, l'Académie royale de la langue et littérature françaises de Belgique lui offre le fauteuil n° 33, occupé avant lui par Colette et Cocteau. En 2016, il a été élu à l'unanimité par ses pairs comme membre du jury Goncourt.
Chapitre1 : Lire une nouvelle réaliste.- Support 1 : extraits des « Contes de la bécasse » de Maupassant : « la rempailleuse » et « Aux Champs » et en illustration l’adaptation de la série « L’Ami Maupassant » (vol 1 et 2).Exposé : lire « Histoire d’une fille de ferme »- Objectifs : analyser les caractéristiques du genre. Résumé Fausse identité est un court texte de roman policier de l'auteur Norah McClintock. Un jeune homme du nom de Chuck Benson est une police de bureau qui essaye tant bien que mal d'avoir une promotion. Alors son travaille consiste a regarder dans des journaux de petite conter des États-unis. Apres avoir passer un temps de fou au même grade, il trouve un image d'une jeune fille d'a peu près 16 ans et grâce a un logiciel d'identification, il réalise bien, un peu plus tard , que c'est la fille d'un criminel très recherché. Moment Préféré le bout du court texte où Chuck parle avec son ami sur le fait qu'il ne croit pas que le fameux logiciel fonctionne. APRÉCIATION Ce court texte est très intéressant car ce n'ait pas le sorte d'histoire ou il y a un héros qui réussi tous ce qu'il fait presque du premier coup. C'est l'histoire d'une personne bien normale qui pour une fois il a la chance de prouver ce qu'il vaut vraiment. Une autre chose que j'ai aimé, c'est que le texte est aussi un peu informatique car il nous apprend un peu plus sur un métier que je ne connaissait pas avant ainsi que pour le logiciel qui permet d'identifier quelqu'un a l'aide d'une de ses photos d'enfance. Donc je trouve que les idées sont bien enchainé et il nous permettre dans apprendre plus en même temps. Plus je disais que les idées sont bien enchaîné car la façon qu'elle a présenté ses idées on s'avait toujours de quoi elle voulait parler et on pouvait facilement différencier la fin de ses idées. Comme quand elle passe de la description du personnage a l'explication de l'élément déclencheur jusqu'à l'explication du logiciel de recherche des personnes disparues assister par ordinateur RPDAO . Pour conclure, ce court texte est un franc succès qui est tant qu'a moi écrit par une très bonne auteure car ce livre en version original doit être un franc chef d'oeuvre.
Résumé Joseph Bernstein est un enfant juif. Lorsque les rafles commencent en 1942, ses parents décident de le cacher. Il est emmené dans un pensionnat catholique qui se trouve en Belgique et qui est dirigé par le père Pons. Durant toute la durée de la guerre, il y vivra en compagnie d’autres enfants, dont certains sont aussi des réfugiés
Le contexte du récit se base sur l’histoire d’un jeune garçon prénommé Oscar. Souffrant de la leucémie, il doit séjourner à l’hôpital. Et du haut de ses dix ans, il s’imagine avoir sept ans. Il rencontre Mamie Rose qu’il surnomme la dame rose ». Elle visite les enfants hospitalisés afin de les divertir. Afin de l’aider à supporter sa maladie et la révolte d’Oscar vis-à-vis de ses parents lâches, elle lui propose jouer à un jeu inventé dans lequel un jour compte pour une période de dix ans. Petit à petit elle parvient à améliorer le reste de la vie d’Oscar, très court mais de façon intense. Première lettre d’Oscar et la dame rose Oscar commence sa première lettre, où il parle de Mamie-Rose ; il la présente, parle de sa rencontre avec elle et des confidences qu’elle lui fait son précédent métier était catcheuse. A présent qu’elle est âgée, elle ne peut plus qu’exercer à l’hôpital. Sans détour, elle parle de la mort inévitable qui attend Oscar ; c’est la seule personne à qui il peut en discuter. Elle suggère alors à Oscar d’écrire des lettres en s’adressant à Dieu, en lui demandant une faveur par jour. Oscar s’exécute donc. Deuxième lettre Dans sa deuxième lettre, Oscar évoque ses parents qui viennent lui rendre visite tous les dimanches d’ordinaire. Or, il remarque