LaderniÚre fonctionnalité de Codycross est que vous pouvez réellement synchroniser votre jeu et y jouer à partir d'un autre appareil. Connectez-vous simplement avec Facebook et suivez les instructions qui vous sont données par les développeurs. Cette page contient des réponses à un puzzle EspÚce d'oiseau dont fait partie Flagada Jones.
Codycross est un jeu mobile dont l'objectif est de trouver tous les mots d'une grille. Pour cela, vous ne disposez que des dĂ©finitions de chaque mot. Certaines lettres peuvent parfois ĂȘtre prĂ©sentes pour le mot Ă  deviner. Sur Astuces-Jeux, nous vous proposons de dĂ©couvrir la solution complĂšte de Codycross. Voici le mot Ă  trouver pour la dĂ©finition "EspĂšce d'oiseau dont fait partie Flagada Jones" groupe 811 – grille n°1 pelican Une fois ce nouveau mot devinĂ©, vous pouvez retrouver la solution des autres mots se trouvant dans la mĂȘme grille en cliquant ici. Sinon, vous pouvez vous rendre sur la page sommaire de Codycross pour retrouver la solution complĂšte du jeu. 👍 DetrĂšs nombreux exemples de phrases traduites contenant "l'ensemble dont il fait partie" – Dictionnaire anglais-français et moteur de recherche de traductions anglaises. Objectifs Comment peut-on dĂ©finir la notion d’espĂšce aujourd'hui ? Une espĂšce est un groupe d’individus interfĂ©conds prĂ©sentant des caractĂšres communs phĂ©notype. Au cours de l’histoire des sciences la dĂ©finition de ce terme a subi bien des controverses. 1. La dĂ©finition d'espĂšce un peu d'histoire a. La pensĂ©e fixiste Auparavant, l’espĂšce Ă©tait considĂ©rĂ©e comme un ensemble d’individus qui se ressemblent. C’est donc une entitĂ© immuable. Toutes les espĂšces prĂ©sentes aujourd’hui, le sont depuis toujours. On dĂ©finit un prototype de l’espĂšce qui sert de rĂ©fĂ©rence Ă  la classification des ĂȘtres vivants classification de LinnĂ©. Tout individu qui ne rĂ©pond pas aux critĂšres de ce prototype est considĂ©rĂ© comme prĂ©sentant une anomalie. Dans cette vision, les espĂšces n’évoluent pas et n’ont pas de lien de parentĂ© entre elles. Si l'on prend l'exemple des Canards colvert, selon la classification de LinnĂ©, le mĂąle et la femelle qui sont trĂšs diffĂ©rents dans leur plumage dimorphisme sexuel, Ă©taient classĂ©s comme deux espĂšces diffĂ©rentes. Or, par la suite on a pu observer qu'ils pouvaient se reproduire entre eux et qu'ils appartenaient donc Ă  la mĂȘme espĂšce. Les critĂšres morphologiques seuls ne suffisent donc pas Ă  classer les individus en tant qu'espĂšce. b. La pensĂ©e Ă©volutionniste Au XIXe siĂšcle, Charles Darwin rĂ©volutionne la notion d’espĂšce. Il propose qu’une espĂšce ne soit pas stable dans le temps et qu’elle puisse Ă©voluer. Il introduit ainsi la notion de parentĂ© entre les espĂšces en argumentant qu’une espĂšce peut naĂźtre d’une autre espĂšce par acquisition de nouveaux caractĂšres. Ainsi, la variabilitĂ© intra-espĂšce devient le moteur de l’évolution. Sa thĂ©orie sera trĂšs mal acceptĂ©e par la communautĂ© scientifique il propose notamment que l’Homme ait un lien de parentĂ© avec les singes ce qui est inacceptable pour l’époque. Sa thĂ©orie a permis de revoir la classification des ĂȘtres vivants qui n’est plus seulement basĂ©e sur la description des attributs de l’espĂšce mais sur son histoire Ă©volutive. 2. La dĂ©finition d'espĂšce les critĂšres actuels Pour dĂ©finir une espĂšce, il faut aujourd’hui prendre en compte diffĂ©rents critĂšres. a. Les critĂšres de phĂ©nĂ©tiques Ils reposent sur le nombre de caractĂšres communs partagĂ©s entre les individus. On estime que deux individus qui se ressemblent, ont plus de chance d’appartenir Ă  la mĂȘme espĂšce que deux individus qui ne se ressemblent pas. Mais attention, l’utilisation de ce critĂšre a ses limites. En effet, dans le cas de certaines espĂšces, le dimorphisme sexuel est trĂšs important comme le Canard colvert. Une espĂšce peut aussi prĂ©senter de grandes diffĂ©rences morphologiques Ă  plusieurs stades de son dĂ©veloppement, comme la plupart des insectes dont la larve est morphologiquement trĂšs diffĂ©rente de l'adulte. Dans d’autres cas, deux espĂšces peuvent prĂ©senter un grand nombre de caractĂšres morphologiques en commun, tout en restant deux espĂšces distinctes. b. Les critĂšres biologiques ‱ L’interfĂ©conditĂ© On estime que deux individus capables de se reproduire pour donner une descendance fertile appartiennent Ă  la mĂȘme espĂšce. Attention toutefois, ce critĂšre a lui aussi ses limites, il ne peut ĂȘtre utilisĂ© pour Ă©tudier les espĂšces disparues ou isolĂ©es gĂ©ographiquement. Certaines espĂšces trĂšs proches sont capables de s’hybrider pour donner une descendance fertile croisement entre le chameau et le dromadaire ou hybrides vĂ©gĂ©taux. De plus, c'est un critĂšre qui ne concerne que les organismes sexuĂ©s. ‱ Les Ă©tudes molĂ©culaires et gĂ©nĂ©tiques elles permettent d’étudier le flux de gĂšnes entre deux populations vivant dans la mĂȘme aire gĂ©ographique. Si on ne retrouve pas de gĂšnes communs entre ces deux populations, on peut estimer qu’elles ne se reproduisent pas entre elles. Ce sont donc deux espĂšces diffĂ©rentes. ‱ Les critĂšres Ă©cologiques ils s’appliquent surtout aux espĂšces vĂ©gĂ©tales qui sont caractĂ©risĂ©es par des pĂ©riodes de floraison dĂ©finies au cours des saisons. Deux populations qui n’ont pas la mĂȘme pĂ©riode de floraison ne peuvent pas se reproduire. Elles forment donc deux espĂšces diffĂ©rentes. 3. La spĂ©ciation naissance d'une nouvelle espĂšce Les mĂ©canismes Ă  l’origine de l’évolution des populations sont Ă  l’origine de l’émergence des nouvelles espĂšces. Une espĂšce est une population gĂ©nĂ©tiquement isolĂ©e des autres populations. Elle n’existe que sur un temps limitĂ© au cours des temps gĂ©ologiques. Son devenir est multiple ‱ Elle peut disparaĂźtre si tous les individus disparaissent. On parle d’extinction. ‱ Au contraire, si quelques individus s’isolent, ils ne peuvent plus se reproduire qu’entre eux, c'est l'isolement reproductif. Ce processus peut conduire Ă  la naissance Ă  une nouvelle espĂšce. C’est la spĂ©ciation. L’isolement reproductif peut rĂ©sulter ou non d’un isolement gĂ©ographique. a. SpĂ©ciation sans isolement gĂ©ographique Certains individus peuvent prĂ©senter un avantage reproductif au sein d’une mĂȘme population. Cas des cichlidĂ©s du lac Apoyo. Le lac de cratĂšre Apoyo Nicaragua est colonisĂ© par deux espĂšces de cichlidĂ©s Amphilophus citrinellus et Amphilophus zaliosus. La premiĂšre est prĂ©sente dans d’autres lacs d’AmĂ©rique latine tandis que la seconde est endĂ©mique elle n'existe que dans ce lac et nulle part ailleurs dans le monde. Ces deux espĂšces de poissons prĂ©sentent des caractĂšres diffĂ©rents notamment au niveau de l’anatomie de la mĂąchoire et du rĂ©gime alimentaire. A. citrinellus se nourrit prĂšs du rivage alors que A. zaliosus se nourrit en eaux profondes. L’espĂšce A. citrinellus serait l’espĂšce colonisatrice d'origine du lac Apoyo. La forme ancestrale de cette espĂšce prĂ©sentait alors des individus possĂ©dant des largeurs de mĂąchoires variables rĂ©parties dans la population selon une courbe de Gauss Document 1a. Les conditions du milieu ont favorisĂ© progressivement des caractĂšres extrĂȘmes donnant deux sous-populations spĂ©cialisĂ©es une population adaptĂ©e aux ressources alimentaires du rivage et l’autre aux ressources alimentaires des eaux profondes Document 2b. Les individus de ces deux sous-populations ayant un avantage sĂ©lectionnĂ© se sont prĂ©fĂ©rentiellement reproduits entre eux conduisant Ă  l’émergence de deux formes extrĂȘmes de poissons prĂ©sentant des formes de mĂąchoires trĂšs diffĂ©rentes. Ces deux formes ont fini par ne plus se reproduire entre elles ce qui a conduit Ă  leur isolement reproductif et Ă  l’émergence de deux espĂšces de poissons diffĂ©rentes Document 1c. Doc. 1 Évolution de la frĂ©quence des caractĂšres extrĂȘmes dans le cas d’une spĂ©ciation sans isolement gĂ©ographique. b. SpĂ©ciation avec isolement gĂ©ographique L’isolement reproductif suite Ă  un isolement gĂ©ographique est un phĂ©nomĂšne plus facile Ă  comprendre. Toutefois, l’isolement gĂ©ographique est le plus souvent la consĂ©quence de grands bouleversements climatiques et/ou gĂ©ologiques qui ont poussĂ© certaines populations Ă  migrer. Cas des espĂšces Zerynthia. On peut observer en Italie et en Europe de l’est deux espĂšces de papillons trĂšs semblables le Zerynthia cassandra en Italie et le Zerynthia polyxena en Europe de l’Est. Elles diffĂšrent par la morphologie de leurs organes reproducteurs ce qui empĂȘche toute hybridation. Il est proposĂ© qu’une espĂšce ancestrale vivait sur ces deux aires gĂ©ographiques avant les derniĂšres grandes glaciations du quaternaire. Durant la pĂ©riode de glaciation, cette espĂšce s’est retrouvĂ©e sĂ©parĂ©e en deux aires gĂ©ographiques distinctes le sud de l’Italie et le pĂ©loponnĂšse au sud de la GrĂšce. Chacune de ces populations va connaĂźtre une histoire Ă©volutive propre ce qui va aboutir Ă  des diffĂ©rences gĂ©nĂ©tiques importantes, une sĂ©lection sur des contraintes environnementales diffĂ©rentes qui finalement va conduire Ă  leur isolement reproductif. Deux espĂšces sont nĂ©es. L'essentiel De l’AntiquitĂ© jusqu’au XIXe siĂšcle, les naturalistes considĂ©raient l’espĂšce comme une entitĂ© permanente et stable. Les espĂšces prĂ©sentes avaient toutes cohabitĂ© et ne prĂ©sentaient donc aucun lien de parentĂ©. On pouvait regrouper les individus dans un groupe espĂšce selon des caractĂšres morphologiques. Tout individu prĂ©sentant des caractĂšres originaux », Ă©loignĂ© du modĂšle », Ă©tait considĂ©rĂ© comme une anomalie. La thĂ©orie de l’évolution de Charles Darwin vient rĂ©volutionner la notion d’espĂšce. Il affirme que toutes les espĂšces prĂ©sentes ont un lien de parentĂ© et qu’elles ont une durĂ©e de vie limitĂ©e dans le temps. Elles sont capables d’évoluer en fonction de la capacitĂ© qu’ont certains individus Ă  s’adapter aux nouvelles conditions du milieu. Aujourd’hui, la notion d’espĂšce n’est pas aussi simple Ă  dĂ©finir. Elle repose sur l’utilisation de plusieurs critĂšres qui ont chacun leurs limites ‱ Les critĂšres de phĂ©nĂ©tiques morphologie des individus ‱ Les critĂšres biologiques incluant l’interfĂ©conditĂ© et les donnĂ©es molĂ©culaires de flux de gĂšnes ‱ Les critĂšres Ă©cologiques. Il est acquis aujourd’hui que toutes les espĂšces prĂ©sentes actuellement ont toutes un lien de parentĂ© entre elles et qu’elles sont issues d’un processus complexe l’évolution. Elles ne sont donc pas immuables. L’émergence d’une nouvelle espĂšce nĂ©cessite l’isolement gĂ©nĂ©tique d’un groupe d’individus capables de se reproduire entre eux. Cet isolement peut ĂȘtre gĂ©ographique ou non. Dans ce dernier cas, ces individus ont perdu au hasard des mutations leur capacitĂ© Ă  se reproduire avec les autres individus de l’espĂšce dont ils sont issus. Vous avez dĂ©jĂ  mis une note Ă  ce cours. DĂ©couvrez les autres cours offerts par Maxicours ! DĂ©couvrez Maxicours Comment as-tu trouvĂ© ce cours ? Évalue ce cours !
EnsembleDespĂšces Dont Fait Partie La Gazelle - CodyCross Ici vous trouvez la solution exacte Ă  Ensemble DespĂšces Dont Fait Partie La Gazelle pour continuer dans le paquet CodyCross DĂ©filĂ© de Mode Groupe 525 Grille 4. Solution pour Ensemble DespĂšces Dont Fait Partie La Gazelle ANTILOPES PrĂ©cĂ©dent Suivant Solutions du mĂȘme Grille
Published on Monday 20 December 2021 Chaque annĂ©e, la direction de la sĂ©curitĂ© de l’Aviation civile DSAC tient un symposium sur la sĂ©curitĂ© des vols. Une documentation riche est collectĂ©e et restituĂ©e Ă  la communautĂ© aĂ©ronautique le programme, les prĂ©sentations, des comptes-rendus de table-ronde, ainsi que des supports documentaires complĂ©mentaires, les affiches du colloque et les affiches pĂ©dagogiques. Pour faire vivre la promotion de la sĂ©curitĂ© » et diffuser une culture positive de la sĂ©curitĂ©, la DSAC a mis en place, depuis 15 ans, une politique de communication externe dynamique dont le point d’orgue est le symposium annuel sur la sĂ©curitĂ© du transport aĂ©rien qui fĂ©dĂšre et rassemble les parties prenantes autour d’une thĂ©matique Ă  forts enjeux de sĂ©curitĂ©. En effet, la promotion de la sĂ©curitĂ© constitue l’un des trois piliers du programme de sĂ©curitĂ© de l’État mis en Ɠuvre par la DSAC, aux cĂŽtĂ©s de la rĂšglementation et de la surveillance. Chaque symposium constitue une occasion unique et privilĂ©giĂ©e de partage d’informations et d’échanges entre les partenaires intĂ©ressĂ©s, et permet Ă  chacun de communiquer sur sa vision du thĂšme proposĂ©. Incursions piste Jeudi 2 dĂ©cembre 2021 – Incursions piste comment collectivement gĂ©rer la sĂ©curitĂ© AprĂšs quatorze annĂ©es de travail depuis le premier symposium Incursion sur Piste » de 2007, aprĂšs trois versions du plan d’action europĂ©en pour la prĂ©vention des incursions sur piste, la DSAC met Ă  nouveau l’accent sur cette problĂ©matique dĂ©terminante, qui, pour citer l’agence de l’Union europĂ©enne pour la sĂ©curitĂ© aĂ©rienne, nĂ©cessite encore des actions importantes et urgentes ». Quels sont les risques ? Quelle est la place de l’humain et de l’organisation dans l’anticipation des Ă©vĂšnements ? Quels sont les moyens mĂ©thodologiques, technologiques et opĂ©rationnels pour y faire face ? En bref, comment collectivement gĂ©rer la sĂ©curitĂ© ? Ce 16e symposium annuel pour la sĂ©curitĂ© aĂ©rienne traite la thĂ©matique de maniĂšre Ă©largie et aborde les sujets liĂ©s aux opĂ©rations aĂ©riennes, au contrĂŽle aĂ©rien, aux activitĂ©s aĂ©roportuaires ainsi qu’à la formation des Ă©quipages et des diffĂ©rents acteurs de terrain. Les aspects technologiques permettant de rĂ©duire le risque sont Ă©galement traitĂ©s. Les spĂ©cificitĂ©s de l'aviation lĂ©gĂšre et des opĂ©rations hĂ©licoptĂšres sont Ă©galement Ă  l'ordre du jour. Le Symposium Le symposium a Ă©tĂ© enregistrĂ© et est intĂ©gralement disponible en ligne. Il a Ă©tĂ© interprĂ©tĂ© en anglais en direct. La version interprĂ©tĂ©e est Ă©galement disponible. Replay English version Les supports documentaires Livret de synthĂšse Incursions Piste Comment collectivement gĂ©rer la sĂ©curitĂ© ? PDF - Mo Check-list Ă  destination des conducteurs de vĂ©hicules et d’engins sur aires de manƓuvre PDF - Mo Exemple d’adaptation de la check-list pour Paris-Charles-de-Gaulle PDF - Mo Kit de rĂ©vision pour le roulage et la conduite sur aire de manƓuvre PDF - Mo Educational posters Taxying instructions PDF - Mo Do not anticipate the clearance PDF - Ko Safety, everyone bring his own piece PDF - Mo When in doubt, speak out! PDF - Ko Be vigilant, act responsibly PDF - Ko Drivers, don’t be a ghost! PDF - Mo Les vidĂ©os pĂ©dagogiques Dans le cadre du symposium, plusieurs vidĂ©os Ă  but pĂ©dagogiques ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©es une sĂ©rie basĂ©e sur l’incident grave de Providence, et une autre dĂ©diĂ©e aux bonnes pratiques Ă  mettre en Ɠuvre pour Ă©viter les incursions piste. Faible activitĂ© et risques pour la sĂ©curitĂ© La crise de la COVID-19 reprĂ©sente un bouleversement sans prĂ©cĂ©dent du monde aĂ©ronautique et a gĂ©nĂ©rĂ© des menaces nouvelles dont il convient d’étudier les effets, Ă  la fois sur le court et le long terme. La direction de la sĂ©curitĂ© de l'aviation civile a ainsi Ă©valuĂ© et analysĂ© les risques propres Ă  la pĂ©riode d’activitĂ© rĂ©duite, et compilĂ© les rĂ©sultats dans une Ă©tude publiĂ©e en mars 2021. Evaluation et analyse des risques de l’aviation civile pendant la pĂ©riode de faible activitĂ© 2020 PDF - Mo Un webinaire organisĂ© le 7 juillet 2021, de 14h Ă  16h30 UTC+2 est revenu sur cette Ă©tude ainsi que sur les principaux risques identifiĂ©s dans chaque domaine, et a prĂ©sentĂ© une mise Ă  jour de ses enseignements. En outre, il est destinĂ© Ă  prĂ©parer la gestion des risques inhĂ©rents Ă  la reprise. Le webinaire a permis Ă©galement aux participants d’interagir et d’échanger avec la DSAC sur les nouvelles menaces et sur les barriĂšres mises en place. Cet Ă©vĂ©nement se place dans la continuitĂ© de l’objectif de la DSAC de poursuivre l’accompagnement des opĂ©rateurs dans l’analyse de ces risques dans cette phase dĂ©licate. Le webinaire Un an aprĂšs - Faible activitĂ© et risques pour la sĂ©curitĂ© Afficher la version texte de la vidĂ©o La crise sanitaire reprĂ©sente un bouleversement sans prĂ©cĂ©dent du monde aĂ©ronautique et a gĂ©nĂ©rĂ© des menaces nouvelles dont il convient d’étudier les effets, Ă  la fois sur le court et le long terme. La DSAC a ainsi Ă©valuĂ© et analysĂ© les risques propres Ă  la pĂ©riode d’activitĂ© rĂ©duite dans laquelle l’aviation civile se trouvait et se trouve toujours au moment de cette invitation, et a publiĂ© une Ă©tude en mars 2021 sur l’évaluation et l'analyse des risques de l'aviation civile pendant la pĂ©riode de faible activitĂ© 2020. Le webinaire revient sur cette Ă©tude et sur les principaux risques identifiĂ©s dans chaque domaine en prĂ©sentant une mise Ă  jour de ses enseignements. En outre, il est destinĂ© Ă  prĂ©parer la gestion des risques inhĂ©rents Ă  la reprise. Cet Ă©vĂ©nement se place dans la continuitĂ© de l’objectif de la DSAC de poursuivre l’accompagnement des opĂ©rateurs dans l’analyse de ces risques dans cette phase dĂ©licate. Programme du webinaire Programme du webinaire Faible activitĂ© et risques pour la sĂ©curitĂ© PDF - Ko Compte-rendu du webinaire du 7 juillet 2021 Faible activitĂ© et risques pour la sĂ©curitĂ© Un an aprĂšs » PDF - Ko Batteries lithium Jeudi 3 dĂ©cembre 2020 - Batteries Lithium Anticiper le risque de feu Ă  bord En s’invitant dans le quotidien de millions de consommateurs, les smartphones et autres Ă©quipements rechargeables ainsi que les batteries qui les Ă©quipent sont devenus des compagnons de voyages et d’échanges. Les opĂ©rateurs aĂ©riens voient ainsi transiter dans les soutes, les cabines et les cockpits toujours plus de produits Ă©lectroniques prĂ©sents dans des sacs Ă  mains, des poches de vĂȘtements, des sacs Ă  dos, des bagages cabines, des valises, des conteneurs de fret aĂ©rien et des documentations opĂ©rationnelles d’équipages. Pour la plupart, ces produits Ă©lectroniques ne prĂ©sentent pas de danger car ils sont dĂ©veloppĂ©s rigoureusement et dans le respect de normes exigeantes de qualitĂ©. Toutefois, quelques faits divers viennent pĂ©riodiquement nous rappeler "qu'improbable" ne veut pas dire la mĂȘme chose "qu'impossible" il suffit de rechercher feu batterie lithium sur un moteur de recherche pour ĂȘtre submergĂ© d’articles de journaux ou de vidĂ©os souvent impressionnantes relatant quelques Ă©vĂšnements singuliers. En gĂ©nĂ©ral, l’emballement thermique d’un appareil Ă©lectronique n’a que peu de consĂ©quences malgrĂ© son aspect impressionnant. Mais qu’en serait-il dans un environnement aussi confinĂ© et complexe qu’un aĂ©ronef ? C’est pour tenter de rĂ©pondre Ă  cette question centrale qu’un grand nombre d’acteurs de l’aĂ©ronautique française s’est rĂ©unie cette annĂ©e pour vous prĂ©senter l'Ă©dition 2020 des Symposium DSAC, qui se tiendra pour la premiĂšre fois sous forme de webinaire. Le symposium Le symposium a Ă©tĂ© enregistrĂ© dans son intĂ©gralitĂ© et est disponible en ligne. ConfĂ©rences et tables rondes Ă  voir et Ă  revoir en cliquant sur le lien ci-dessous Captation du symposium Les affiches pĂ©dagogiques Protection, Équipement, Traitement, Surveillance PDF - Mo Surchauffe prĂ©venez l’équipage ! PDF - Mo Transfert de vos bagages cabine en soute PDF - Mo Batteries aux lithium attention, fragile ! PDF - Ko OpĂ©rations hĂ©licoptĂšres briefing des passagers PDF - Mo Helicopter operations Passengers briefing PDF - Mo Aviation lĂ©gĂšre protĂ©gez votre tablette PDF - Mo ULM Remplacement d’une batterie au plomb par une au lithium PDF - Mo Educational posters Protection, Equipement, Treatment, Surveillance PDF - Mo Overheat Inform the crew PDF - Mo Passengers, keep your batteries in the cabin PDF - Mo Lithium batteries Handle with care PDF - Mo Helicopter operations Passengers briefing PDF - Mo Light aviation protect your tablet PDF - Mo Ultralight Replacing a lead battery with a lithium battery PDF - Mo Les vidĂ©os de promotion de la sĂ©curitĂ© Le transport responsable des batteries au lithium - À l'aĂ©roport Le transport responsable des batteries au lithium - Le fret Le transport responsable des batteries au lithium - Les envoix postaux Emballement thermique d'un EFB Ă  bord d'un avion lĂ©ger - La conduite Ă  tenir Les risques des batteries au lithium - HĂ©licoptĂšres Les risques des batteries au lithium - Avions lĂ©gers Les risques des batteries au lithium - ULM TĂ©moignage - FumĂ©e en vol et amerrissage forcĂ© Traitement d’un emballement thermique en cabine avec 1 PNC Traitement d'un emballement thermique en cabine avec 2 PNC Traitement d’un emballement thermique dans un cockpit avec 2 PNT et 2 PNC Traitement d’un emballement thermique dans un cockpit Ă©troit monopilote - avion non pressurisĂ© Safety promotion videos The responsible transport of lithium batteries - At the airport The responsible transport of lithium batteries - The freight transport The responsible transport of lithium batteries - Postal shipments Treatment of a thermal runaway in cabin with 1 flight attendant Treatment of a thermal runaway in cabin with 2 flight attendants Treatment of a thermal runaway in cockpit with 2 pilots and 2 flight attendants Treatment of a thermal runaway in a narrow single pilot cockpit - Non-pressurised aircraft Drones et espaces aĂ©riens Jeudi 28 novembre 2019 - Drones et espaces aĂ©riens Le thĂšme de ce 14e Symposium de la DSAC porte sur l'intĂ©gration des drones dans l'espace aĂ©rien, aux cĂŽtĂ©s de l'aviation habitĂ©e. Toutes les parties prenantes reprĂ©sentĂ©es - administrations, opĂ©rateurs de drones privĂ©s et Ă©tatiques sĂ©curitĂ© civile, police, dĂ©fense, industriels constructeurs, Ă©quipementiers, fournisseurs de services U-Space, donneurs d'ordre, aĂ©roports, compagnies aĂ©riennes et reprĂ©sentants de l'aviation habitĂ©e - ont pu Ă©changer sur La vision que porte l’aĂ©ronautique habitĂ©e sur les enjeux posĂ©s par le dĂ©veloppement des activitĂ©s drones, et notamment le risque de collision et les usages malveillants L’utilisation actuelle et future de l’espace aĂ©rien par les drones, mettant en lumiĂšre que la cadre rĂ©glementaire actuel avait permis d'accompagner de nombreux usages Les modalitĂ©s actuelles de sĂ©grĂ©gation et d’arbitrage des demandes d’espaces, illustrant la nĂ©cessitĂ© de travailler sur la modernisation des mĂ©thodes et des moyens Les futurs services U-Space, indiquant que de nombreux services Ă©taient dĂ©jĂ  en place en France, et que l'on allait entrer dans une phase exploratoire La journĂ©e a Ă©tĂ© riche d’échanges, avec une forte interaction avec le public. Les discussions nourriront les rĂ©flexions en vue des Ă©volutions rĂ©glementaires Ă  venir en France, consĂ©cutives Ă  l’application progressive de la nouvelle rĂ©glementation europĂ©enne. Le symposium a notamment illustrĂ© le rapprochement et l’acculturation progressive entre les communautĂ©s de l’aviation historique » d'une part, et des opĂ©rateurs de drones d'autre part. Les dĂ©bats ont par ailleurs rappelĂ© que le dĂ©veloppement de l’usage des drones passera par son acceptabilitĂ©, tant par le monde de l’aviation civile que par la sociĂ©tĂ© dans son ensemble. A cet Ă©gard, la lutte contre les usages malveillants reste particuliĂšrement importante. L’intĂ©gration des drones dans tous les espaces aĂ©riens se fera de maniĂšre progressive, et sera accompagnĂ©e d’exigences fortes de sĂ©curitĂ© tant sur les aĂ©ronefs que sur les services associĂ©s. ConfĂ©rences Ouverture du Symposium IntĂ©gration des drones dans l'espace aĂ©rien les risques et les rĂšgles L’espace aĂ©rien, une ressource exploitĂ©e pour de nombreux usages Des enjeux de sĂ©curitĂ© et de dĂ©fense nationale Table ronde 1 Les drones des besoins d’espace en croissance constante L’espace une ressource publique limitĂ©e Drones et aĂ©rodromes opportunitĂ©s et menaces Table ronde 2 Le regard d’un pays frontalier U-Space quels services pour quels besoins ? Table ronde 3 Conclusion du symposium Les prĂ©sentations de la journĂ©e N. Marcou - Intégration des drones dans l'espace aérien PDF - 2 Mo E. Gobert - La menace drones PDF - Mo F. Fouchet - Cohabitation de l'ensemble des acteurs PDF - Mo Borja - Drones et sécurité aéronautique d’État PDF - Mo M. Renaux et P. Bar - Nombreux cas d’usages professionnels PDF - Mo N. Pollet - Usages des drones en environnements industriels PDF - Mo V. Clicques - Quel enjeu réglementaire pour les drones d’urgence ? PDF - Mo G. Mougenot et Cotto - Les drones et les fédérations d'aviation légère et sportive PDF - Ko P. Mesquida - L’organisation et la gestion de l’espace aérien PDF - Mo O. Sciara - Drones et aéroports - opportunités et menaces PDF - Mo F. Mainfroy - Le U-Space est déjà parmi nous PDF - Mo C. RonflĂ©-Nadaud - Quels services pour gĂ©rer le risque air ? PDF - Mo Les affiches pĂ©dagogiques Respect des hauteurs maximales de vol PDF - Ko Respect de la vie privĂ©e PDF - Ko Formation sur Fox Alpha Tango PDF - Mo Survol de personnes interdit PDF - Ko Notification et analyse des Ă©vĂšnements pour la sĂ©curitĂ© de tous PDF - Ko Respect des restrictions PDF - Ko Attention aux vols hors vue PDF - Ko PrioritĂ© aux aĂ©ronefs habitĂ©s PDF - Ko TCAS & MixitĂ© de trafic Jeudi 29 novembre 2018 – TCAS & MixitĂ© de trafic ĂȘtre vu, voir et Ă©viter Le thĂšme retenu pour cette 13Ăšme Ă©dition des symposiums DSAC Ă©tait le Traffic alert and Collision Avoidance System, plus communĂ©ment dĂ©signĂ© TCAS ; en français systĂšme d'alerte de trafic et d'Ă©vitement de collision ». Ce choix a Ă©tĂ© motivĂ© par le fait que de nombreux Ă©vĂ©nements de rapprochement entre trafics sous rĂ©gimes de vol diffĂ©rents, Ă©quipĂ©s de systĂšmes de surveillance diffĂ©rents, Ă©taient rapportĂ©s chaque annĂ©e Ă  l’AutoritĂ©. De plus, les axes d’amĂ©liorations identifiĂ©s localement par les acteurs de la sĂ©curitĂ© aĂ©rienne sont d’intĂ©rĂȘt pour