que ses parents s’entretiennent lors d’une de leurs visites avec le docteur Düsseldorf. Ce dernier leur annonce la mauvaise nouvelle concernant la santé d’Oscar. Très déprimés, les parents sont loin de se douter qu’Oscar a tout entendu ; il ressent beaucoup de déception, et se laisse aller à en parler avec Mamie-Rose. Sa haine pousse Marie-Rose à suggérer un nouveau jeu ; elle suggère qu’à partir de ce jour, toute nouvelle journée compterait pour dix années, permettant à Oscar de faire l’expérience de chaque étape importante de sa vie. Troisième lettre La période de l’adolescence dans Oscar et la dame rose ; Oscar parle de ses compagnons d’infortune présents à l’hôpital, notamment Peggy Blue, dont il est amoureux. Peggy Blue rencontre un problème sanguin qui a pour effet principal de lui donner un teint bleuté à la peau. Malheureusement l’affection n’est pas réciproque, de surcroît Popcorn, un autre patient un peu jaloux s’interpose lorsqu’Oscar veut protéger Peggy Blue des fantômes. Sandrine, une autre jeune fille, apprécie réellement Oscar et c’est donc vers elle qu’il se rend et il l’embrasse. Les parents d’Oscar arrivent à ce moment précis, ce qui le fait fuir car il ne veut pas les rencontrer. Il se plonge dans ses pensées tout en écoutant la musique du ballet Casse-noisette. Plus tard, Mamie-Rose encourage Oscar en lui confiant que Popcorn n’est qu’un bluffer. La lettre se termine par un baiser échangé entre Peggy et Oscar, et la demande de ce dernier à Dieu de pouvoir l’épouse. Quatrième lettre du roman de Schmitt Arrivée à l’âge de 30 ans dans le roman d’Eric-Emmanuel Schmitt ; Oscar se marie avec sa bien-aimée Peggy. Une nuit, il entend des bruits, et craint que des fantômes s’en prennent à son épouse. Mais il n’en est rien, car il s’agit de Bacon, un enfant brûlé dont les douleurs le font hurler. Peggy accorde le droit à Oscar de dormir avec elle, mais c’est sans compter la désapprobation du personnel médical. Suite du résumé d’Oscar et la dame rose… Finalement, Marie-Rose intervient et prend la défense des enfants. Peu après elle emmène Oscar à la chapelle, lui expliquant que la mort ne doit pas représenter pour lui une souffrance morale. Ils retrouvent Peggy avec qui ils partagent une tasse de thé. L’opération de Peggy approche à grand pas, et la demande à Dieu d’Oscar, dans cette lettre, est qu’elle soit une réussite. Cinquième lettre L’opération de Peggy Blue se passe très bien, tellement qu’elle devient rose de jours en jours. Oscar aura l’opportunité de rencontrer les parents de sa femme ; il leur voue un grand respect. Lorsque ces derniers partent de l’hôpital, ils confient Peggy à Oscar. La journée est très famille », et c’est sur cette note positive que Oscar la termine, en ayant atteint ses 40 ans. Sixième lettre Malheureusement un drame sentimental se joue dans Oscar et la dame rose, lorsque Popcorn apprend que Oscar et Sandrine se sont embrassés. Il s’en va rapporter la chose à Peggy, qui ne tient pas à écouter les explications d’Oscar. Essayant tant bien que mal de se défendre, elle décide de rompre avec lui. C’est alors qu’une patiente trisomique, Brigitte, rend visite à Oscar dans sa chambre, et l’embrasse. Pour Oscar, c’est un nouveau fait qui lui donne une réputation de cavaleur, malheureusement. Il ressent toujours autant d’amour pour Peggy, et Marie-Rose essaie tant bien que mal de lui redonner du courage. La fin de la journée arrive, en même temps que les 50 ans d’Oscar. Septième lettre d’Oscar et la dame rose Arrivé au jour de Noël, Oscar parvient à faire la paix avec Peggy Blue. Toutefois il doit se résoudre à la laisser, ses parents étant venu fêter Noël avec lui. Mais cette idée ne lui plaît pas du tout, car s’imaginer de devoir passer la soirée avec des parents qui lui offriront une tonne de cadeaux lui donne envie de fuguer. Avec l’aide d’Einstein, Bacon et Popcorn, il parvient à se cacher dans la voiture de Mamie-Rose, et s’y endort. Arrivé chez elle, il sonne à sa porte au grand étonnement de Mamie-Rose. Elle le