l’ensemble de la communautĂ© aĂ©ronautique afin d’établir des bonnes pratiques. Ainsi, le retour d’expĂ©rience attendu permet d’alimenter la rĂ©flexion des acteurs et d’amĂ©liorer l’exercice de la sĂ©paration entre les diffĂ©rents usagers de l’espace aĂ©rien. Une rĂ©flexion transverse faisant intervenir les compagnies aĂ©riennes, les fĂ©dĂ©rations d’utilisateurs aĂ©ronautiques, les prestataires de services de la navigation aĂ©rienne et les autoritĂ©s a permis de dĂ©gager plusieurs axes de rĂ©flexion sur l’amĂ©lioration de la sĂ©curitĂ©. Les axes de la journĂ©e Ă©taient PrĂ©venir les abordages en utilisant la barriĂšre technologique TCAS, AmĂ©liorer la conscience des trafics Ă  proximitĂ©, AmĂ©liorer la coordination de la mixitĂ© de trafic dans l’espace aĂ©rien, AmĂ©liorer la mise en Ɠuvre du voir et Ă©viter ». La premiĂšre partie du symposium consistait en un rappel sur le fonctionnement et les limitations du systĂšme anti-abordage Ă©quipant la majoritĂ© des avions en transport public, dans un contexte de mixitĂ© de trafic. Une rĂ©flexion ensuite sur les moyens de prĂ©vention des abordages auprĂšs de l’ensemble des utilisateurs de plateformes et d’espaces Ă©tait proposĂ©e afin de contribuer Ă  un renforcement de la conscience de la prĂ©sence des trafics. Le thĂšme de l’utilisation des espaces aĂ©riens et la coordination entre trafic de diffĂ©rentes natures a Ă©tĂ© l’occasion d’identifier des bonnes pratiques cĂŽtĂ© sol et cĂŽtĂ© bord afin de limiter le dĂ©clenchement d’alarme dans les cockpits. Enfin un rappel sur les moyens de prĂ©vention des abordages et de la rĂ©alisation des manƓuvres d’évitement par les Ă©quipages, a contribuĂ© Ă  une amĂ©lioration de la gestion de ces situations. L'Ă©vĂ©nement Ă©tait retransmis en visioconfĂ©rence dans les DSAC/IR et en streaming. Les prĂ©sentations de la journĂ©e SystĂšme TCAS Fonctionnement et limitations, par David Nouvel BEA et BenoĂźt SempĂ© DSAC PDF - Mo Table ronde "Espace et prĂ©vention des dĂ©clenchements TCAS" animĂ©e par François Blanc. Avec Philippe Bizet DSNA, Marie-Eve Brihaye DTA, Colonel Christophe Hindermann DSAĂ©, Alain Jamet DSAC, Christian Santini FFPLUM, Eric Tricaud DSNA PDF - Mo Perspective technique Solution d'amĂ©lioration de la dĂ©tection des conflits, par Olivier Outtier DSAC PDF - Mo Retour d'expĂ©rience PrĂ©venir les risques d'abordages, par Paul-Emmanuel Thurat DSAC et GĂ©rard Tremblin AĂ©roport de Saint-Pierre Pierrefonds - Ile de La RĂ©union PDF - Mo Retour d'expĂ©rience EnquĂȘte de proximitĂ© sur le terrain de Luxembourg, par Pascal Kremer CdB Luxair PDF - Mo PrĂ©vention des abordages pilotage et gestion des risques, par Charles Jacquet OCV PDF - Mo PrĂ©vention des abordages pilotage et gestion des risques, par FrĂ©dĂ©ric Allart et Patrick Ney Hop PDF - Mo IntĂ©gralitĂ© du symposium les sĂ©quences filmĂ©es de la journĂ©e Ouverture du symposium, par FrĂ©dĂ©ric MĂ©dioni, directeur technique AĂ©roports et Navigation aĂ©rienne DSAC SystĂšme TCAS Fonctionnement et limitations, par David Nouvel BEA et BenoĂźt SempĂ© DSAC Table ronde "Espace et prĂ©vention des dĂ©clenchements TCAS", animĂ©e par François Blanc Journaliste avec Philippe Bizet DSNA, Marie-Eve Brihaye DTA, Colonel Christophe Hindermann DSAĂ©, Alain Jamet DSAC,Christian Santini FFPUM,Eric Tricaud DSNA Perspective technique Solutions d'amĂ©lioration de la dĂ©tection des conflits, par Olivier Outtrey DSAC Retour d'expĂ©rience PrĂ©venir les risques d’abordage, par Paul Emmanuel Thurat DSAC et GĂ©rard Tremblin AĂ©roport de Saint-Pierre Pierrefonds - Ile de La RĂ©union Retour d'expĂ©rience EnquĂȘte de proximitĂ© sur le terrain de Luxembourg, par Pascal Kremer CdB Luxair PrĂ©vention des abordages Pilotage et gestion des risques par Charles Jacquet OCV, FrĂ©dĂ©ric Allart & Patrick Ney HOP Conclusion et clĂŽture du symposium, par FrĂ©dĂ©ric MĂ©dioni, directeur technique AĂ©roports et Navigation aĂ©rienne DSAC Travaux sur pistes Jeudi 7 dĂ©cembre 2017 – Travaux sur pistes construire ensemble la sĂ©curitĂ© La 12eme Ă©dition des symposiums de la DSAC s'est tenue le jeudi 7 dĂ©cembre Ă  la DGAC Ă  Paris. Le thĂšme retenu cette annĂ©e Ă©tait les Travaux sur piste. Ce choix Ă©tait motivĂ© par le fait qu’un certain nombre de plateformes françaises majeures conduisent, ont conduit ou vont ĂȘtre amenĂ©es Ă  entreprendre des travaux de grande ampleur, sur, ou Ă  proximitĂ© de leurs pistes. Ce choix a Ă©galement Ă©tĂ© motivĂ© par le fait que dans les vingt derniĂšres annĂ©es, quatre incidents sĂ©rieux ont eu lieu sur des plateformes françaises dont la piste Ă©tait en travaux. Travaux sur pistes construire ensemble la sĂ©curitĂ© » devenait donc une Ă©vidence. Exploitants d’aĂ©rodromes, prestataires de services de la navigation aĂ©rienne et compagnies aĂ©riennes françaises, tous concernĂ©s, sont donc venus partager leur expĂ©rience et leur vision des situations de travaux. Il s’agissait en effet, durant cette journĂ©e, de mieux identifier les risques inhĂ©rents aux travaux sur aĂ©rodromes. Au travers de l’analyse du BEA sur l'incident grave survenu Ă  Lyon Saint-ExupĂ©ry en septembre 2013, de la cartographie des risques prĂ©sentĂ©e par la mission Ă©valuation et amĂ©lioration de la sĂ©curitĂ© de la DSAC, ainsi qu’à partir des diffĂ©rentes enquĂȘtes internes ayant eu lieu chez les opĂ©rateurs, une rĂ©flexion commune a permis de dĂ©gager plusieurs axes d'amĂ©lioration de la sĂ©curitĂ© en pĂ©riode de travaux. La coordination est apparue aussi extrĂȘmement importante et nĂ©cessaire entre les diffĂ©rents acteurs, exploitants des aĂ©rodromes en travaux et services de la navigation aĂ©rienne associĂ©s notamment, celle-ci devant permettre d’atteindre un niveau de sĂ©curitĂ© optimal. L’exemple d’Orly, prĂ©sentĂ© par l’exploitant ADP et le service de la navigation aĂ©rienne d’Orly, en a fait la dĂ©monstration. Cette journĂ©e a Ă©tĂ© aussi l’occasion d’aborder un autre thĂšme phare, celui de l’information aĂ©ronautique. Si les dĂ©faillances dans l’élaboration ou la prise en compte de l’information aĂ©ronautique ne sont pas toujours perçues comme un risque majeur, il s’agit d’un risque rĂ©current, facteur contributif d’un grand nombre d’évĂ©nement de sĂ©curitĂ©, particuliĂšrement en pĂ©riode de travaux. La non intĂ©gration, en effet, par un Ă©quipage, d’une information aĂ©ronautique essentielle pour la sĂ©curitĂ©, comme justement l’existence de travaux sur la piste utilisĂ©e, peut avoir des consĂ©quences graves. Ce fut l’objet de la table ronde de l'aprĂšs-midi qui a mis en avant les diffĂ©rents moyens que les exploitants peuvent mettre en Ɠuvre pour rĂ©ussir Ă  prĂ©venir les usagers des travaux et des Ă©ventuelles restrictions d’exploitation et risques en lien avec cette situation toute particuliĂšre. De nombreuses recommandations et bonnes pratiques ont Ă©tĂ© mises en Ă©vidence lors de cette journĂ©e, notamment Que la prĂ©paration des travaux qui tourne autour de l’étude de sĂ©curitĂ© nĂ©cessite une coordination toujours accrue entre les diffĂ©rents acteurs impactĂ©s par le changement. La DSAC Ɠuvrera pour amĂ©liorer cette coordination entre acteurs en amont des travaux. Que les opĂ©rations sous chantiers peuvent subir de fortes pressions temporelles, qui nĂ©cessitent Ă©galement une grande coordination entre les diffĂ©rents acteurs, mais cette fois, en temps rĂ©el. Il faudra donc veiller bien entendu Ă  respecter, autant que possible, ces contraintes temporelles, mais jamais au dĂ©triment de la sĂ©curitĂ©. Que cette coordination implique Ă©galement la DSAC, qui apporte un regard critique Ă  l’étude de sĂ©curitĂ© et valide formellement certains changements impactants pour la sĂ©curitĂ© des opĂ©rations aĂ©roportuaires. En gĂ©nĂ©ral, tous les travaux sur, ou Ă  proximitĂ© des pistes, font l’objet d’une notification pour approbation. La DSAC Ɠuvrera pour que cette coordination se fasse dans la meilleure entente possible, en respectant certains dĂ©lais, notamment liĂ©s Ă  la notification du changement, et Ă  la date limite d’approbation. Que l’information aĂ©ronautique en temps de travaux est un point sensible Ă©tant donnĂ© les alĂ©as liĂ©s au dĂ©roulement des travaux. La DSAC, et toutes les parties prenantes, Ɠuvreront ensemble pour respecter les prĂ©conisations du SIA exposĂ©es aujourd’hui afin de produire une information aĂ©ronautique de la meilleure qualitĂ© possible, notamment lors de situations critiques. Que la coordination avec les usagers en temps de travaux ne se rĂ©duisait pas Ă  l’information aĂ©ronautique. Cette coordination passe Ă©galement par un meilleur guidage au sol via des aides visuelles accrues. DSAC et STAC continueront Ă  travailler dans les instances internationales pour dĂ©finir de nouvelles rĂšgles communes permettant d’accroĂźtre la sĂ©curitĂ© au sol. De plus, les plus grands aĂ©roports mettent tous en Ɠuvre des comitĂ©s de sĂ©curitĂ© qui visent Ă  sĂ©curiser les opĂ©rations liĂ©es Ă  la piste les LRST. C’est notamment dans ces instances que l’exploitant, en collaboration avec le service de la circulation aĂ©rienne, promeut la sĂ©curitĂ© liĂ©e aux travaux et avertit les usagers des risques potentiels. Les compagnies aĂ©riennes sont encore trop peu reprĂ©sentĂ©es dans ce genre d’instances. La DSAC encouragera donc autant que possible cette participation qui contribue grandement Ă  l’amĂ©lioration de la sĂ©curitĂ© et Ă  l'augmentation de la conscience de la situation des Ă©quipages. Que le partage d’expĂ©rience liĂ© aux travaux entre opĂ©rateurs Ă©tait primordial afin d’assurer une certaine continuitĂ© dans l’amĂ©lioration de la sĂ©curitĂ©, non seulement en interne Ă  une plateforme pour les travaux suivants, mais Ă©galement entre aĂ©rodromes, Ă©tant donnĂ© que les travaux sur pistes constituent des opĂ©rations trĂšs peu courantes pour une plateforme donnĂ©e. Un Ă©vĂ©nement survenu lors d’une pĂ©riode de travaux doit devenir un Ă©vĂ©nement redoutĂ© pris en compte dans l’étude de sĂ©curitĂ©, que ce soit sur cette mĂȘme plateforme, ou sur une autre. La DSAC encouragera ce partage d’expĂ©rience, notamment dans le cadre du rĂ©seau sĂ©curitĂ© des vols France RSVF. Affiche officielle du Symposium 2017 PDF - Mo Programme Symposium 2017 PDF - Mo Le jingle officiel de la journĂ©e SĂ©quence vidĂ©o de la journĂ©e les interviews IntĂ©gralitĂ© du symposium les sĂ©quences filmĂ©es de la journĂ©e Ouverture du symposium, par Patrick Cipriani, directeur de la sĂ©curitĂ© de l'Aviation civile Enseignements sur les principaux incidents en lien avec les travaux, par Alain Agnesetti BEA et Patrick Legrand DSAC/MEAS Table ronde "Risques-moyens-difficultĂ©s spĂ©cifiques liĂ©s aux travaux dans un contexte aĂ©roportuaire", animĂ©e par StĂ©phane PeyrĂ© Mediasprod avec la participation de David GonçalvĂšs Eurovia, Claude Sarter DSNA-SNA/CE, Jean-Lucien Tarrillon Hop!-RSVF, François Verhaeghe DSNA-SNA/RP-CdG, Emmanuel Verva Groupe ADP-CdG Coordination aĂ©roport-navigation aĂ©rienne et autres lors de la prĂ©paration des travaux, par Olivier Phalippou Groupe ADP-Orly et Virgile Dion DSNA-SNA/RP-Orly Suivi et acceptation des travaux par l'autoritĂ© compĂ©tente, par BĂ©rioska Marchant DSAC/ANA/SMN et Paul Humblot DSAC/NE Information aĂ©ronautique en temps de travaux de son Ă©laboration Ă  sa perception, par Jean-Louis Barou DSNA/SIA et BenoĂźt Lechardoy Air France Table ronde "Coordination avec les usagers aller au-delĂ  de l'information aĂ©ronautique", animĂ©e par StĂ©phane PeyrĂ© Mediasprod avec la participation de Pauline Beauzetier AĂ©roport de Limoges, JĂ©rĂŽme Dufossez DSNA/DO, Marc Huault AĂ©roport de Toulouse et GT Infra Les AĂ©roports Francophones, SĂ©bastien Mirouze STAC, AndrĂ© Vernay DSAC/MEAS Tirer profit des enseignements post-travaux pour les suivants l'exemple de Nantes Atlantique, par Florence Viau AĂ©roport de Nantes Atlantique Conclusion et clĂŽture du symposium, par Patrick Cipriani, directeur de la sĂ©curitĂ© de l'Aviation civile Ouverture du symposium Enseignements sur les principaux incidents en lien avec les travaux Table ronde "Risques-moyens-difficultĂ©s spĂ©cifiques liĂ©s aux travaux dans un contexte aĂ©roportuaire" Coordination aĂ©roport-navigation aĂ©rienne et autres lors de la prĂ©paration des travaux Suivi et acceptation des travaux par l'autoritĂ© compĂ©tente Table ronde "Coordination avec les usagers aller au-delĂ  de l'information aĂ©ronautique" Information aĂ©ronautique en temps de travaux de son Ă©laboration Ă  sa perception Tirer profit des enseignements post-travaux pour les suivants l'exemple de Nantes Atlantique Conclusion et clĂŽture du symposium Guide relatif Ă  l'exĂ©cution de travaux sur les aĂ©rodromes Les prĂ©sentations 1- Rapport sur l'incident du 5/9/2013 Ă  Lyon Saint-ExupĂ©ry BEA PDF - Ko 2- Tour d'horizon des risques DSAC-MEAS PDF - Mo 3- Table ronde "Risques-moyens et difficultĂ©s spĂ©cifiques liĂ©s aux travaux dans un contexte aĂ©roportuaire" PDF - Ko 4- Coordination Exploitant/SNA. L'exemple de Paris-Orly ADP & SNA/RP/Orly PDF - Mo 5- Suivi et acceptation des changements par l'AutoritĂ© DSAC PDF - Mo 6- Information aĂ©ronautique. Incident au dĂ©collage Ă  Lisbonne Air France PDF - Mo 7- Information aĂ©ronautique. Annexes OACI & SystĂšme AIRAC DSNA/SIA PDF - Mo 8- Table ronde "Coordination avec les usagers aller au delĂ  de l'information aĂ©ronautique" PDF - Mo 9- Gestion d'un changement-Modification des aires de stationnement AĂ©roport de Nantes Atlantique PDF - Mo Gestion des risques et maĂźtrise du vol Jeudi 8 dĂ©cembre 2016 - Gestion des risques et maĂźtrise du vol pertes de vitesse non dĂ©tectĂ©es pouvant mener Ă  des pertes de contrĂŽle. Comme chaque annĂ©e, la direction de la sĂ©curitĂ© de l’Aviation civile DSAC organise un symposium sur un thĂšme concernant la sĂ©curitĂ© des vols. Cette initiative permet de rassembler les acteurs de l’aviation civile autour d’une rĂ©flexion commune et de favoriser le partage des expĂ©riences, en vue de dĂ©gager des axes d’amĂ©lioration de la sĂ©curitĂ©. Pour 2016, la DSAC a retenu le thĂšme des pertes de vitesse non dĂ©tectĂ©es pouvant mener Ă  des pertes de contrĂŽle. L’absence de rĂ©action adĂ©quate de la part des Ă©quipages peut avoir des origines diverses effet de surprise, conscience de la situation erronĂ©e, doute sur les paramĂštres et systĂšmes d’alarmes, performance dĂ©gradĂ©e du pilotage sous l’effet du stress, mutation des anciennes compĂ©tences vers celles nĂ©cessaires Ă  gĂ©rer les automatismes ... Cette Ă©numĂ©ration n’est pas exhaustive. Au-delĂ  des thĂšmes dĂ©jĂ  Ă©voquĂ©s dans les symposiums de 2011 "Du traitement des Ă©vĂ©nements Ă  la gestion des risques" et de 2014 "Former utile", le symposium 2016 "Gestion des risques et maĂźtrise du vol" visait notamment Ă  enrichir les outils d’analyse pour mieux identifier les prĂ©curseurs de situations Ă  risque et optimiser ainsi les pratiques de l’exploitant en matiĂšre de choix d’actions de sĂ©curitĂ©, prĂ©ventives ou correctives procĂ©dures, formation, communication. Ă  optimiser une boucle vertueuse traitant des Ă©vĂ©nements de sĂ©curitĂ©, et parcourant tour Ă  tour, leur dĂ©claration, leur analyse, la quantification du risque associĂ© tant de la part des Ă©quipages que des acteurs du SGS des compagnies, la communication vers l’AutoritĂ© et les constructeurs et ses attendus. Ainsi, les connaissances thĂ©oriques, l’effet de surprise, le reporting, la certification et le suivi de navigabilitĂ©, le SGS, ont constituĂ© les thĂšmes des discussions et tables rondes de la journĂ©e. On peut retenir de cette journĂ©e, animĂ©e et modĂ©rĂ©e par ChloĂ© NabĂ©dian et François Blanc, journalistes, l'engagement de tous les acteurs prĂ©sents dans la volontĂ© de travailler ensemble Ă  l'amĂ©lioration de la sĂ©curitĂ© sur ces thĂšmes, les gisements d'amĂ©lioration de la formation dans ces domaines Ă©mergents que sont la gestion du stress, le rĂŽle du pilote monitoring dans ces situations, l'Ă©volution de l’utilisation des simulateurs, sans oublier l'importance des connaissances thĂ©oriques et pratiques des pilotes, pilotage manuel, les "back to basics", l'apport des travaux engagĂ©s par les constructeurs, les certificateurs, pour mieux tenir compte de ces situations. Il est ressorti Ă©galement la volontĂ© de mieux utiliser et partager le retour d'expĂ©rience. Les discussions ont fait Ă©tat de quantification du ressenti du risque au niveau pilote et d'interfaces entre pilote et SGS, entre SGS aux interfaces, entre SGS des opĂ©rateurs et programmes de sĂ©curitĂ© des autoritĂ©s... Dans son discours de clĂŽture, Patrick Cipriani, directeur de la sĂ©curitĂ© de l'Aviation civile, s'est engagĂ© Ă  ce que ses services donnent des suites aussi concrĂštes que possible Ă  cette journĂ©e, notamment par la mise en place d'actions ciblĂ©es sur ces sujets. Dans son discours de clĂŽture, Patrick Cipriani, directeur de la sĂ©curitĂ© de l’Aviation civile, s’est engagĂ© Ă  ce que ses services donnent des suites aussi concrĂštes que possible Ă  cette journĂ©e, notamment par la mise en place d’actions ciblĂ©es sur ces sujets. SĂ©quence vidĂ©o de la journĂ©e Jingle d’ouverture de la journĂ©e Programme Symposium 2016 PDF - Mo Le support documentaire 1-Gestion des risques et maĂźtrise du vol. Document de synthĂšse PDF - Mo 2- Domaine de vol et survitesse. Brochure OCV PDF - Mo 3- Le dĂ©crochage "revenir aux incidences de vol" PDF - Mo 4- Guide Incidents Notification, Analyse et Suivi PDF - Mo Les prĂ©sentations Certification - Socle des compĂ©tences pilote et certification des aĂ©ronefs Facteurs humains et effet de surprise - ElĂ©ments factuels et hypothĂšses neuro-scientifiques PDF - Mo Facteurs humains et effet de surprise - Nouvelles thĂ©matiques CRM PDF - Mo Formation thĂ©orique et pratique des pilotes - Fondamentaux du vol longitudinal PDF - Mo Formation thĂ©orique et pratique des pilotes - DĂ©veloppement des nouvelles formations chez Air France PDF - Mo Reporting - Retour d'expĂ©rience et maĂźtrise du vol PDF - Mo Reporting - Evalution du niveau de risque. Le ressenti pilote PDF - Mo Certification - Du dĂ©veloppement au suivi de navigabilitĂ© PDF - Mo SGS en compagnies PDF - Mo Assistance en escale 10 dĂ©cembre 2015 Assistance en escale SĂ©curitĂ© des vols, agir ensemble au sol Depuis plusieurs annĂ©es, la rationalisation de l’utilisation des avions a conduit Ă  rĂ©duire au minimum les temps passĂ©s en escale et au sol. Sur leurs points de stationnement, dessinĂ©s au plus juste par les concepteurs d’aĂ©roports, interviennent une multitude de prestataires fournissant chacun un service dans des dĂ©lais contraints. Dans le cadre de cette coactivitĂ© autour des avions, apparaissent alors des problĂ©matiques comme celle du chargement et de l’arrimage et de leurs consĂ©quences sur les plans de masse et centrage, ou celle encore des chocs sur les avions qui constituent autant de risques majeurs pour la sĂ©curitĂ© des vols. Il convient de rappeler le fait que la sĂ©curitĂ© des vols est une prioritĂ© absolue pour tous les acteurs du secteur aĂ©ronautique, compagnie comme assistants en escale qui se font un point d’honneur Ă  respecter cette prioritĂ©. Les axes d’amĂ©lioration identifiĂ©s dans le cadre du symposium ne remettent aucunement en cause ce principe. Si les Ă©vĂšnements de sĂ©curitĂ© liĂ©s Ă  l’assistance en escale ne ressortent pas parmi les premiĂšres causes directes d’accidents, ils interviennent souvent comme des facteurs contributeurs avĂ©rĂ©s. DĂ©dier le symposium 2015 Ă  l’assistance en escale a pour objectif de mobiliser tous les acteurs intervenant au sol autour de l’avion afin de rĂ©duire les risques liĂ©s Ă  leur activitĂ© car la sĂ©curitĂ© des vols passe, au sol, par une coactivitĂ© de qualitĂ©. DĂ©dier le symposium 2015 Ă  l’assistance en escale avait pour objectif de mobiliser tous les acteurs intervenant au sol autour de l’avion afin de rĂ©duire les risques liĂ©s Ă  leur activitĂ© car la sĂ©curitĂ© des vols passe, au sol, par une co-activitĂ© de qualitĂ©. La sĂ©quence vidĂ©o prĂ©sentĂ©e ici fait un rapide tour d’horizon de ce que fut cette journĂ©e. SĂ©quence vidĂ©o de la journĂ©e Programme – Symposium Assistance en escale SĂ©curitĂ© des vols, agir ensemble au sol PDF - Ko Les supports documentaires Document de synthĂšse PDF - Mo Assistance en escale et sĂ©curitĂ© des vols. Etat de l’art, bonnes pratiques et sensibilisation Version FR PDF - Mo Ground Handling and Flight Safety. Basics, best practices and awareness-raising UK PDF - Mo Le dispositif PDF - Mo Pilotage et administration du dispositif PDF - Ko Manuel PDF - Mo N° 15 - thĂšme Assistance en escale prĂ©parer au sol la sĂ©curitĂ© du vol PDF - Mo N° 23 - thĂšme Givrage au sol, danger en vol PDF - Mo Les prĂ©sentations Voir la vidĂ©o de la prĂ©sentation "Mettre la technologie au service de la sĂ©curitĂ© des vols" par LoĂŻc Suijlen TLD et Laurent Decoux - Directeur technique TLD Group 1 - Partager une vision commune des risques. La vision du BEA par Nathalie Gilliers PDF - Ko 2 - Partager une vision commune des risques. La vision de la DGAC par Georges Welterlin PDF - Mo 3 - Partager une vision commune des risques. La vision de l’assistant en escale par Alexandre Bourgain GEH PDF - Mo 4 - Approche sĂ©curitĂ© d’une compagnie dans la gestion des sous-traitants par Yann Duval Aigle Azur PDF - Mo 5 - Renforcer les relations des compagnies aĂ©riennes avec le sous-traitant par JoĂ«l Davidas WFS PDF - Mo 6 - DĂ©marche IGOM et label ISAGO par StĂ©phaneTaret et Patrick Debuchy Air France PDF - Mo 7 - Mettre la technologie au service de la sĂ©curitĂ© des vols par David Bousigue OKTAL PDF - Mo 8 - Mettre la technologie au service de la sĂ©curitĂ© des vols par FrĂ©dĂ©ric Lebreton VESTERGAARD PDF - Mo 9 - Mettre la technologie au service de la sĂ©curitĂ© des vols par LoĂŻc Suijlen TLD et Laurent Decoux- Directeur technique TLD Group PDF - Mo 10 - Le dispositif CSCE de la CSAE-FNAM par Christian Lespine CSAE PDF - Mo 11 - DĂ©velopper une culture de sĂ©curitĂ© par Jean-LucienTarrillon Hop ! PDF - Mo 12 - AmĂ©lioration de la touchĂ©e-ZEC performante et LOSA par Rosanne Cambrea-Boltz Air France PDF - Mo 13 - CoactivitĂ© autour des avions en composite. Cas de l’A350 par Didier Gendre Airbus + vidĂ©o A350- Ground operation spĂ©cific requirements PDF - Mo 14 - RĂŽle du coordonnateur avion par Mathieu CompiĂšgne GEH PDF - Ko 15 - Le dimensionnement des aires de trafic par Marc Delaunay Vinci Airports PDF - Mo 16 - Adapter les postes avions et faciliter les opĂ©rations d’assistance en escale par JĂ©rĂŽme Lauferon ADP PDF - Mo 17 - Assistance en escale et sĂ©curitĂ© des vols. Etat de l’art, bonnes pratiques et sensibilisation par Nicolas Turcot STAC PDF - Mo Former utile 1 dĂ©cembre 2014 - Former utile le maintien des compĂ©tences des pilotes dans les compagnies aĂ©riennes Ce symposium avait pour but d’optimiser les entraĂźnements et contrĂŽles pĂ©riodiques des pilotes d’avion et d’hĂ©licoptĂšre en transport public afin de les faire correspondre au mieux aux besoins spĂ©cifiques de chaque exploitant, en allant jusqu’à la mise en place de formations de type ATQP pour ceux qui en auraient la volontĂ©. Un groupe de travail, rassemblant l’AutoritĂ© et plusieurs compagnies aĂ©riennes, a rĂ©flĂ©chi au dĂ©veloppement d’un certain nombre d’outils et de mĂ©thodes visant Ă  amĂ©liorer les ECP tels qu’ils existent Ă  l’heure actuelle travail sur les compĂ©tences, la standardisation des instructeurs nĂ©cessaire Ă  l’évaluation de ces derniĂšres, outils de retour d’expĂ©rience, intĂ©gration de la formation dans le SGS... Plus spĂ©cifiquement, ce groupe a eu l’objectif de dĂ©terminer les bonnes pratiques de mise en Ɠuvre concrĂšte de l’ATQP. Ce groupe s’est Ă©galement intĂ©ressĂ© au concept de l’Evidence Based Traininig EBT afin d’en dĂ©finir les modalitĂ©s d’application en France. Une large place a Ă©tĂ© donnĂ©e au rĂŽle des instructeurs et des systĂšmes de gestion de la sĂ©curitĂ©. Programme du symposium Former utile PDF - Ko Les guides Guide DĂ©veloppement et Ă©valuation des compĂ©tences des pilotes PDF - Ko Guide Formation au sein du systĂšme de gestion PDF - Mo Guide CrĂ©ation des scĂ©narios PDF - Mo Guide Mise en Ɠuvre pratique de l’ATQP PDF - Mo Les prĂ©sentations 1 - CompĂ©tences pilote et enquĂȘte de sĂ©curitĂ© par Nathalie de Ziegler BEA PDF - Mo 2 - Evidence-based training par MichaĂ«l Varney EBT Foundation PDF - Mo 3- Évaluation des compĂ©tences par Antony ZĂ©au Corsair et Richard Bonnier SynRjy PDF - Mo 4 - Évolution du systĂšme de notation par Alexis Karrer Hop ! RĂ©gional PDF - Mo 5 - La formation au sein du SGS par Pierre Sautereau et Georges Michaud Transavia PDF - Mo 6 - EBT la vision de l’Agence et les perspectives rĂ©glementaires par Kerry Booth AESA PDF - Ko 7 - PrĂ©sentation des travaux UPRT en Europe. EntraĂźnement Ă  la prĂ©vention et Ă  la rĂ©cupĂ©ration des pertes de contrĂŽle en vol par Philippe Borghini ECAIR PDF - Mo 8 - Introduction Ă  l’ATQP par Pascal Foncelle et Thomas Vezin DGAC- DSAC PDF - Mo 9 - L’expĂ©rience d’easyJet par Pierre Bogart easyJet PDF - Ko 10 - L’expĂ©rience d’Air France par Michel Lacombe Air France PDF - Mo Information aĂ©ronautique 13 dĂ©cembre 2013 "Information aĂ©ronautique savoir pour prĂ©voir" La direction de la sĂ©curitĂ© de l’Aviation civile DSAC a tenu son symposium annuel sur la sĂ©curitĂ© des vols le vendredi 13 dĂ©cembre 2013. Le thĂšme cette annĂ©e traitait les risques liĂ©s aux dĂ©fauts de prise en compte de l’information aĂ©ronautique. Il s’agit d’une problĂ©matique rĂ©currente alors mĂȘme que l’information aĂ©ronautique est la base de la sĂ©curitĂ© aĂ©rienne. "Information aĂ©ronautique savoir pour prĂ©voir", tel Ă©tait le titre de cette huitiĂšme Ă©dition qui visait Ă  faire ressortir de bonnes pratiques en matiĂšre de travaux sur aĂ©rodromes, de changements dans l’organisation de l’espace aĂ©rien, de cartographie, de leur conception Ă  leur utilisation appropriĂ©e en prĂ©paration des vols et Ă  bord. Programme du symposium Information aĂ©ronautique PDF - Ko De l’importance de l’information aĂ©ronautique pour la sĂ©curitĂ© des vols - Oversite N°12 PDF - Mo Affiche officielle du symposium 2013 PDF - Mo Les affiches pĂ©dagogiques Information Ă  jour PDF - Ko Notam parapluie PDF - Ko VĂ©rifier les notams PDF - Ko Trop d’info tue l’info PDF - Ko Eviter les longs discours PDF - Ko Soyez prĂ©cis et explicites PDF - Ko Marshaller PDF - Mo Changement de frĂ©quence PDF - Ko Les prĂ©sentations La problĂ©matique de l’information aĂ©ronautique. De l’expression du besoin Ă  la mise en oeuvre par StĂ©phane Corcos DSAC Nord PDF - Mo Bilan des accidents et incidents en France et Ă  l’étranger par Emmanuel Delbarre BEA PDF - Ko Information aĂ©ronautique. PrĂ©sent et avenir. Nouveaux enjeux du prestataire. La transition de l’AIS vers l’AIM par Jean-Michel Varon DSNA-SIA PDF - Mo Restitution du groupe de travail "non prolifĂ©ration des NOTAMs" par Luc LapĂšne DTA-MCU PDF - Ko Supports documentaires Les services d’information aĂ©ronautique et l’IAIP DSNA-SIA PDF - Mo Nouvelles technologies Using Advanced Navigation Technology Safely EASA-EGAST PDF - Ko Airport Maping Data Base. AMDB LFPG DSNA-SIA PDF - Mo Questionnaire Rex votre avis nous intĂ©resse PDF - Ko Guide relatif Ă  l’exĂ©cution de travaux sur les aĂ©rodromes DSAC SĂ©curitĂ© hĂ©licoptĂšres 14 novembre 2012 "SĂ©curitĂ© hĂ©licoptĂšres l’approche pragmatique des opĂ©rateurs" OrganisĂ© par la DSAC le 14 novembre 2012, cette 7Ăšme Ă©dition du symposium annuel de la DSAC sur la sĂ©curitĂ© aĂ©rienne Ă©tait consacrĂ©e Ă  la voilure tournante et avait pour thĂšme L’approche pragmatique des opĂ©rateurs » Le symposium Ă©tait placĂ© sous ce double principe gĂ©nĂ©ral culture » et Ă©tat d’esprit », qui doivent inspirer tous les acteurs concernĂ©s. Cependant, comme l’a rappelĂ© en ouverture Patrick Gandil, directeur gĂ©nĂ©ral de l’Aviation civile, l’hĂ©licoptĂšre prĂ©sente certaines particularitĂ©s opĂ©rationnelles qui font sa singularitĂ©. Pour presque la moitiĂ© des vols, il est utilisĂ© comme moyen de secours. Il doit faire face Ă  des situations plus dĂ©licates que celles que connaissent les autres machines, car il est employĂ© dans un environnement confinĂ©, avec survol frĂ©quent de zones Ă  risques zones urbaines ou autres. Et ce, dans un contexte Ă©conomique difficile. A quoi s’ajoutent aujourd’hui les contraintes environnementales. Lorsqu’on entend agir pour amĂ©liorer la sĂ©curitĂ©, a insistĂ© Patrick Gandil, il convient donc de se poser les bonnes questions, et d’y apporter les rĂ©ponses appropriĂ©es. De mĂȘme, est-il essentiel d’aboutir Ă  une adhĂ©sion de la communautĂ© intĂ©ressĂ©e, afin de susciter les initiatives qui permettront de favoriser cette amĂ©lioration. Tel Ă©tait prĂ©cisĂ©ment le but du symposium. En Europe, on dĂ©nombre entre cent et cent vingt accidents d’hĂ©licoptĂšres par an, dont une quinzaine de mortels. La plupart impliquent des hĂ©licoptĂšres civils, a indiquĂ© Patrick Pezzatini, reprĂ©sentant l’International Helicopter Safety Analysis Team IHSAT. Bernard Marcou, directeur technique NavigabilitĂ© et OpĂ©rations aĂ©riennes DSAC, modĂ©rateur » du symposium, ne pouvait que s’interroger sur les raisons de cette disparitĂ© que l’on constate entre le civil et le militaire. Interrogation confortĂ©e par Bernard Boudaille, du Bureau d’enquĂȘtes et d’analyses français Ă  titre d’exemple, sur Gazelle, les accidents sont quatre fois plus nombreux chez les exploitants civils que chez les utilisateurs militaires. Les Ă©changes qui auront lieu un peu plus tard entre les participants permettront de parvenir Ă  une tentative d’explication. Un reprĂ©sentant de l’Etat-major de la Marine suggĂšre que la disparitĂ© constatĂ©e est sans doute due au fait que chez les militaires, le SystĂšme de Gestion de la SĂ©curitĂ© SGS, existe depuis fort longtemps sous l’uniforme. Bien avant que le fameux acronyme SGS ait conquis la notoriĂ©tĂ© qui est la sienne aujourd’hui. Confirmation par AurĂ©lien Cartier, de l’ArmĂ©e de l’Air Nous avons un recul certain sur cette question. La sĂ©curitĂ© est au