persuade d’informer ses parents, ce qu’il accepte de faire au téléphone. Puis Oscar et Mamie-Rose passent la soirée de Noël tous les deux, très joyeusement. Après avoir visionné la messe de minuit, ils se passent un match de catch qu’elle avait enregistré. Un peu plus tard, Oscar apprend et comprend que ses parents sont eux aussi destinés à mourir un jour. Une réalité qui l’aide à ressentir davantage de sentiments vis-à-vis d’eux. Résumé des lettres 8, 9 et 10 Arrivée à l’âge de 80 ans dans le livre d’Oscar et la dame rose ; c’est le temps de la réflexion pour Oscar, sur la vie, la mort, Dieu et la foi en Lui. Mamie-Rose l’aide dans cette étape, et Oscar se décide à prendre la dette du docteur Düsseldorf, qui se culpabilise de ne pas pouvoir le guérir. A la fin, Oscar vit un moment douloureux de séparation avec Peggy, qui rentre chez elle suite à sa guérison. Onzième lettre A l’aube, Oscar reçoit la visite de Dieu, qui lui confie un secret regarde chaque jour le monde, comme si c’était la première fois ». Oscar comprend à ce moment la différence entre les hommes et Dieu ; il suit son conseil. Douzième lettre Arrivé à 110 ans, Oscar a une conversation avec ses parents. Il leur explique que selon lui, la vie est un drôle de présent. Surestimée au départ puis sous-estimée à la fin, la trouvant trop courte. Au final, c’est seulement un prêt qu’il faut savourer et apprécier. Voici comment se termine la dernière lettre d’Oscar. La treizième lettre et fin du résumé du livre Celle-ci est rédigée par Mamie-Rose, qui écrit à Dieu à la place d’Oscar. Elle explique à Dieu qu’il est parti, à un moment où la famille et elle prenaient un café ensemble. Il s’en est allé afin de faire éviter à tous la violence de ce moment. Tout à la fin, elle écrit le mot déposé par Oscar sur sa table de chevet seul Dieu a le droit de me réveiller ». Ainsi se termine le livre d’Oscar et la Dame Rose. Dans la ville, on raconte l'histoire d'une grosse perle comment elle fut trouvée, puis perdue à nouveau ; l'histoire de Kino, le pêcheur, de sa femme Juana et de leur bébé Coyotito. Et comme l'histoire a été si souvent racontée, elle est enracinée dans la mémoire de tous. Mais, tels les vieux contes qui demeurent dans le coeur des hommes, on n'y trouve plus Présentation du livre Ecrit par Eric-Emmanuel Schmitt et publié en 2002, Oscar et la Dame Rose constitue la troisième partie du Cycle de l’Invisible. Ce cycle contient six romans et tous traitent de la religion. Ici, Oscar est un enfant que Mamie Rose essaie de rapprocher de Dieu avant la fin. L’histoire Oscar est un petit garçon malade qui vit à l’hôpital. Il est atteint d’une leucémie et, conséquence de la maladie, son crâne est chauve. Âgé de dix ans, Oscar trouve cependant qu’il à l’air d’en avoir sept à cause de ce crâne chauve. C’est là qu’il rencontre Mamie Rose, la dame rose qui travaille à l’hôpital et fait tout son possible pour divertir les enfants malades. Pour aider Oscar, elle l’enjoint à écrire des lettres à Dieu. Oscar se prête au jeu même s’il ne croit pas en Dieu et se met à lui écrire une lettre par jour dans laquelle il formule un vœu. L’aide de la dame rose Pour que la fin de vie d’Oscar soit un plaisir pour lui, Mamie Rose décide de lui faire connaître toutes les étapes importantes de la vie en le faisant jouer à un jeu où chaque jour compte pour dix ans. Oscar vit donc des amours adolescentes, se marie, divorce, etc. Fiche de lecture d’Oscar et la dame rose Oscar et la dame rose est un roman épistolaire écrit par Éric-Emmanuel Schmitt en 2002. C’est le troisième volet des cinq récits du Cycle de l’Invisible ». Ce livre contient deux personnages principaux Oscar un garçon de dix ans et la dame en rose, une vieille infirmière. Les parents d’Oscar sont peu présents dans ce livre, mais c’est eux qui sont le facteur déclenchant de l’amitié qui nait entre le jeune garçon et la vieille dame. Ce roman aborde la mort et le christianisme, mais c’est aussi une belle leçon de vie. Oscar sait depuis le début qu’il va mourir, car