cƓur de nos vols ». Ce qui amĂšnera Bernard Marcou Ă  suggĂ©rer qu’il y a sans doute des synergies Ă  rechercher entre civils et militaires. Voire des exemples Ă  en tirer. Un complĂ©ment Ă  l’explication de l’existence d’une culture de la sĂ©curitĂ© chez les militaires se trouve sans doute aussi dans le fait que ceux-ci sont constituĂ©s en structures Ă©tablies et en effectifs nombreux rassemblĂ©s au sein d’une mĂȘme structure. Ce qui facilite grandement la diffusion d’une doctrine appropriĂ©e et d’une vĂ©ritable culture. Alors que les exploitants civils sont assez souvent de petits » opĂ©rateurs, indĂ©pendants les uns des autres, entre lesquels les sollicitations mutuelles sont plus difficiles. Or, on le sait, l’amĂ©lioration de la sĂ©curitĂ© passe par le retour d’expĂ©rience, autrement dit le recueil des Ă©vĂ©nements qui touchent Ă  la sĂ©curitĂ© et par les leçons qui peuvent ĂȘtre tirĂ©es de tels faits, incidents, incidents graves, quasi-accidents, aprĂšs analyse les enquĂȘtes d’accidents font toujours l’objet de recommandations. Plusieurs interventions ont donc portĂ© sur le suivi des vols, et la suite Ă  lui donner. Des moyens d’enregistrement vidĂ©o embarquĂ©s existent. Certains, de la taille d’un tĂ©lĂ©phone portable, pesant quelque 300 g, fixĂ©s au plafond de la cabine de pilotage, permettent de recueillir jusqu’à deux heures d’images. Le re-jeu » en trois dimensions de chaque vol fournit d’utiles informations aux fins d’analyse. Il en va de mĂȘme pour les moyens d’enregistrement des donnĂ©es de vol Helicopter Flight Data Recording. Encore faut-il l’accord prĂ©alable du pilote et du ou des dirigeants de l’opĂ©rateur de la machine, avec garantie du maintien absolu de l’anonymat des personnels concernĂ©s. Ce qui peut se rĂ©vĂ©ler difficile lorsque la sociĂ©tĂ©, par exemple, ne dispose que d’un seul pilote, immĂ©diatement identifiable. De plus, selon Patrick Pezzatini EHSAT, l’analyse doit intervenir dans un dĂ©lai de quinze jours maximum aprĂšs un Ă©vĂ©nement. Au-delĂ , la mĂ©moire humaine s’efface, et le pilote aura oubliĂ© beaucoup de choses. Une remarque, lĂ  encore, qui s’applique aux enregistreurs embarquĂ©s des donnĂ©es en gĂ©nĂ©ral, dont les mĂ©moires doivent ĂȘtre dĂ©chargĂ©es rĂ©guliĂšrement, la tendance, a soulignĂ© Bernard LacipiĂšre ISEI Ă©tant plutĂŽt de ne pas les dĂ©charger assez souvent. Du coup, certains Ă©quipements sont dotĂ©s de transmissions de donnĂ©es automatiques Ă  l’issue du vol, voire en cours de celui-ci. Reste le moyen le plus rĂ©pandu, en tout cas le plus utilisĂ©, qu’il s’agisse de pilotes professionnels travaillant pour le compte d’un employeur, ou de pilotes dits de loisir » le bon vieux compte-rendu papier. Soumis, bien Ă©videmment, Ă  la dĂ©cision volontariste des acteurs, lorsqu’ils jugent utile de rapporter un Ă©vĂ©nement intĂ©ressant la sĂ©curitĂ©. Patrick FauchĂšre et Laurent Barthes, respectivement chef pilote et officier de sĂ©curitĂ© des vols de la sociĂ©tĂ© suisse Air Glaciers 26 pilotes auront effectuĂ©, de ce point de vue, une dĂ©monstration trĂšs convaincante, et teintĂ©e d’humour, du sens pratique helvĂ©tique lorsqu’il s’agit justement de cela. AprĂšs discussion parfois ardue avec leurs autoritĂ©s de tutelle, le compte-rendu en question occupe en tout et pour tout un simple feuillet. N’empĂȘche, les donnĂ©es sont soigneusement stockĂ©es, et donnent lieu ensuite Ă  des Ă©changes fructueux entre pilotes et avec les autoritĂ©s. Fort bien, mais au-delĂ  ? Quid des informations ainsi recueillies, et quelle sera leur utilitĂ© si elles ne sortent pas du cercle restreint des initiĂ©s ? Les deux tables rondes de l’aprĂšs-midi avaient justement pour thĂšmes les opĂ©rateurs et la gestion des risques », dont il a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© fait mention ci-dessus, Ă©changes animĂ©s par Dominique Orbec, prĂ©sident de l’Union française de l’hĂ©licoptĂšre UFH, organisme qui a par ailleurs largement contribuĂ© Ă  la prĂ©paration du symposium et le retour d’expĂ©rience et le partage de l’information ». Les premiers Ă©changes ont fait ressortir que si chacun adhĂšre aux objectifs d’amĂ©lioration de la sĂ©curitĂ© des SGS, leur application concrĂšte n’a rien d’évident ; tout reste Ă  faire, et il ne faut surtout pas qu’elle se limite Ă  une conformitĂ© rĂ©glementaire documentĂ©e purement faciale. AnimĂ©e par Maxime Coffin, chef de la Mission aviation lĂ©gĂšre, gĂ©nĂ©rale et hĂ©licoptĂšres, la seconde table ronde est revenue une fois encore sur la nĂ©cessitĂ© d’amĂ©liorer et de favoriser le partage de l’information. A ce propos, Philippe Colonge, de l’Organisme de contrĂŽle en vol OCV, a pointĂ© du doigt ce qu’il a appelĂ© un manque de culture de la communication Ă©crite. Tout se transmet oralement et ne touche que de tout petits groupes » Est-ce Ă  dire que les pilotes n’aiment pas Ă©crire ? Le lancement de rĂ©unions des OSV », responsables sĂ©curitĂ© des vols des diffĂ©rents opĂ©rateurs, a Ă©tĂ© Ă©voquĂ© et pourrait justement permettre de favoriser ce partage de l’information. Dans son intervention de synthĂšse finale, Florence Rousse, directrice de la sĂ©curitĂ© de l’Aviation civile, est revenue elle aussi sur la question. Elle a soulignĂ© qu’un SGS doit ĂȘtre simplifiĂ©, adaptĂ© aux exploitants. Que les civils ont des expĂ©riences Ă  partager avec les militaires. Que la DSAC devait s’interroger sur la maniĂšre dont elle doit surveiller les SGS et sur la meilleure façon d’aider les partenaires, y compris les donneurs d’ordre tels que le ministĂšre de la SantĂ©, Ă  prendre en compte la spĂ©cificitĂ© de la sĂ©curitĂ© dans le domaine aĂ©ronautique. Pour revenir en conclusion sur la nĂ©cessitĂ© d’instaurer une vĂ©ritable culture de la sĂ©curitĂ©, qui passe, a-t-elle insistĂ© encore, par la culture du partage et de l’écrit, de l’échange. Affiche officielle du symposium 2012 PDF - Mo Programme du Symposium SĂ©curitĂ© hĂ©licoptĂšres PDF - 3 Mo Les affiches pĂ©dagogiques Conscience du risque PDF - Ko Environnement visuel dĂ©gradĂ© PDF - Ko HĂ©lico dans la neige PDF - Mo HĂ©lico en vortex PDF - Ko Limitations de performances PDF - Ko ManƓuvres acrobatiques PDF - Ko Obstacle sur aire de posĂ© PDF - Ko Relation de confiance PDF - Ko Retour d’information PDF - Ko Les supports et documents HE1 ConsidĂ©rations de sĂ©curitĂ© "MĂ©thodes d’amĂ©lioration des aptitudes des pilotes d’hĂ©licoptĂšre" PDF - Mo HE1 Safety considerations "Methods to improve helicopter pilots’ capabilities" PDF - Mo HE2 Sens de l’air hĂ©licoptĂšre "Airmanship" PDF - Mo HE2 Helicopter "Airmanship" PDF - Mo HE4 Prise de dĂ©cision pour l’exploitation d’hĂ©licoptĂšre mono-pilote PDF - Mo HE4 Decision Making for single-pilot helicopter operations PDF - Mo Guide pour la rĂ©daction de la partie C d’un manuel d’exploitation hĂ©licoptĂšre PDF - Mo Les prĂ©sentations BEA L’enquĂȘte de sĂ©curitĂ© PDF - Mo European Helicopter Safety Team PDF - Mo Eurocopter Une avancĂ©e majeure dans l’amĂ©lioration de la sĂ©curitĂ© aĂ©rienne PDF - Ko ISEI Vers des vols plus sĂ»rs L’HĂ©lisafe PDF - Mo UFH SGS Approche sociologique du management du risque PDF - Ko Air Glaciers SA Suisse Fichiers associĂ©s zip - Mo Air Glaciers SA Suisse Le SGS dans une entreprise PDF - Mo AESA Vortex PDF - Ko ArmĂ©e de l’Air PrĂ©sentation Gestion­ du Risque OpĂ©rationnel PDF - Mo *Ce power point n’a pas fait l’objet d’une prĂ©sentation dans le cadre du symposium, faute de temps. La DSAC remercie l’ArmĂ©e de l’Air pour sa participation et sa contribution. Les vidĂ©os Perte des rĂ©fĂ©rences visuelles. Degraded Visual Environment Emport de passagers - Version Passagers Emport de passagers - Version Pilote Du traitement des incidents Ă  la gestion des risques 24 novembre 2011 "Du traitement des incidents Ă  la gestion des risques" La mise en place de systĂšme de la gestion de la sĂ©curitĂ© SGS, parfois aussi appelĂ© systĂšme de management de la sĂ©curitĂ© SMS, est une des mesures phares prĂ©conisĂ©es par l’OACI pour amĂ©liorer la sĂ©curitĂ© de l’aviation civile. Cette recommandation a Ă©tĂ© reprise dans de nombreuses rĂ©glementations nationales ou supranationales et d’ici quelques annĂ©es, l’obligation de disposer d’un SGS sera Ă©tendue Ă  la plupart des acteurs de l’aĂ©ronautique civile. Un SGS comporte plusieurs volets l’analyse des Ă©vĂ©nements de sĂ©curitĂ© est l’un des principaux. Si de nombreux opĂ©rateurs amĂ©liorent dĂ©jĂ  la sĂ©curitĂ© de leur exploitation au travers de l’analyse des incidents et accidents, la mise en place d’un SGS permet de formaliser ce processus. Cette formalisation est utile Ă  plusieurs titres elle engage la direction de l’entreprise dans la dĂ©marche d’amĂ©lioration de la sĂ©curitĂ©, elle implique l’ensemble des acteurs, mĂȘme ceux qui ne participent pas directement aux opĂ©rations aĂ©riennes, elle contraint l’opĂ©rateur Ă  s’interroger sur les risques liĂ©s Ă  la sĂ©curitĂ© de son exploitation, et aux consĂ©quences potentielles de ces risques. La direction de la sĂ©curitĂ© de l’Aviation civile est, entre autres, en charge de la surveillance des SGS de tous les types d’opĂ©rateurs aĂ©riens. Constatant les difficultĂ©s Ă©prouvĂ©es par certains opĂ©rateurs pour la mise en Ɠuvre de ces SGS, elle mĂšne plusieurs actions d’accompagnement et de promotion de la sĂ©curitĂ© visant Ă  clarifier les exigences rĂ©glementaires et Ă  souligner le gain pour la sĂ©curitĂ© de l’exploitation par la mise en place de tels systĂšmes. Le symposium 2011, consacrĂ© Ă  la gestion des risques au travers du traitement des Ă©vĂ©nements de sĂ©curitĂ©, est l’une d’entre elles. LancĂ©s en dĂ©but d’annĂ©e, les travaux de prĂ©paration du symposium ont permis d’identifier les problĂšmes rencontrĂ©s par diffĂ©rents types d’opĂ©rateurs, ayant ou non dĂ©jĂ  mis en Ɠuvre des SGS, dans le cadre du traitement des Ă©vĂ©nements. Ces Ă©changes, riches d’enseignement, ont permis d’identifier des difficultĂ©s, propres Ă  un domaine donnĂ© ou communes Ă  plusieurs domaines, et de dĂ©gager des bonnes pratiques. Programme du symposium Du traitement des incidents Ă  la gestion des risques PDF - Ko Affiche officielle du symposium 2011 PDF - 3 Mo Les affiches pĂ©dagogiques AdĂ©quation PDF - Mo Ceux qui ne travaillent pas PDF - Ko Coordination PDF - Mo Culture juste PDF - Mo Formalisation excessive PDF - Mo La sĂ©curitĂ© affaire de tous PDF - Mo Management un rĂŽle dĂ©terminant PDF - Mo Ne travaillez pas seul PDF - Mo Adequacy PDF - Ko Only people who don’t work have nothing to report PDF - Ko Coordination = Safety PDF - Ko Just culture PDF - Ko Excessive formalisation PDF - Ko Safety concerns all of us PDF - Ko Management a key role PDF - Ko Don’t work alone PDF - Ko Les dessins Anonymat PDF - Ko EvĂ©nement PDF - Ko InfirmiĂšre PDF - Ko Notes techniques surabondantes PDF - Ko Sherlock Holmes PDF - Ko Le document de synthĂšse et bonnes pratiques PDF - Mo Summary and best practices PDF - Mo Les prĂ©sentations La problĂ©matique du traitement des Ă©vĂ©nements par David NOUVEL BEA PDF - Mo DĂ©faillance rĂ©currente d’un indicateur de pente PAPI par Denis AUDEMAR EuroAiport - AĂ©roport de BĂąle-Mulhouse PDF - Mo Corrections inverses aprĂšs une alerte TCAS par Bertrand DE COURVILLE Air France PDF - Mo Safety investments par Tom HENDRICKS Commercial Aviation Safety Team PDF - Mo Recueillir, trier et analyser les Ă©vĂ©nements de sĂ©curitĂ© par Pauline BEAUZETIER AĂ©roport de Limoges et StĂ©phane DEHARVENGT DSNA PDF - Mo Knowledge driven risk management par Andrew ROSE European Commercial Aviation Safety Team PDF - Mo Table ronde 1. "Choix et contrĂŽle de l’efficacitĂ© des actions de sĂ©curitĂ© animĂ©e" par Patrick DISSET DSAC-ANA-AER PDF - Ko Exemple de gestion des risques dans le cadre du Programme de sĂ©curitĂ© de l’Etat par Fabienne HERLEDAN-REUMOND DSAC-MEAS PDF - Mo Table ronde 2. "Gestion commune des risques" animĂ©e par Jonathan GIRE DSAC-ANA-AER PDF - Ko Documents annexes Plan d’action stratĂ©gique d’amĂ©lioration de la sĂ©curitĂ© 2009/2013 - Volet transport aĂ©rien commercial PDF - Mo Strategic action plan for improving safety in commercial air transport 2009/2013 PDF - Mo Cartographie des risques - Version 2 Volet transport aĂ©rien commercial PDF - Mo Documents des actions dĂ©taillĂ©s - Version 1er juillet 2011 PDF - Ko Conditions mĂ©tĂ©orologiques dĂ©gradĂ©es 25 novembre 2010 "Conditions mĂ©tĂ©orologiques dĂ©gradĂ©es - Aide Ă  la dĂ©cision des Ă©quipages pour l’approche et l’atterrissage" Parmi les incidents ou accidents ayant conduit Ă  des sorties de piste, les conditions mĂ©tĂ©orologiques dĂ©gradĂ©es Ă  l’approche et Ă  l’atterrissage font partie des facteurs contributifs identifiĂ©s les plus rĂ©currents. Lors de son bilan 2009-2010, IATA a relevĂ© que, parmi les 23 sorties de piste, dont 21 Ă  l’atterrissage, le facteur mĂ©tĂ©orologique intervenait dans prĂšs de 40% des cas. Qu’ils se limitent Ă  de la casse matĂ©rielle lors des sorties de piste ou qu’ils conduisent Ă  des pertes humaines, ces accidents liĂ©s Ă  des conditions mĂ©tĂ©orologiques dĂ©gradĂ©es Ă  l’approche et Ă  l’atterrissage se dĂ©roulent aussi bien dans des zones tropicales San Andres Colombie aoĂ»t 2010, Mangalore Inde mai 2010, connues pour leurs conditions difficiles, que sur notre territoire mĂ©tropolitain Deauville 2008, Limoges 2008 ou d’outre-mer Cayenne 2001, Tahiti 2000. Équipages, compagnies, services de la navigation aĂ©rienne, exploitants d’aĂ©rodromes, services de la mĂ©tĂ©orologie, autoritĂ©s de surveillance, tous les acteurs du secteur aĂ©ronautique sont concernĂ©s pour rĂ©duire l’occurrence et la gravitĂ© de tels Ă©vĂšnements. Dans le cadre du Programme de SĂ©curitĂ© de l’État, la direction de la sĂ©curitĂ© de l’Aviation civile a identifiĂ©/Ă©tabli des objectifs de rĂ©duction des risques ciblĂ©s. Parmi ceux-ci, figure l’objectif AmĂ©liorer l’assistance aux Ă©quipages dans leurs dĂ©cisions liĂ©es aux phĂ©nomĂšnes mĂ©tĂ©orologiques dangereux » PSE-OC/08/4, auquel la DSAC a dĂ©cidĂ© de consacrer un symposium. Ces symposiums sont organisĂ©s comme des forums sur la sĂ©curitĂ© dans lesquels chaque acteur partage son point de vue dans une optique de confrontation des idĂ©es et d’amĂ©lioration de la sĂ©curitĂ©. LancĂ©s en septembre 2009, les travaux du symposium 2010 visent Ă  rassembler des professionnels du monde aĂ©ronautique afin de partager les expĂ©riences de chacun, d’échanger sur la prĂ©vention des risques et d’établir, en collaboration Ă©troite avec tous les acteurs concernĂ©s, des actions pertinentes de sĂ©curitĂ© visant Ă  diminuer les accidents et incidents aĂ©riens. Conditions mĂ©tĂ©orologiques dĂ©gradĂ©es