il est atteint d’une leucémie dont il ne guérira pas. Il a très vite compris qu’il ne faut rien qu’il attende de ses parents trop désemparés et trop apeurés pour l’aider à affronter la mort et ce passage si difficile. C’est à ce moment qu’il rencontre la dame rose. Cette vieille dame n’a pas peur de rien et elle regarde la réalité en face, elle visite les malades dans les hôpitaux et permet à l’enfant de vivre mieux ses derniers jours. Elle lui suggère d’écrire des lettres à Dieu, même si l’enfant n’est pas croyant, il le fera. Cet enfant est très lucide et malgré le silence qui l’entoure il comprend parfaitement que sa greffe de moelle osseuse a été un échec. L’auteur décrit parfaitement la lucidité et le combat que mène un petit face au cancer qui le ronge. La rencontre avec Marie-Rose sera déterminante pour les derniers jours d’Oscar. En lui proposant d’écrire à Dieu, elle lui permet d’exprimer son désarroi et son angoisse. Cette phrase On m’appelle Crâne d’Œuf, j’ai l’air d’avoir sept ans, je vis à l’hôpital à cause de mon cancer et je ne t’ai jamais adressé la parole parce que je crois même pas que tu existes », retrace tout l’état d’esprit de ce petit malade. Elle lui offre aussi un sursis supplémentaire en lui demandant d’imaginer que chaque jour représente en fait dix ans de sa vie. Ainsi, il vivra toutes les étapes qu’il aurait dû connaitre si le destin n’en avait pas décidé autrement. On verra ainsi défiler toutes les périodes de sa vie de l’adolescence à la vieillesse jusqu’à ses derniers jours. Grâce à elle, il découvre également les possibilités de surmonter sa peur de la souffrance et de la mort. Le livre est un message rassurant sur la manière d’appréhender la mort, mais aussi sur la manière de profiter chaque jour de la vie comme si celle-ci devait s’arrêter brusquement. Un deuxième problème est évoqué celui des réactions de l’entourage proche par rapport à une situation d’autant plus dramatique qu’elle touche un enfant d’une dizaine d’années seulement. En effet, ses parents ne réagissent pas comme l’enfant aurait pu le souhaiter. Ils sont incapables de l’aider, car en proie eux-mêmes à une grande souffrance. Quand Oscar découvre en écoutant à la porte du médecin qui s’occupe de lui, que sa mort est certaine et inéluctable, il se rend compte de l’impact qu’a cette nouvelle sur ses parents et leur façon de la recevoir. Sa réaction sera alors inattendue et quelque part un peu violente, irréfléchie et égoïste il éprouve un sentiment de détestation vis-à-vis d’eux. À ce moment le désespoir l’envahit. La relation avec ses parents va s’améliorer quand Marie-Rose lui explique que ce qui lui arrive les renvoie à leur propre mort et que la difficulté à surmonter leur peur en est d’autant plus vive. Là l’enfant commence à les comprendre et cherche à obtenir leur pardon. La phrase » Excusez-moi, j’avais oublié que, vous aussi, un jour, vous alliez mourir » symbolise cette idée. L’auteur nous montre bien alors la difficulté de se rendre compte et d’admettre que l’on a besoin d’être aidé et secouru dans certains moments très difficiles de sa vie. Heureusement l’enfant n’est pas seul et Marie-Rose représente alors l’aide tant espérée. E3lle vient le voir chaque jour et Éric-Emmanuel nous montre bien l’importance de cette femme qui permet à l’enfant de bien vivre ces derniers moments et de profiter de chaque instant. Cette femme est très fine et elle sait à quel point on peut changer le cours des évènements par une astuce toute simple, mais très efficace. Un autre aspect intéressant de ce roman tient au fait que les différentes époques de vie sont vues à travers le regard d’un enfant de dix ans. Cela donne un éclairage nouveau au lecteur qui redécouvre des sentiments qu’il a pu éprouver. Cetteanalyse d'Oscar et la dame rose d'Eric-Emmanuel Schmitt comprend : un résumé détaillé sur Oscar et la dame rose, une analyse des idées et du style d'Eric Emmanuel Schmitt. A PROPOS DE LA COLLECTION La série des contenus éducatifs aux étudiants et aux professeurs tels que : des résumés, des Bonjour, je suis Allemagne. Je suis le devoir de écrire und resume de la chapitre 2 de "oscar et la dame rose" Mais je suis très mal de ecrire en française. Esc-que tu veut aider ? Ca c'est mon text A le deusiem chapitre Oskar écrit une lettre à Dieu, encore. Il raconte de son ami, s’appels Einstein. Les amis jouent aux échecs ensemble. Finalement, Einstein a dit que les parents de Oskar sont a l’hospital. Oskar ne la croient pas, parce que les parents ne sont pas a l’hospital a dimanche et que les parents vivent loin. Mais la voiture dans le stationnement est la preuve. Il attend dans sa chambre sur elle. Quand il a remarqué qu'ils ne viennent pas, il cherche ses parents. Il se faufile au bureau du docteur Düsseldorf. À la porte, il secrètement entendu la conversation entre le médecin et ses parents. Le médecin a expliqué que Oskar mourra. Les parents décident, toutefois, que Oskar ne est pas de se renseigner sur les mauvaises nouvelles. Puisque les parents sont très tristes, ils ne veulent pas de visiter Oskar. Oskar cache dans un placard, quand la conversation est terminée. Finalement Oskar se trouve. Cependant, il serait tout simplement parler avec Mamie Rose. Mamie Rose vient à lui et Oscar lui a tout raconté. Apres une histoire de Mamie Rose, elle demande si les parents d'Oskar ne croient pas en Dieu. Il dit que les parents ne croient pas en Dieu. Mamie Rose a la permission de visiter Oskar deux fois de semaine, elle parle de docteur Düsseldorf. Il permet Mamie Rose tous les jours à venir. Mamie Rose dit Oskar qu'il doit voir chaque jour que 10 ans. Le résultat est que Oscar pourront profiter de tous les derniers stades. A la fin du chapitre Dieu est invité. Oskar veulent lui parler et le voir personnellement. meilleures salutations Johannes Summary/ Résumé: The Story of Malala: The girl who said "No" to the talibans. When the Taliban took control of the Swat Valley in Pakistan, one girl spoke out. Malala Yousafzai refused to be silenced and fought for her right to an education. On Tuesday, October 9, 2012, when she was fifteen, she almost paid the ultimate price. La condition ouvrière - de Simone Weil Frederic Garcias Fiche de Lecture Micromégas La convivialité - d'Ivan Illich Laura Fitinghoff Le peuple de l'abîme - de Jack London Frederic Garcias Small is beautiful, Economics as if People Mattered - de Schumacher Solenn Guevel La dynamique du capitalisme - de Fernand Braudel L Contrôle de lecture Tartuffe CART QCM corrigé sur le jeu de l'amour et du hasard - Marivaux Cart Jean-Fran?Ois Fiche de lecture Théorie U, Diriger à partir du futur émergent Administrateur 107 Eugénie Grandet - Honoré de Balzac helene benoit Lecture analytique "le pont mirabeau" Apollinaire Fiche de lecture manon lescaut Roch Lefloch Résumé chapitre par chapitre de Si c'est un homme Caromatheagil Commentaire Demain dès l'Aube Nicolas HUB-fiche de lecture-Source Cabinet du MEN L'OPA silencieuse - de Noreena Hertz Frederic Garcias Analyse du Dormeur du Val Travail d'analyse de Demain dès l'Aube Bernard Apprendre à écrire une fiche de lecture Daniel Bessonnat Résumé et questionnaire corrigé sur L'Ecole des Femmes Mchriste-Wxp Résumé de l'Ami Retrouvé Nina Hauquin, Lucie Dezauzier Résumé complet du Mariage de Figaro Lannoote Boutry Etude du Grand Meaulnes Etude analytique du livre V - chapitre 2 Notre Dame de Paris, Hugo - La stratégie du choc, La montée d'un capitalisme du désastre - de Naomi Klein Solenn Guevel Cyrano de Bergerac fiche de lecture Mariongouley Fiche de lecture analytique Au Bonheur des Dames Amelo L'aide fatale - de Dambisa Moyo Frederic Garcias Résumé + plan de lecture de Vendredi ou la Vie Sauvage Aucun résultat à afficher. Commenttraiter tout à la fois de culture, de morale et de faits de langue avec les élèves? En les faisant lire! Cette séquence didactique d’enseignement et d’apprentissage, spécialement conçue pour des élèves du premier cycle du secondaire, porte sur une œuvre intégrale, Oscar et la dame rose d’Éric-Émmanuel Schmitt.