Aide Ă  la dĂ©cision des Ă©quipages pour l’approche et l’atterrissage » Ă©tait donc le thĂšme de l’édition 2010 du symposium annuel de la DSAC sur la sĂ©curitĂ© des vols. Tenu le 25 novembre Ă  Paris, il a rĂ©uni plus de 250 auditeurs et participants, Ă  travers les retransmissions dans tous les Ă©chelons rĂ©gionaux de la DSAC. Afin d’initier une dynamique d’échanges et d’actions de promotion de la sĂ©curitĂ©, la DSAC a rĂ©uni, autour de ses services, les acteurs concernĂ©s dans des groupes de travail qui ont Ă©tudiĂ© le sujet pendant un an reprĂ©sentants de compagnies aĂ©riennes, exploitants d’aĂ©rodromes, constructeurs d’aĂ©ronefs, MĂ©tĂ©o-France et les services de la navigation aĂ©rienne. AprĂšs une introduction de Florence ROUSSE, directrice de la sĂ©curitĂ© de l’Aviation civile, le Bureau d’enquĂȘtes et d’analyses pour la sĂ©curitĂ© de l’Aviation civile BEA a prĂ©sentĂ© trois Ă©vĂ©nements ayant conduit Ă  des sorties de piste aprĂšs un atterrissage en conditions mĂ©tĂ©orologiques dĂ©gradĂ©es. Contamination de pistes mouillĂ©es, enneigĂ©es, gelĂ©es, conditions de vent composante arriĂšre, cisaillement, rĂ©duction de la visibilitĂ©, cellules orageuses fortes prĂ©cipitations, turbulences font partie des facteurs contributifs Ă  ces Ă©vĂ©nements. Prendre une dĂ©cision juste Ă  chaque instant constitue une barriĂšre entre le vol normal et l’incident ou l’accident. L’équipage est l’acteur majeur dans le choix du plan d’action pour faire face aux menaces identifiĂ©es. Toutefois, tous les acteurs sont concernĂ©s Ă  travers leurs contributions au fonctionnement global du systĂšme coordination avec le gestionnaire d’aĂ©roport, support des opĂ©rations de la compagnie, le Collaborative Decision Making, les procĂ©dures de suspension des opĂ©rations
 Favoriser une conscience commune du risque, c’est sensibiliser tous les acteurs aux risques liĂ©s aux conditions mĂ©tĂ©orologiques dĂ©gradĂ©es, Ă  leurs consĂ©quences opĂ©rationnelles sur la conduite du vol, Ă  leur Ă©volutivitĂ©, Ă  leur caractĂ©risation Ă  travers les informations transmises. Assurer une transmission de l’information la plus pertinente, c’est s’attacher Ă  dĂ©finir les informations, leur source, leur contenu, les moyens de transmission et de prĂ©sentation, en tenant compte notamment de la concentration maximale de l’équipage et de sa charge de travail Ă©levĂ©e en situation dĂ©gradĂ©e. L’étude du circuit de l’information entre les acteurs a permis d’identifier les points forts, les faiblesses du systĂšme actuel et les voies d’amĂ©lioration actuellement Ă©tudiĂ©es Ă  travers la participation de MĂ©tĂ©o-France dans le projet FlySafe et de la DSNA dans le projet SESAR. Former et dĂ©velopper les aptitudes Ă  la dĂ©cision, c’est analyser les modes de dĂ©cision et la façon dont ils peuvent ĂȘtre enseignĂ©s lors des phases initiales ou rĂ©currentes de formation des Ă©quipages pratique du pilotage manuel, sĂ©ances de simulateur, exercices de Remise de gaz ». Disposer des moyens technologiques d’aide Ă  la dĂ©cision, c’est recenser les outils en dĂ©veloppement ou dĂ©jĂ  Ă  disposition des Ă©quipages et des autres acteurs, afin de mieux caractĂ©riser en temps rĂ©el les informations essentielles pour la prise de dĂ©cision. Le symposium se poursuivra par la mise en Ɠuvre d’un plan d’actions qui regroupera les conclusions retenues aprĂšs cette journĂ©e de travail. Programme du symposium Conditions mĂ©tĂ©orologiques dĂ©gradĂ©es PDF - Mo Affiche officielle du symposium 2010 PDF - Mo Les structures Le document de synthĂšse PDF - 6 Mo Le guide des bonnes pratiques PDF - Mo Le bulletin sĂ©curitĂ© spĂ©cial symposium PDF - Ko Le numĂ©ro spĂ©cial symposium du BEA PDF - Ko PrĂ©sentations PrĂ©sentation par le BEA de 3 Ă©vĂ©nements PDF - Mo Prendre une dĂ©cision juste PDF - Mo Favoriser une conscience commune du risque PDF - Mo Assurer une transmission de l’information la plus pertinente PDF - Mo Former et dĂ©velopper les aptitudes Ă  la dĂ©cision PDF - Mo Disposer d’outils technologiques d’aide Ă  la dĂ©cision PDF - Mo Aviation lĂ©gĂšre et sportive 28 novembre 2009 "SĂ©curitĂ© aviation lĂ©gĂšre et sportive" Le symposium annuel de la direction de la sĂ©curitĂ© de l’Aviation civile s’est tenu au siĂšge de la DGAC le samedi 28 novembre 2009. AprĂšs les approches non stabilisĂ©es en 2006, les incursions sur piste en 2007 et legivrage des aĂ©ronefs en 2008, ce 4Ăšme symposium Ă©tait consacrĂ© Ă  l’aviation lĂ©gĂšre et sportive avec pour fil conducteur la prĂ©paration au vol Ă  travers quatre thĂšmes la mĂ©tĂ©orologie, l’espace aĂ©rien, la prise de dĂ©cision et le rĂŽle des structures d’encadrement. De nombreux intervenants, reprĂ©sentant l’ensemble des usagers de l’aviation lĂ©gĂšre, ont rĂ©pondu prĂ©sents et ont fait de ce symposium un succĂšs. Ils ont pu s’exprimer devant un public nombreux de spĂ©cialistes et de pratiquants venant de la France entiĂšre et prĂ©senter leurs actions sur le terrain tout en sensibilisant les pilotes aux risques. Toutes les aviations concernĂ©es Ă©taient prĂ©sentes, du vol Ă  moteur aux ballons et dirigeables, en passant par le vol Ă  voile, l’aĂ©romodĂ©lisme, l’ultra-lĂ©ger motorisĂ©, les hĂ©licoptĂšres ou bien encore le parachutisme ou la construction amateur. Ainsi les reprĂ©sentants des grandes fĂ©dĂ©rations ont pu dĂ©battre et mettre l’accent sur le dialogue nĂ©cessaire avec la DGAC pour faire face aux difficultĂ©s Ă©conomiques et permettre Ă  tous les pilotes passionnĂ©s de voler dans les meilleures conditions de sĂ©curitĂ©. Ce colloque a mis en avant le caractĂšre personnel de la sĂ©curitĂ© du vol et mis en Ă©vidence la nĂ©cessitĂ© de clarifier et de simplifier les informations disponibles pour le pilote. La formation est aussi un Ă©lĂ©ment essentiel d’amĂ©lioration de la sĂ©curitĂ© celle-ci devrait Ă©voluer pour introduire de nouvelles notions Ă©voquĂ©es au cours du symposium sensibilisation Ă  la prise en compte des minimas personnels et orientation de la formation vers l’utilisation future des compĂ©tences, entraĂźnements Ă  la dĂ©cision, Ă  la prĂ©paration du vol, voire mĂȘme aux vols sans visibilitĂ©, Ă  la mĂ©tĂ©o ou Ă  la maniabilitĂ©. La question des Ă©quipements a Ă©galement Ă©tĂ© Ă©voquĂ©e analyse de donnĂ©es, anticollisions... avec la question Ă  rĂ©soudre de leur adaptation ou leur simplification, y compris le problĂšme de la certification. Les structures locales sont des acteurs essentiels de la sĂ©curitĂ©. LĂ  aussi, les dĂ©bats ont montrĂ© qu’il y avait du travail Ă  faire pour dĂ©velopper une vision partagĂ©e des rĂŽles respectifs des aĂ©roclubs, des fĂ©dĂ©rations, de la DGAC et autres organismes. La prĂ©sentation d’AĂ©rodiagnostic par la FFA est une initiative exemplaire. A signaler aussi, concernant la gestion de l’espace aĂ©rien, le besoin exprimĂ© de faire du benchmarking sur la façon dont Ă©volue l’aviation lĂ©gĂšre Ă  l’étranger. Comment les autres pays traitent la compatibilitĂ© des diffĂ©rents trafics ? Arrivent-ils Ă  Ă©viter une trop grande complexitĂ© de l’espace aĂ©rien ? Autant de questions qui ont Ă©tĂ© posĂ©es et qui devront trouver une rĂ©ponse au travers des pistes de travail et d’orientations identifiĂ©es lors de ce symposium et qui feront l’objet d’un suivi dans le cadre d’un plan d’actions continu. La DGAC renouvelle ses remerciements Ă  l’ensemble des fĂ©dĂ©rations et organismes qui ont participĂ© Ă  la prĂ©paration de ce symposium la FĂ©dĂ©ration Française AĂ©ronautique FFA, la FĂ©dĂ©ration Française de Vol Ă  Voile FFVV, la FĂ©dĂ©ration Française d’Ultra-LĂ©ger MotorisĂ© FFPLUM, l’Union Française de l’HĂ©licoptĂšre UFH, la FĂ©dĂ©ration Française d’AĂ©romodĂ©lisme, la FĂ©dĂ©ration Française d’AĂ©rostation montgolfiĂšres, la FĂ©dĂ©ration Française de Giraviation, la FĂ©dĂ©ration Française de Parachutisme, le RĂ©seau du sport de l’air RSA, l’AĂ©roclub de France, l’Association des Pilotes et PropriĂ©taires d’avions AOPA, l’Association Nationale des Pilotes Instructeurs ANPI, la FĂ©dĂ©ration Française de Vol Libre FFVL, l’Institut pour l’AmĂ©lioration de la SĂ©curitĂ© AĂ©rienne IASA, le Bureau d’EnquĂȘtes et d’Analyses pour la sĂ©curitĂ© de l’aviation civile BEA, MĂ©tĂ©o France. Programme du symposium SĂ©curitĂ© aviation lĂ©gĂšre et sportive PDF - Ko Affiche officielle du symposium 2009 PDF - Ko Les affiches Affiche "J’y vas-t’y ? j’y vas-t’y pas ?" PDF - Ko Affiche MĂ©tĂ©o 1 "Vol bien prĂ©parĂ©, mauvaises surprises Ă©vitĂ©es" PDF - Mo Affiche MĂ©tĂ©o 2 "Pour que le vol ne soit pas un combat, j’évite de me frotter Ă  plus fort que moi" PDF - Ko Affiche Espace aĂ©rien "Largo Winch" PDF - Mo Affiche Espace aĂ©rien "N’attendez pas d’en arriver lĂ  pour demander de l’aide" PDF - Ko Affiche Espace aĂ©rien "Pour partager l’espace aĂ©rien, il faut le connaĂźtre et le respecter" PDF - Ko Affiche Prise de dĂ©cision 1 "Trop chargĂ©, performances dĂ©gradĂ©es" PDF - Ko Affiche Prise de dĂ©cision 2 "Ne surestimez pas vos capacitĂ©s" PDF - Ko Affiche Prise de dĂ©cision 3 "Le ciel est Ă  tout le monde, partage-le en toute sĂ©curitĂ©" PDF - Mo MĂ©tĂ©orologie Guide des bonnes pratiques - Groupe MĂ©tĂ©orologie PDF - Mo Document de synthĂšse - Groupe MĂ©tĂ©orologie PDF - Mo PrĂ©sentation Risque mĂ©tĂ©o et sĂ©curitĂ© du vol PDF - Mo Prise de dĂ©cision Document de synthĂšse Prise de dĂ©cision du pilote et la prĂ©paration du vol PDF - Ko La PrĂ©pavol en questions Groupe Prise de dĂ©cision PDF - Mo PrĂ©sentation Prise de dĂ©cision PDF - Mo Structures Les documents support - 15 documents zip - Mo Document de synthĂšse Vers une meilleure conscience des risques avec le support des structures PDF - Ko BEA Les enregistreurs de vol lĂ©gers et l’analyse des vols PDF - Mo Prise en compte des espaces aĂ©riens PDF - Ko PrĂ©paration des vols consĂ©quences sur le niveau de sĂ©curitĂ© PDF - Ko Prise en compte des conditions mĂ©tĂ©orologiques PDF - Ko Prise de dĂ©cision PDF - Ko Valeur ajoutĂ©e des structures d’encadrement dans la prĂ©paration des vols PDF - Ko NumĂ©ro spĂ©cial symposium -sĂ©curitĂ© aviation lĂ©gĂšre et sportive PDF - Ko Givrage des aĂ©ronefs 16 octobre 2008 "Givrage des aĂ©ronefs" Ce symposium Ă©tait plus particuliĂšrement dĂ©diĂ© au transport public. Il avait pour dessein de sensibiliser tous les acteurs du transport aĂ©rien au risque prĂ©sentĂ© par les phĂ©nomĂšnes de givrage, que ce soit au cours du vol ou lors des opĂ©rations au sol. Au cours de cette journĂ©e, la DCS a exposĂ© sa nouvelle politique de gestion des risques qui s’inscrit dans le cadre du programme de sĂ©curitĂ© de l’état. MĂ©tĂ©o France s’est attachĂ© Ă  dĂ©crire les phĂ©nomĂšnes mĂ©tĂ©orologiques de formation du givre. Cette prĂ©sentation a Ă©tĂ© suivie par un exposĂ© de la DCS relatif aux effets de cette contamination sur les aĂ©ronefs. La compagnie aĂ©rienne RĂ©gional et la DCS ont dĂ©taillĂ© les moyens et mĂ©thodes de lutte contre le givrage, au sol et en vol. La DCS a fait le point sur la rĂ©glementation applicable en matiĂšre de givrage puis a prĂ©sentĂ© son plan d’action de rĂ©duction du risque. La prĂ©sentation du guide des bonnes pratiques a prĂ©cĂ©dĂ© deux tables rondes qui furent propices Ă  de nombreux dĂ©bats d’idĂ©es l’une fut consacrĂ©e aux opĂ©rations de traitement et au givrage au sol et l’autre au givrage en vol. Les affiches Givrage aĂ©ronefs 1 PDF - Mo Givrage aĂ©ronefs 2 PDF - Ko Givrage aĂ©ronefs 3 PDF - Ko Givrage aĂ©ronefs 4 PDF - Ko Les prĂ©sentations Introduction du symposium par Maxime Coffin, directeur de la Direction du contrĂŽle de la SĂ©curitĂ© PDF - Mo Aspects mĂ©tĂ©orologiques du givrage par Christine le Bot, recherche et dĂ©veloppement, MĂ©tĂ©o France PDF - Mo Effets du givrage sur les aĂ©ronefs par Jean-Michel Biscarat, chargĂ© d’étude, Mission d’évaluation et d’amĂ©lioration de la sĂ©curitĂ©, DSAC PDF - Mo Lutte contre le givrage au sol par Christophe Wermelinger, IngĂ©nieur sĂ©curitĂ© des vols/adjoint sol, RĂ©gional PDF - Mo Protection et dĂ©fense contre le givrage en vol par Jean-Pierre HĂ©nault, pilote contrĂŽleur, DCS PDF - Mo RĂ©glementation applicable en matiĂšre de givrage par Jean-Claude Albert, chef du bureau Equipements et simulateurs, DCS PDF - Ko Actions de rĂ©duction du risque givrage par Fabienne HerlĂ©dan, adjointe au chef de la Mission d’évaluation et d’amĂ©lioration de la sĂ©curitĂ©, DCS PDF - Ko PrĂ©sentation d’incidents et accidents par le BEA par GĂ©rard Legauffre, BEA PDF - Mo PrĂ©sentation ASR Vienne le 28/01/2008 par GĂ©rard Legauffre, BEA et Jean-Michel Biscarat, DCS PDF - Ko Bibliographie gĂ©nĂ©rale Transport Canada - TP 10643 - Formation sur la contamination des surfaces critiques Incident en transport aĂ©rien - Givrage PDF - Mo NCAR - How snow can fool pilots PDF - Ko CAA - Aircraft icing handbook PDF - Ko Flight safety foundation - Protection against icing PDF - Mo Flight safety foundation - Ice crystal icing PDF - Ko Flight safety foundation - Inflight icing and the helicopter PDF - Ko STAC - EnquĂȘte dĂ©givrage/dĂ©verglaçage PDF - Mo Les incursions sur piste 29 novembre 2007 "SĂ©curitĂ© - les incursions sur piste" Au cours de ce symposium, Eurocontrol a fait une prĂ©sentation des actions menĂ©es en Europe sur la mise en place des LRST et le suivi des recommandations EAPPRI European Action Plan for the Prevention of Runway Incursions. La FAA a prĂ©sentĂ© son plan d’action lancĂ© en aoĂ»t 2007 relatif, notamment, Ă  une rĂ©vision des procĂ©dures et Ă  une amĂ©lioration des marquages au sol et du systĂšme de report d’évĂšnements tandis que le BEA prĂ©sentait son point de vue sur la problĂ©matique des IP et rappelait certaines de ses recommandations. La CSCA, Ă©galement prĂ©sente, a fait le bilan statistique des incursions 2006 et a proposĂ© plusieurs recommandations. Au cours de ce dĂ©bat d’idĂ©es, la DCS a notamment diffusĂ© un guide de bonnes pratiques visant Ă  proposer aux pilotes, conducteurs de vĂ©hicules et contrĂŽleurs aĂ©riens mais Ă©galement Ă  leur encadrement respectif, des rĂ©flexions pour amĂ©liorer la sĂ©curitĂ© des pistes Les affiches Incursions sur piste 2 PDF - Ko Incursions sur piste 3 PDF - Ko Incursions sur piste 4 PDF - Ko Incursions sur piste 5 PDF - Ko PrĂ©sentations PrĂ©sentation de l’étude de la CSCA sur les incursions sur piste de l’annĂ©e 2006 par Jean-Philippe Borne, rapporteur de la Commission de SĂ©curitĂ© de la Circulation aĂ©rienne PDF - Ko La problĂ©matique des incursions sur piste vue par le BEA par Nicolas Marcou, adjoint au chef de dĂ©partement investigations du BEA PDF - Ko EAPPRI PDF - Mo La problĂ©matique des incursions sur piste vue par Eurocontrol par Eric Miart, gestionnaire du programme opĂ©rations aĂ©roportuaires d’Eurocontrol PDF - Mo Actions menĂ©es par la FAA contre les incursions sur piste par Michael Glenn, FAA En Route and Oceanic Service Manager PDF - Mo Actions menĂ©es en France contre les incursions sur piste par Laurent Chapeau, chef de programme Ă  DCS/NAS/SNA PDF - Ko PrĂ©sentation de la LRST de Nice par Jean-Marc Flon, chef du service Exploitation du SNA/SE PDF - Mo PrĂ©sentation des recommandations de la CSCA concernant les incursions sur piste par Jean-François Vivier, prĂ©sident de la Commission de SĂ©curitĂ© de la Circulation AĂ©rienne PDF - Ko Les documents du symposium Etude CSCA Etude inscursions sur piste EvĂšnements 2006 PDF - Ko Recommandations EAPPRI PDF - Ko Briefing Airbus PDF - Mo Guide des bonnes pratiques contre les incursions sur piste PDF - Mo Fiche conducteurs contre les incursions sur piste PDF - Ko Fiche pilote contre les incursions sur piste PDF - Ko BEA - Incidents en transport aĂ©rien / Incursions sur piste PDF - Mo Les approches non stabilisĂ©es 29 novembre 2006 Les approches non stabilisĂ©es ANS La direction du ContrĂŽle de la sĂ©curitĂ© a organisĂ© un symposium consacrĂ© aux Approches non stabilisĂ©es ANS avec ses partenaires direction des services de la Navigation aĂ©rienne DSNA, Bureau d’EnquĂȘtes et d’Analyses BEA, Air France, Corsair, en prĂ©sence des principaux acteurs du transport aĂ©rien français. Le projet de plan d’actions nationales proposĂ©es dans le but de rĂ©duire les risques dans ce domaine a Ă©tĂ© validĂ© lors de ce symposium. La mise en Ɠuvre du plan d’actions ANS fera Ă©galement l’objet de mises Ă  jour au fur et Ă  mesure de son Ă©tat d’avancement ". ANS Les attendus PDF - Ko Unstabilised Approaches Key Outcomes PDF - Ko Les affiches Approche stabilisĂ©e PDF - Ko Approche Ă  vue PDF - 642 Ko Plancher PDF - Ko Sink rate PDF - Ko Actions terrain Action terrains Ă  ANS PDF - Ko PrĂ©sentation des actions Air France pour minimiser le risque ANS PDF - Ko PrĂ©sentation de l’action II "Remise de Gaz" PDF - Ko PrĂ©sentation de l’action III "Retour d’expĂ©rience, utilisation du radar et formation continue des contrĂŽleurs" PDF - Ko PrĂ©sentation de l’action IV "Renforcer la connaissance des contrĂŽleurs des plages de vitesses compatibles avec les performances de l’avion en fonction des segments et de la procĂ©dure d’approche" PDF - 876 Ko PrĂ©sentation de l’action VI "Approches Ă  vue" PDF - Ko PrĂ©sentation de l’action VII "Terrains Ă  ANS" PDF - Ko Bonnes pratiques Guide des bonnes pratiques pour les pilotes et les contrĂŽleurs PDF - Ko ANS - Bonnes pratiques - projet version du 29 novembre 2006 PDF - Mo Les documents Suivi des actions Approches non stabilisĂ©es - AoĂ»t 2008 PDF - Ko Suivi des actions Approches non stabilisĂ©es version anglaise PDF - Ko Guide dĂ©finitif des bonnes pratiques - version du 26 fĂ©vrier 2008 PDF - Mo Guide dĂ©finitif des bonnes pratiques - version anglaise du 26 fĂ©vrier 2008 PDF - Mo BEA - Incidents en transport aĂ©rien - Approches non stabilisĂ© PDF - 5 Mo Human factors Rapports d’enquĂȘtes