CHRONIQUE LITTERAIRE RESUMER L’ATTRAPE CŒUR SALINGER Nous sommes au moi de décembre. Noel approche et avec lui, les vacances des étudiants. Holden est un adolescent, perdu, au milieu de New York. Au début du roman, il raconte sa vie à Pencey Prep, le collège dont il vient de se faire expulser, un de plus. C’est le week end et tout le monde assiste au match de foot de fin d’année. Sauf lui. Il se met à l’écart, loin de ces étudiants qu’il trouve superficiels. Holden décrit alors le lieu, sa chambre, quelques camarades, tout ça avec un regard dénigrant et critique. Holden doit rentrer chez ses parents le mercredi suivant. Mais il ne supporte plus ce collège où il ne se sent pas à sa place. Il quitte Pencey Prep, au milieu de la nuit. Il prend le train, et le début des rencontres étranges, touchantes et repoussantes, s’enchaînent. On découvre alors un peu mieux cet adolescent perdu, étourdit par l’angoisse et la recherche de lui. Prit par la peur de voir ses parents avant qu’ils ne soient au courant de son expulsion, le jeune homme décide de ne pas rentrer tout de suite chez lui. Il prend une chambre à l’hôtel. L’angoisse de rester seul le ronge. Il s’en va errer dans les bars, ne cherchant que l’ivresse pour combler le vide. Son problème c’est quoi ? Toujours à cracher sur les gens, toujours le mépris et le dédain. Ce personnage transpire la haine, pas vraiment profonde ni gratuite, mais une haine d’accumulation, de déception, de peurs, de manque de confiance en lui. Il ne semble pas méchant, juste complètement pommé. Au fond il ne veut peut être pas grandir, il veut rester un enfant, pouvoir se sentir encore fragile et ne pas prendre de responsabilités. Holden va passer ainsi trois jours à se lamenter, à mentir aux gens qu’il rencontre, à se mentir à lui-même aussi, pour ne pas se rendre compte de l’avenir qui se dresse devant lui. Il a un frère à Hollywood qui roule en Jaguar, des parents plutôt bourgeois, un autre frère mort d’une leucémie, Alli. Il ne cesse de penser à lui, dans les moments difficiles surtout, il l’admire, peut être trop. Et il a aussi une sœur Phoébé, de dix ans. Le seul être vivant pour qui il semble avoir une vraie tendresse, l’aimer, tout simplement. Cette sœur qui remplit son cœur, il va ressentir le besoin de la voir, de lui parler. Il va la voir, en secret, et sa présence semble l’apaiser, lui apporter un bonheur sincère et pure. Juste avant de rentrer chez lui, comme il l’avait prévu, la peur le gagne, encore. Il veut partir, loin, là où il personne ne le connaîtrait, où il croit qu’il pourrait recommencer une vie, soit disant plus paisible. Mais il le dit à sa sœur, il veut lui dire au revoir. Elle veut le suivre, il lui interdit. Finalement, son seul amour sincère et vivant le retient, le fait comme murir d’un coup. Il reste. Il sait ce qui l’attend. Un nouveau collège, de nouvelles rencontres, de nouvelles peurs, de nouveaux dégoûts. Au moment où le récit de ses aventures rejoint le présent, le personnage, qui se présente comme un anti héro, ne désir pas continuer à raconter sa vie. On comprend qu’il se trouve surement dans une sorte d’hôpital psychiatrique. On comprend qu’il est perdu, encore, mais qu’il commence à accepter l’amour, la tendresse, le manque. Il commence à accepter les douleurs qu’il fuyait avant. Il grandit surement, il prend du recul, et ses premières conclusions commencent par l’affection et le manque, bien présent dans son cœur, le manque de toutes ces vies étranges qui ont croisées sont chemin. Céline Rolland
Oscaret la dame rose - Oscar a dix ans et vit désormais à l'hôpital. Même si personne n'ose le lui dire, il sait qu'il va mourir. Parmi les dames en blouse rose qui viennent passer du temps avec les enfants malades, il en est une qui lui propose, pour qu'il se sente moins seul, d'écrire à Dieu. Ces lettres décrivent douze jours dans l'existence 21 mai 2011 6 21 /05 /mai /2011 1026 Je sais qu’il y en a quelques-uns que l’idée d’écouter un livre audio sur plusieurs heures rebute. Ne cherchez plus, je crois bien que j’ai trouvé le petit livre audio parfait pour débuter ! Il s’agit de quatre nouvelles qui, même si elle forme une unité, peuvent aisément se lire indépendamment l’une de l’autre. Qui dit nouvelle dit brièveté mais aussi justesse, piquant, chute. Ajoutez à cela la voix