Aubout d'une longue allĂ©e boisĂ©e apparaĂźt la grille d'honneur de Champchevrier, devenue le symbole du chĂąteau lui-mĂȘme. Pour cĂ©lĂ©brer le retour de son ornement tout nouvellement restaurĂ©, les visiteurs (et plus particuliĂšrement le jeune public) sont invitĂ©s Ă  dessiner le jardin de leur rĂȘve autour de cette superbe grille. Un kit leur est remis avec des crayons de couleurs avec
BovidĂ© dĂ©finition et description DĂ©finition du mot bovidĂ© Le mot bovidĂ© fait rĂ©fĂ©rence Ă  une classification scientifique regroupant certaines espĂšces animales caractĂ©ristiques appartenant Ă  l’ordre des artiodactyles. La famille des bovidĂ©s est la plus grande des 10 familles existantes chez les artiodactyles et comprend plus de 140 espĂšces existantes et environ 300 espĂšces Ă©teintes. Description d’un bovidĂ© Un bovidĂ© est un mammifĂšre herbivore ruminant qui possĂšde les caractĂ©ristiques suivantes un estomac comprenant 4 poches permettant la rumination Un pied que l’on appelle sabot qui lui mĂȘme est composĂ© de 2 doigts 2 cornes creuses constituĂ©es d’une gaine recouvrant un noyau osseux qui se dĂ©veloppe Ă  partir des os frontaux du crĂąne. Les mĂąles de toutes les espĂšces et les femelles d’environ les deux tiers de toutes les espĂšces ont des cornes de toutes formes et de toutes tailles possibles. La taille des bovidĂ©s varient Ă©normĂ©ment puisque l’on retrouve les antilopes naines dont le poids n’excĂšde pas les 3 kg Ă  l’éland dont le poids peut dĂ©passer les 800 kg chez les mĂąles adultes. RĂ©partition gĂ©ographique et habitat des bovidĂ©s Si la grande majoritĂ© des bovidĂ©s sauvages vivent en Afrique, on en retrouve Ă©galement dans une grande partie du globe comme en Europe, en Asie ou en AmĂ©rique du Nord. Leur habitat naturel est trĂšs variĂ© mais en Afrique, il est principalement composĂ© de prairies ouvertes, de savanes, de brousses et de forĂȘts. Certains vivent dans des endroits plus isolĂ©s comme les dĂ©serts le springbok, et d’autres dans la toundra arctique le boeuf musquĂ©. La grande variĂ©tĂ© de leur habitat naturel dĂ©pend de la zone gĂ©ographique oĂč ils se trouvent, de leurs caractĂ©ristiques physiques taille, poids
 de leurs comportements, de la prĂ©sence plus ou moins importante de prĂ©dateurs ainsi que de la pression exercĂ©e par l’homme. RĂ©gime alimentaire des bovidĂ©s Leur rĂ©gime alimentaire est quasi exclusivement herbivore, Ă  part certains qui peuvent se nourrir de temps en temps de petits mammifĂšres, d’oiseaux, d’oeufs ou de charognes comme les cĂ©phalophes d’Afrique. Leur type de nourriture dĂ©pend de leur aire de rĂ©partition et de leur environnement naturel. Il se compose principalement d’herbe, de jeunes pousses, d’arbustes, de fruits, de graines, de bourgeons, de feuilles, des racines, des fleurs
 Les 8 sous-familles appartenant Ă  la famille bovidĂ© 8 sous-familles appartiennent Ă  la grande famille des bovidĂ©s, mĂȘme si tous les scientifiques ne sont pas toujours d’accord sur le classement de ces espĂšces. Voici la liste de ces sous-familles avec quelques exemples d’espĂšces leur appartenant AepycerotinĂ© impala la seule espĂšce AlcelaphinĂ© bubale roux, gnou Ă  queue blanche 
 AntilopinĂ© antilope cervicapre, gazelle de Waller, antilope de Clarke 
 BovinĂ© bison d’AmĂ©rique du Nord, bison d’Europe, le buffle d’Afrique, le yack 
 CaprinĂ© le bouquetin des Alpes, le bouquetin de Nubie, le markhor, le yanghir, l’isard, le chamois 
 CephalophinĂ© cĂ©phalophe Ă  front noir, cĂ©phalophe Ă  dos jaune 
 HippotraginĂ© addax, hippotrague noir, oryx gazelle 
 ReduncinĂ© cobe de Lechwe 
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Onraconte en effet que lorsque la densité de population des lemmings (Lemmus lemmus et d'autres espÚces apparentées: des rongeurs du nord de l'Europe) devient excessive, menaçant ainsi les ressources et donc toute la population, de nombreux individus auraient un instinct altruiste les poussant à se suicider par noyade pour permettre au reste de la population
Le plan national d’actions dĂ©diĂ© aux loups Tous les six ans, le gouvernement Ă©labore un plan national d’action qui dĂ©finit la politique adoptĂ©e pour la conservation du loup et des activitĂ©s humaines liĂ©es Ă  sa prĂ©sence. Le prochain plan national d’actions dĂ©diĂ© au loup vient d’ĂȘtre signĂ© et sera appliquĂ© entre 2018 et 2023. Les quatre points majeurs Ă  retenir de ce projet sont les suivant Un rĂ©seau chiens de protection » devrait ĂȘtre mis en place afin de confirmer l’efficacitĂ© de ces animaux sur la protection des troupeaux en Ă©vitant les problĂšmes qui y sont liĂ©s morsures, conflits de voisinage etc. et pour former les Ă©leveurs Ă  conduire leurs chiens de protection. Des Ă©tudes concernant le loup rĂ©partition spatiale, interactions entre les meutes, rĂ©gime alimentaire etc. vont ĂȘtre menĂ©es afin de mieux protĂ©ger les troupeaux. Les indemnisations des Ă©leveurs pour leurs animaux victimes des loups seront soumises Ă  une Ă©valuation et seront accordĂ©es uniquement si les Ă©leveurs auront prĂ©alablement mis en place des mesures de protection pour leurs troupeaux clĂŽtures, chiens de protection, etc.. Ces contrĂŽles seront d’ailleurs effectuĂ©s en routine et non lors du constat des dommages». La campagne de tir sera calĂ©e sur l’annĂ©e civile et non du 1erjuillet au 31 juin, pĂ©riode oĂč la pression de prĂ©dation est la plus forte et entraĂźne donc de nombreux tirs de rĂ©gulation ce qui augmentait les plafonds du nombre de loups pouvant ĂȘtre abattus. Les dispositions du plan national d’actions doivent permettre d’éviter que le plafond de loups pouvant ĂȘtre dĂ©truits soit atteint en cours d’annĂ©e ». Le plafond est fixĂ© Ă  10 % de l’effectif moyen annuel du nombre de loups en France, soit 40 pour l’annĂ©e 2018. Il sera actualisĂ© au printemps. Toutefois, malgrĂ© ce plafond, les prĂ©fets auront la possibilitĂ© d’autoriser des tirs de dĂ©fense additionnels. Pour en savoir plus vous pouvez lire le PNA dans sa globalitĂ© en cliquant ici. À la lumiĂšre de ces arguments, le plan national d’actions du loup 2018-2023 prĂ©sente des points positifs majeurs, comme la formation des Ă©leveurs pour conduire leur chien de protection ou le changement des mĂ©thodes pour les indemnisations, mais la politique concernant les tirs de rĂ©gulation reste toutefois discutable. En effet, des organismes et instances scientifiques comme Le Conseil National de Protection de la Nature CNPN, l’ONCFS ou le MNHN MusĂ©um National d’Histoire Naturelle Ă©voquent que cette gestion de la population de loups basĂ©e sur des tirs de destruction va bien au-delĂ  des possibilitĂ©s rĂ©glementaires de dĂ©roger Ă  la protection de l’espĂšce » et n’est pas une solution pĂ©renne pour faire diminuer les attaques sur les troupeaux. D’autant plus que l’efficacitĂ© des tirs de destruction » n’a jamais Ă©tĂ© dĂ©montrĂ©e, est inefficace et contreproductive dispersion et Ă©clatement des meutes, absence d’apprentissage de la cohabitation 
 et met en pĂ©ril la viabilitĂ© de l’espĂšce en France. De plus, une Ă©valuation de l’efficacitĂ© de ces tirs lĂ©taux, indispensable Ă  l’établissement d’une politique de tirs de prĂ©lĂšvement, n’a jamais Ă©tĂ© faite ou initiĂ©e. En prenant exemple sur nos voisins europĂ©ens, la cohabitation avec le loup est tout Ă  fait rĂ©alisable et il a Ă©tĂ© prouvĂ© que les attaques sur les troupeaux peuvent diminuer, sans l’utilisation des tirs de destruction, mais avec la mise en place de mesures de protection. Enfin, le plafond de tirs de rĂ©gulation des loups ne prend pas en compte le nombre d’individus braconnĂ©s ou les tirs non dĂ©clarĂ©s. En plus de l’inefficacitĂ© de ces tirs de destruction, le nombre de loups tuĂ©s est bien trop important et dĂ©passe les 40 loups annuels dĂ©truits ». Cet abattage des loups est une atteinte Ă  la prĂ©servation de cette espĂšce. En effet, une expertise du MNHN et de l’ONCFS avait recommandĂ© de limiter les tirs Ă  la protection des cheptels et de ne pas abattre plus de 10% de l’effectif de loups prĂ©sents en France afin de ne pas porter atteinte Ă  la viabilitĂ© de l’espĂšce. Or l’État permet avec ce nouveau PNA jusqu’à 12% de destruction de la population lupine sans compter les dĂ©rogations exceptionnelles qui viendront s’y ajouter sous la pression des lobbys agricoles qui font du loup le bouc Ă©missaire de cette filiĂšre en crise. Ce plan d’action national semble alors ne satisfaire aucun des partis pris d’autant plus que le retour du loups en France reprĂ©sentent des bĂ©nĂ©fices tant pour la nature que pour les hommes et qu’une grande majoritĂ© de français considĂšre que le loup a toute sa place dans notre pays. En effet, 76% des français adhĂšrent Ă  ce retour et 80% sont opposĂ©s Ă  son Ă©radication. Qu’en est-il pour nos voisins europĂ©ens ? Contrairement Ă  la France et bien qu’il ait Ă©tĂ© Ă©galement persĂ©cutĂ©, le loup n’a jamais totalement disparu chez nos voisins europĂ©ens, comme en Italie ou en Espagne oĂč le nombre de loups est estimĂ© Ă  environ 1 500 – 2 000 individus, impliquant que les Ă©leveurs n’ont pas oubliĂ© les bonnes pratiques » pour cohabiter avec le canidĂ©. De plus chaque situation est spĂ©cifique. Les loups n’ont pas conscience des frontiĂšres du monde gĂ©opolitique et se dispersent dans toute l’Europe. Les pratiques pastorales sont quant Ă  elles bien diffĂ©rentes selon les pays. Cela implique une gestion particuliĂšre des Ă©levages et de leur protection mais aussi des conflits d’ampleur variĂ©e selon les États. En Italie, l’élevage laitier est majoritaire par rapport Ă  celui destinĂ© Ă  la production de viande. Par exemple, les troupeaux sont rentrĂ©s la nuit et sont de tailles moins imposantes que ceux de l’élevage intensif français. Cela permet ainsi d’éviter davantage les conflits avec la prĂ©sence du loup. Il en est de mĂȘme en Espagne oĂč les bergers ont conservĂ© la tradition de la garde des cheptels. Cependant les loups sont tout de mĂȘme peu nombreux dans ces pays, bien qu’ils soient beaucoup plus prĂ©sents qu’en France. En Roumanie, oĂč les loups sont trĂšs prĂ©sents, le systĂšme d’élevage et de protection des troupeaux est adaptĂ© et efficace. Chaque cheptel possĂšde environ deux Ă  trois bergers ainsi que cinq Ă  six chiens de protection. Cette solution est malheureusement difficilement applicable en France en raison du prix de la main-d’Ɠuvre qui est beaucoup plus Ă©levĂ© qu’en Roumanie les Ă©leveurs n’ont donc pas les moyens d’embaucher plus d’employĂ©s et de former et soigner autant de chiens de protection. Faut-il envisager une gestion europĂ©enne de la problĂ©matique autour de la prĂ©sence du loup ? Cette question fait naĂźtre des avis partagĂ©s car, bien que des Ă©tudes scientifiques transfrontaliĂšres soient faites et applicables dans tous les pays d’Europe concernant la biologie du loup, les systĂšmes d’élevage europĂ©ens et leur viabilitĂ© sont quant Ă  eux trĂšs diffĂ©rents d’un pays Ă  l’autre. Les niveaux de vie salaires etc. et les antĂ©cĂ©dents du pays avec cette espĂšce sont Ă©galement trĂšs variables. De plus, l’espĂšce n’est pas prĂ©sente sur tous les territoires de la mĂȘme façon, impliquant qu’une gestion au niveau europĂ©en affectera diffĂ©remment chaque pays. Concilier toutes ces diffĂ©rences dans une organisation commune semble envisageable mais difficile Ă  mettre en place. Cependant, le rĂ©el objectif est d’apprendre de nos voisins europĂ©ens afin de favoriser la cohabitation entre le loup et les pratiques pastorales en France. Il est donc Ă  l’heure actuelle primordiale de veiller Ă  la pĂ©rennisation de la cohabitation homme-loup en prĂ©servant Ă  la fois l’espĂšce, dont sa prĂ©sence sur le territoire français est lĂ©gitime, et les activitĂ©s pastorales, en axant des actions sur l’étude de la population de loups et sur les interactions loups-troupeaux, en France et Ă  l’échelle europĂ©enne, et sur l’évolution des pratiques pastorales. Gabrielle Montier, le 28 fĂ©vrier 2018 Sources
EnsembleD'espĂšces Dont Fait Partie La Gazelle; Ensemble Des Especes Animales Vivant Dans Un Habitat Determine; Ensemble Des Especes Animales Au Feminin Divinite Au Masculin; Ensemble D Especes Dont Fait Partie La Gazelle; Ensemble De Plusieurs Gros Fils Tordus Ensemble Ensemble De Plusieur Gros Fils Tordus Ensemble
Les mesures d'application des dispositions du présent chapitre, à l'exception des articles de la présente section, du 5° de l'article L. 5422-9, des articles L. 5422-10, L. 5422-14 à L. 5422-16 et de l'article L. 5422-25, font l'objet d'accords conclus entre les organisations représentatives d'employeurs et de salariés. Ces accords sont agréés dans les conditions définies par la présente section. En l'absence d'accord ou d'agrément de celui-ci, les mesures d'application sont déterminées par décret en Conseil d'Etat.