de Daniel Nicodème j’ai tellement adoré son expressivité que j’ai immédiatement acheté un autre livre audio lu par lui et écoutez ! Ne nions pas non plus le talent de Schmitt. J’ai retrouvé ici ce que j’aime chez lui des phrases bien ciselées ; des personnages originaux, réalistes, saisis à point ; des intrigues inventives et inattendues, un brin de morale et de philosophie. Un coup de cœur, je vous dis ! J’ai été charmée et fascinée, voilà bien un livre audio que je serai capable de réécouter et c’est la première fois que je pense cela. Ces histoires-là se résument difficilement, il faut les connaître dans leur intégralité ! Je ne sais pas si l’effet aurait été le même pour une simple lecture mais ce fut une joie, un réel plaisir de m’asseoir au volant de ma voiture et d’allumer le lecteur CD. Tentons de résumer tout de même Ø Dans un petit village, de gros soupçons pèsent sur Marie, une femme, sèche, pas très jolie… qui a été mariée trois fois et dont les maris ont disparu en lui léguant toute leur fortune. Faute de preuves, elle n’est pas condamnée. Sa routine est rompue le jour où un bel ange, un prêtre, débarque dans le village. Cet homme-là est pur et doux et ce sont ces qualités qui conquièrent le cœur des paroissiens et surtout celui de Marie. Elle s’efforce de lui plaire, se rend à l’église tous les jours et, pour qu’il ne s’occupe plus que d’elle, lui avoue qu’elle a tué ses amants. Le prêtre la prend sous son aile, parvient même à la convaincre de tout révéler à la justice des hommes, mais… Ø En pleine mer, un message informe un marin que sa fille est morte. Le choc est double car il a quatre filles et il ne sait de qui il s’agit. Il se surprend à espérer que ce n’est pas sa fille préférée qui est décédée puis s’en veut et finit par se rendre compte qu’il ne connaît aucune de ses quatre filles. Retour sur le terre ferme et surprise je l’avais pressenti mais c’est rondement bien mené. Ø Chris et Axel sont deux musiciens virtuoses. Cependant Chris remarque un jour qu’Axel a ce petit truc en plus qui lui barrera le chemin de sa gloire à lui. Lors d’une course nautique, il le laisse se noyer. Ne lisez pas la suite si vous pensez découvrir un jour le recueil de nouvelles. Axel n’est pas mort mais s’est transformé en hargneux homme d’affaire aigri. Quant à Chris, il n’a jamais réussi à se pardonner son acte et a également changé du tout au tout en devenant un être bon, ouvert et généreux. Bien sûr que c’est manichéen à souhait mais j’ai apprécié ces réflexions sur la manière se changer sa vie, de se changer. La fin est un peu cuculapraline mais elle plaira peut-être à certains. Ø La dernière histoire se situe à l’Elysée, oui, rien que ça. La première dame avoue un jour à son président de mari qu’elle ne l’aime plus depuis bien longtemps, qu’elle sait qu’il n’est arrivé au pouvoir qu’en sacrifiant des personnes, en mentant et en se vautrant dans l’illégalité. Le président qui souhaite conserver leur image de couple exemplaire, n’entend pas changer quoi que ce soit et refuse le divorce et les esclandres. Encore une réflexion sur la rédemption, sur une re-naissance possible ou non, sur le pardon et le rachat de ses fautes. C’est très religieux tout cela. Oui bien sûr, et je m’en rends encore plus compte en résumant ces histoires. Un fil directeur pour ces quatre nouvelles sainte Rita que peut-être, comme moi, vous ne connaissiez pas. C’est la patronne des causes désespérées. Les quatre textes sont suivis du Journal d’écriture lu par Schmitt lui-même. Rien de transcendant, pas inintéressant non plus mais un brin narcissique. Cette partie-là a fait ressortir ce que j’aime moins chez bonhomme mais elle clôt de manière originale le recueil. Je me répète sans doute encore mais les nouvelles m’ont parlé, elles m’ont touchée, je m’y suis parfois retrouvée, j’ai beaucoup souri mais j’ai aussi parfois été très émue… Ne vous arrêtez donc pas à la couverture archi moche bon sang, que c’est raté !. Lisez ou écoutez. Plus que jamais j’ai été frustrée de ne pas pouvoir prendre des notes en roulant j’avoue que cela m’est déjà arrivé, oui, une main sur le volant, une autre qui note !, j’ai donc pioché sur le net quelques filaments Je n’avais jamais noté combien l’âge nous rend libres. A vingt ans, nous sommes le produit de notre éducation, mais à quarante ans, enfin, le résultat de nos choix –si nous en avons fait. » Quand devenons-nous celui que nous devons être ? Dans notre jeunesse ou plus tard ? Adolescents, malgré les données d'intelligence et de tempérament, nous sommes en grande partie fabriqués par notre éducation, notre milieu, nos parents ; adultes, nous nous fabriquons par nos choix. » L'homme ne change pas il se corrige. Il utilise son tempérament d'une autre manière, il l'infléchit, le mettant au service d'autres valeurs;.........il reste le même quoiqu'il s'éclaire différemment à l'ampoule individualiste, il a substitué l'ampoule altruiste. » Et merci à ce pauvre homme entouré de Desperate house wives de m’avoir permis de chiper ce livre audio ;- Published by Violette - dans Livres audio

Fascinépar la neige, en laquelle il voit tout à la fois un poème, une calligraphie, une peinture, une danse et une musique, il s'adonne au haïku et traverse les montagnes dans l'espoir de parfaire son art auprès d'un maître renommé Maxence Fermine est un ciseleur de prose dont le plaisir d'écrire est communicatif. En cinquante-quatre très courts

Oscar est un petit garçon de 11 ans. Oscar est malade, il est atteint d’un cancer. Il vit à l’hôpital, c’est son monde, c’est là bas qu’il vit avec d’autres enfants malades qui sont ses amis. Il y a Bacon, le grand brûlé, Einstein, l’enfant a la grosse tête, Pop corn qui est là pour maigrir et aussi Peggy blue, la petite fille bleue qui a une maladie du sang. Lui, il sait qu’il va mourir et il pense que les adultes sont des lâches car aucun d’eux ne lui parle vraiment de sa mort, même pas le médecin. Il pense même que ses parents ont peur de lui depuis qu’ils savent qu’il va mourir. Il confond leur impuissance et leur tristesse avec de la lâcheté et de la peur. Parler à l’enfant de la » mort est une chose cependant lui parler de sa » mort en est une autre et elle est bien plus compliquée. Nier la réalité n’est pas la meilleure des solutions surtout que l’enfant prend vite conscience de sa propre mort. Comme Mamie rose, il me semble important d’être capable d’échanger avec lui sur ce qui l’attend pour mieux l’apaiser et le calmer. Il faut être capable d’être à l’écoute et de pouvoir répondre à ses questions car ne pas le faire reviendrai à faire vivre à l’enfant ses dernier jours comme angoissant. La mort d’un enfant reste une profonde injustice mais c’est notre rôle de professionnel de ne pas nous laisser envahir par nos émotions afin de mieux accueillir celles de l’enfant et de pouvoir proposer aide et soutien d’une manière efficace. Licence Chacun des éléments constituant le site sont protégés par le droit d'auteur. Il est donc strictement interdit d'utiliser, reproduire ou représenter même partiellement, modifier, adapter, traduire, ou distribuer l'un quelconque des éléments. En cochant la case ci-dessous, j'accepte les conditions générales d'utilisation de Accepter le terme et la condition Connectez-vous pour télécharger ConnexionAnimateurAbonnementRechercheDerniers Docs AnimateurLes plus vus - AnimateurLes plus téléchargés - Animateur

Dun chapitre à l’autre, le lecteur accompagne chaque membre de cette extra-famille qui se découvre. Tout m’a semblé très juste. Dans le regard de cet enfant heureux d’avoir trouvé un espace accueillant, qui espère qu’on ne le mette pas à la porte. Dans la jalousie de ce fils, qui se sent dépossédé de son espace, de sa vie, qui a du mal à Description de l’éditeur Cette fiche de lecture sur Oscar et la dame rose d'Eric-Emmanuel Schmitt propose une analyse complète • un résumé détaillé sur Oscar et la dame rose • une analyse des idées • une analyse du style d'Eric Emmanuel SchmittÀ propos de propose plus 2500 analyses complètes de livres sur toute la littérature classique et contemporaine des résumés, des analyses de livres, des questionnaires et des commentaires composés, etc. Nos analyses sont plébiscitées par les lycéens et les enseignants. Toutes nos analyses sont téléchargeables directement en ligne. FichesdeLecture est partenaire du Ministère de l' d'informations sur GENRE Ouvrages de référence SORTIE 2014 10 décembre LANGUE FR Français LONGUEUR 24 Pages ÉDITIONS TAILLE 138,7 Ko Plus de livres par André Bonnet D’autres ont aussi acheté d71L.
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