Lasolution Ă  ce puzzle est constituéÚ de 9 lettres et commence par la lettre A CodyCross Solution pour ENSEMBLE DESPÈCES DONT FAIT PARTIE LA GAZELLE de mots flĂ©chĂ©s et mots croisĂ©s. DĂ©couvrez les bonnes rĂ©ponses, synonymes et autres types d'aide pour rĂ©soudre chaque puzzle L'Unesco a approuvĂ© la dĂ©signation de 11 nouvelles rĂ©serves de biosphĂšre dans 9 pays dont, pour la premiĂšre fois, la GĂ©orgie, le Tchad et la Zambie. Deux rĂ©serves de biosphĂšre existantes en Espagne ont Ă©galement Ă©tĂ© agrandies. Le rĂ©seau mondial des rĂ©serves de biosphĂšre compte 738 sites dans 134 pays avec ces nouvelles dĂ©signations. Depuis 51 ans, l'Unesco s'efforce de concilier l'activitĂ© humaine avec la conservation et l'utilisation durable de la biodiversitĂ© Ă  travers son Programme sur l'Homme et la biosphĂšre MAB. Je suis ravie de voir trois nouveaux États membres se joindre cette annĂ©e Ă  ce rĂ©seau utile et puissant. GrĂące Ă  ces nouvelles dĂ©signations, les rĂ©serves de biosphĂšres de l'Unesco couvrent dĂ©sormais une surface protĂ©gĂ©e de plus 1,3 million de kmÂČ Ă  l'Ă©chelle mondiale », ainsi s'est exprimĂ©e Audrey Azoulay directrice gĂ©nĂ©rale de l' ajouts ont Ă©tĂ© dĂ©cidĂ©s par le Conseil international de coordination, l'organe directeur du Programme sur l'Homme et la biosphĂšre MAB de l'Unesco composĂ© des reprĂ©sentants Ă©lus de 34 États membres de l'Unesco. Le Conseil tient sa 34e session du 13 au 17 juin au siĂšge de l'Organisation, Ă  Paris. Les rĂ©serves de biosphĂšre sont un pilier du mandat de l'Unesco en tant qu'agence scientifique des Nations sont au cƓur du travail de recherche et de sensibilisation de l'Unesco visant Ă  encourager les pratiques innovantes en matiĂšre de dĂ©veloppement durable et Ă  favoriser la comprĂ©hension, la valorisation et la sauvegarde de l'environnement vivant par les communautĂ©s et les États membres de l' de biosphĂšre de la Sunshine Coast AustralieSituĂ©e dans le sud-est du Queensland, Ă  proximitĂ© de Brisbane, en Australie, cette rĂ©gion prĂ©sente un littoral pittoresque, des dunes, des plages, de vastes cours d'eau et des zones humides, ainsi qu'une chaĂźne de montagnes dans l'arriĂšre-pays. Abritant deux groupes de PremiĂšres nations, les Kabi Kabi et Jinibara, la rĂ©serve de biosphĂšre maintient un environnement naturel trĂšs apprĂ©ciĂ© et une riche biodiversitĂ©, en particulier au sein des km2 de zones terrestres et marines protĂ©gĂ©es. Elle soutient Ă  la fois des activitĂ©s Ă©conomiques traditionnelles et de pointe, notamment des secteurs alimentaires, agroalimentaires et touristiques vigoureux. La rĂ©gion accueille environ 8 millions de visiteurs par de biosphĂšre de Doumba-Rey CamerounQuatriĂšme rĂ©serve de biosphĂšre de ce pays d'Afrique centrale occidentale, la rĂ©serve de biosphĂšre de Doumba-Rey est surtout connue pour sa population d'oiseaux de plus de 100 espĂšces identifiĂ©es et sa flore exceptionnellement diversifiĂ©e. SituĂ©e dans la zone de transition entre savanes et forĂȘts, elle joue un rĂŽle important dans la sĂ©questration du carbone et accueille des espĂšces emblĂ©matiques, dont les Ă©lĂ©phants. La rĂ©serve de biosphĂšre compte une soixantaine de villages dont les tribus dominantes sont les Gbaya, Mboum et MbĂ©rĂ© qui sont de grands chasseurs. Par ailleurs, le site est exploitĂ© par les bergers peulhs et nomades pour les activitĂ©s pastorales, Ă  l'instar de l'Ă©levage sĂ©dentaire et transhumant. En 2014, la rĂ©gion a accueilli plus de rĂ©fugiĂ©s fuyant les de biosphĂšre de Sena Oura TchadSituĂ©e prĂšs de la frontiĂšre avec le Cameroun, la rĂ©serve de biosphĂšre de Sena Oura est la premiĂšre rĂ©serve de biosphĂšre du Tchad. Elle couvre une surface totale de ha constituant les derniers vestiges intacts de la savane soudanaise du pays et abrite des Ă©lĂ©phants, des Ă©lands de Derby et des girafes. GrĂące Ă  la profusion de terres fertiles et aux conditions agroclimatiques favorables, l'agriculture traditionnelle et l'Ă©levage du bĂ©tail en particulier assurent la subsistance de prĂšs de 90 % de la population. La sylviculture joue Ă©galement un rĂŽle important dans l'Ă©conomie locale, avec la production de produits trĂšs prisĂ©s comme le miel et l'huile de de biosphĂšre de Dedoplistskaro GĂ©orgieL'une des deux premiĂšres rĂ©serves de biosphĂšre du pays, Dedoplistskaro est caractĂ©risĂ©e par des zones reculĂ©es, vastes et peu peuplĂ©es autour du volcan de boue Takhti-Tepha, prĂšs de la frontiĂšre avec l'AzerbaĂŻdjan. Elle est considĂ©rĂ©e comme un haut lieu de la biodiversitĂ©, avec ses espĂšces de mammifĂšres 52, d'oiseaux 90 et de reptiles 30, dont les emblĂ©matiques lĂ©opards d'Afrique et gazelles Ă  goitre. Sa steppe et ses semi-dĂ©serts ont traditionnellement permis l'Ă©levage et le pĂąturage. Les autoritĂ©s prĂ©voient de crĂ©er de nouvelles perspectives grĂące Ă  des techniques agricoles durables et Ă  l' de biosphĂšre des trois riviĂšres Alazani GĂ©orgieCette rĂ©serve de biosphĂšre englobe les bassins versants de la riviĂšre Alazani et de ses deux affluents, et comprend une mosaĂŻque de forĂȘts alpines et de plaines inondables, ainsi que des prairies alpines. Elle abrite plusieurs espĂšces emblĂ©matiques comme l'ours noir, le loup gris et le lynx, ainsi qu'une flore sur la liste rouge et des reliques de forĂȘts d'ifs. La partie sud de la rĂ©serve de biosphĂšre, plus peuplĂ©e, comporte de nombreux sites historiques et archĂ©ologiques ainsi que des forĂȘts, qui jouent un rĂŽle important dans la vie religieuse locale, car beaucoup sont considĂ©rĂ©s comme est la principale activitĂ© de la rĂ©gion et les communautĂ©s locales ont dĂ©veloppĂ© le systĂšme unique sopel-bosloba, qui permet la culture dans les zones montagneuses. La rĂ©serve de biosphĂšre vise Ă  soutenir et revitaliser l'Ă©levage transhumant, y compris la race locale des moutons tushetians, et de promouvoir les visites touristiques de de biosphĂšre de BourabaĂŻ KazakhstanSituĂ©e dans la partie la plus Ă©levĂ©e des hautes terres du Kazakhstan central, BourabaĂŻ est surtout connue pour ses nombreux lacs 14 de ces lacs cumulent une superficie totale de plus de 100 km2 et de nombreux autres sont de taille plus modeste. Elle est trĂšs reprĂ©sentative de la biodiversitĂ© de l'Ă©cotone forĂȘt-steppe eurasien. Outre l'agriculture et l'exploitation miniĂšre, la rĂ©gion est une destination touristique populaire depuis la crĂ©ation en 2005 de la zone de villĂ©giature de Shchuchinsk-Borovoye, grĂące Ă  sa proximitĂ© avec des rĂ©gions densĂ©ment peuplĂ©es au Kazakhstan et en FĂ©dĂ©ration de Russie, et Ă  de bonnes liaisons aĂ©riennes, ferroviaires et routiĂšres avec de biosphĂšre de Markakol KazakhstanCouvrant les Ă©cosystĂšmes les moins perturbĂ©s de la partie sud de l'AltaĂŻ occidental, Markakol est proche de la frontiĂšre avec la Chine. Elle englobe des paysages uniques et caractĂ©ristiques de la taĂŻga de moyenne montagne et des paysages alpins de haute montagne de l'Ă©corĂ©gion de la steppe tempĂ©rĂ©e d'Eurasie, qui abritent diverses espĂšces endĂ©miques, dont le lĂ©opard des neiges et la martre des rochers, espĂšces rares et menacĂ©es. La plupart des habitants de cette rĂ©serve de biosphĂšre tirent leur subsistance de l'Ă©levage et du tourisme, bien que ce dernier soit en de biosphĂšre du lac Khövsgöl MongolieLa biodiversitĂ© existant autour du lac Khövsgöl est unique en Mongolie. Ces vastes zones sont vierges et inhabitĂ©es, ce qui favorise la croissance de plantes sauvages luxuriantes, aromatiques et aux couleurs vives. Ses Ă©cosystĂšmes variĂ©s abritent une variĂ©tĂ© d'espĂšces uniques, dont certaines sont rares et menacĂ©es, comme le lĂ©opard des neiges, le bouquetin ibex, le porte-musc de SibĂ©rie, l'orignal, le renne, le cerf rouge et l'ours brun. Environ personnes vivent dans cette rĂ©serve de biosphĂšre oĂč elles pratiquent l'Ă©levage, le tourisme et utilisent les ressources naturelles. Les habitants locaux et les personnes des districts voisins y rĂ©coltent des noix et des fruits en de biosphĂšre de Harrat Uwayrid Arabie SaouditeLa deuxiĂšme rĂ©serve de biosphĂšre d'Arabie saoudite, situĂ©e dans la partie occidentale du pays, abrite des espĂšces en danger critique d'extinction au niveau mondial, notamment le lĂ©opard d'Arabie et la gazelle arabe, ainsi que diverses espĂšces de flores endĂ©miques. Les quelque villageois vivant dans la zone tampon et les zones de transition dĂ©pendent fortement des activitĂ©s pastorales et de l'agriculture, source de revenus, notamment de l'Ă©levage et de la garde de `, d'ovins et de de biosphĂšre des marais de KafuĂ© ZambieCouvrant plus de ha, la rĂ©serve de biosphĂšre des marais de KafuĂ© traverse plusieurs districts d'importance archĂ©ologique et historique, ainsi qu'un site Ramsar et une zone importante pour les oiseaux. Elle abrite plus de 400 espĂšces aviaires et plusieurs mammifĂšres, dont le zĂšbre, le buffle, l'hippopotame et le lechwe endĂ©mique de est principalement occupĂ©e par les Ila/Balundwe, des bergers transhumants qui pratiquent Ă©galement la pĂȘche et l'agriculture. La rĂ©gion compte la plus grande concentration de bĂ©tail du pays, avec des troupeaux comptant jusqu'Ă  tĂȘtes qui paissent dans ses plaines inondables pendant la saison sĂšche. Lors de la saison des pluies, la plupart des communautĂ©s se retirent des plaines de KafuĂ© pour rejoindre des villages permanents en bordure et Ă  l'extĂ©rieur de la rĂ©serve de biosphĂšre. Cette mĂ©thode traditionnelle de gestion du bĂ©tail, dĂ©nommĂ©e kuwila », est pratiquĂ©e sur les terres coutumiĂšres au moment de la dĂ©crue, entre juillet et de biosphĂšre de Chimanimani ZimbabweDeuxiĂšme rĂ©serve de biosphĂšre du Zimbabwe, la rĂ©serve de biosphĂšre de Chimanimani comprend une mosaĂŻque de montagnes, de forĂȘts, de prairies et d'arbustes, et des Ă©cosystĂšmes d'eau douce. Le paysage s'Ă©tend vers le Mozambique, dans le cadre d'une rĂ©serve de biosphĂšre transfrontaliĂšre proposĂ©e qui s'Ă©tendrait Ă  l'Ă©cosystĂšme montagneux d'Afrique de l'Est, point chaud de la biodiversitĂ© mondiale. Cette rĂ©serve de biosphĂšre comprend six zones clĂ©s de biodiversitĂ© riches en espĂšces de plantes endĂ©miques et 88 sites archĂ©ologiques. Elle est habitĂ©e par environ personnes, principalement issues de la culture Ndau, dont la plupart parlent une langue menacĂ©e. La population locale tire profit des ressources naturelles grĂące au tourisme et aux produits forestiers non ligneux tels que le miel et le 2 rĂ©serves Ă©tendues RĂ©serve de biosphĂšre de El Hierro EspagneSituĂ©e sur l’üle d’El Hierro dans l'archipel des Canaries, cette rĂ©serve de biosphĂšre compte prĂšs de habitants. Elle a notamment Ă©tendu sa zone marine, portant sa superficie totale Ă  ha. SituĂ©e dans la rĂ©gion biogĂ©ographique macaronĂ©sienne, El Hierro est devenue entiĂšrement autonome en matiĂšre Ă©nergĂ©tique en 2014, grĂące Ă  son systĂšme hybride de production d'Ă©lectricitĂ© de biosphĂšre de Sierra del RincĂłn EspagneLa zone de transition de cette rĂ©serve de biosphĂšre a Ă©tĂ© Ă©largie de 2,5 %, atteignant une superficie de ha. Toute la municipalitĂ© de Madarcos, historiquement et Ă©cologiquement liĂ©e aux cinq municipalitĂ©s qui composent aujourd'hui la rĂ©serve de biosphĂšre, a Ă©tĂ© intĂ©grĂ©e. Cette extension garantit la protection de la riche biodiversitĂ© de la zone, en particulier sa richesse ornithologique, et du patrimoine culturel associĂ©. L'Ă©largissement renforcera Ă©galement les initiatives de dĂ©veloppement socio-Ă©conomique de la rĂ©gion, notamment dans le domaine du tourisme Balade au pays des merveilleux sites classĂ©s par l'UnescoChine Fanjingshan, un trĂšs rare Ă©cosystĂšme SituĂ© dans la chaĂźne de montagnes de Wuling, dans la province du Guizhou sud-ouest de la Chine, Fanjinshan se caractĂ©rise par une amplitude altitudinale qui va de 2 570 Ă  500 mĂštres au-dessus du niveau de la mer, ce qui favorise l'existence de types de vĂ©gĂ©tation et de relief trĂšs diversifiĂ©s. C'est une Ăźle de roches mĂ©tamorphiques dans un ocĂ©an de karst qui abrite encore de nombreuses espĂšces animales et vĂ©gĂ©tales dont l'origine remonte au Tertiaire, il y a entre 65 millions et deux millions d'annĂ©es. L'isolement a favorisĂ© un haut degrĂ© de biodiversitĂ© avec des espĂšces endĂ©miques, comme le sapin de Fanjinshan Abies fanjingshanensis et le rhinopithĂšque jaune dorĂ© du Guizhou Rhinopithecus brelichi, ou menacĂ©es, comme la salamandre gĂ©ante de Chine Andrias davidianus, le porte-musc nain Moschus berezovskii ou le faisan vĂ©nĂ©rĂ© Syrmaticus reevesii. Fanjinshan abrite la forĂȘt primaire de hĂȘtres la plus vaste et la plus continue de la rĂ©gion subtropicale. Texte Unesco CC by-sa IGO — Photo Fanjingshan. © Zhou Wenqing, Office of the Leading Group for World Heritage Application of Tongren City, tous droits rĂ©servĂ©sCes ressources biologiques, en abondance, reprĂ©sentent une grande valeur scientifique et acadĂ©mique. Dans ce trĂšs rare Ă©cosystĂšme se dĂ©nombrent plus de espĂšces biologiques, environ espĂšces vĂ©gĂ©tales soit 13 % de la totalitĂ© de la flore en chine et espĂšces animales et nombre d’espĂšces endĂ©miques. Une vingtaine de cours d’eau prennent leur source ici, alimentant les affluents du site est rĂ©putĂ© pour la magnificence de ses panoramas montagneux, de ses zones humides, ses cascades et ses lacs. Un ensemble de paysages sublimĂ©s par des phĂ©nomĂšnes mĂ©tĂ©orologiques et les contrastes saisonniers tels que les arcs-en-ciel, les mers de nuages, les mirages et la lĂ©gendaire lumiĂšre de Bouddha ».Depuis la dynastie Ming qui a rĂ©gnĂ© de 1368 Ă  1644, la rĂ©gion est un site sacrĂ© du bouddhisme. Elle est visitĂ©e par de touristes chaque annĂ©e. CorĂ©e du Sud les Sansa, monastĂšres bouddhistes de montagne Les Sansa sont des monastĂšres bouddhistes de montagne dissĂ©minĂ©s dans les provinces mĂ©ridionales de la pĂ©ninsule corĂ©enne. L’amĂ©nagement spatial des sept temples – fondĂ©s du VIIe au IXe siĂšcle – qui composent le site prĂ©sente des traits communs qui sont spĂ©cifiques Ă  la CorĂ©e – le madang » cour ouverte entourĂ© de quatre bĂątiments salle du Bouddha, pavillon, salle de lecture et dortoir. Ils contiennent un grand nombre de structures, d’objets, de documents et de sanctuaires remarquables. Lieux sacrĂ©s, les monastĂšres de montagne ont survĂ©cu jusqu’à nos jours en tant que centres religieux vivants, avec une pratique quotidienne de la foi. Texte Unesco CC by-sa IGO — Photo Le temple de Beopjusa. © CIBM, tous droits rĂ©servĂ©s SituĂ© dans le Parc national de Songnisan qui signifie Ă©loignĂ© du monde ordinaire », ce vaste ensemble de monastĂšres bouddhistes ponctue un paysage spectaculaire et surprenant fait de pics vertigineux, de forĂȘts luxuriantes et de lacs aux formes 120 kilomĂštres de SĂ©oul et localisĂ© Ă  mĂštres d’altitude, le temple de Beopjusa notre photo est l’un des plus beaux exemples. Une trĂšs importante communautĂ© vĂ©cut dans ce monastĂšre ; jusqu’à moines y Ă©taient installĂ©s et rĂ©partis dans une soixante de bĂątiments. Ce lieu a Ă©tĂ© rĂ©novĂ© prĂšs de 8 fois au cours de ses ans d’histoire. Gravement endommagĂ©e par les invasions japonaises au cours du XVIe siĂšcle, sa forme actuelle date cependant du XVIIe temple de Beopjusa est cĂ©lĂšbre pour sa pagode en bois de cinq Ă©tages, d’une hauteur de 22,70 mĂštres. Datant de l'Ă©poque de sa reconstruction en 1624, la pagode Palsangjeon est la plus haute du pays. Le temple est aussi connu pour son bouddha assis sur une fleur de lotus sculptĂ©e Ă  mĂȘme la roche. Cette statue en bronze mesure 33 mĂštres de haut. France le Haut lieu tectonique ChaĂźne des Puys - Faille de Limagne SituĂ© au centre de la France, le site comprend la longue faille de Limagne, l’alignement des volcans de la chaĂźne des Puys et le relief inversĂ© de la montagne de la Serre. Il s’agit d’un Ă©lĂ©ment emblĂ©matique du rift ouest-europĂ©en, créé dans le sillage de la formation des Alpes, il y a 35 millions d’annĂ©es. Les caractĂ©ristiques gĂ©ologiques du site dĂ©montrent comment la croĂ»te continentale se fissure puis s’effondre, permettant au magma profond de remonter et entraĂźnant un soulĂšvement de la surface. Le site illustre de maniĂšre exceptionnelle le phĂ©nomĂšne de rupture continentale – ou rifting-, qui est l’une des cinq principales Ă©tapes de la tectonique des plaques. Texte Unesco CC by-sa IGO — Photo Le Haut lieu tectonique ChaĂźne des Puys - Faille de Limagne. © Pierre Soissons, tous droits rĂ©servĂ©sIci, les Ă©tapes successives du processus de rift sont parfaitement identifiĂ©es le plateau des DĂŽmes est un ancien socle continental qui, lors de la rupture du continent, s’est Ă©tirĂ©, fracturĂ© puis s’est effondrĂ© le long de la ligne de faille donnant naissance Ă  la plaine de Limagne. Ce qu’il reste de cette ancienne chaĂźne de montagnes est ce plateau des DĂŽmes dominant, Ă  plus de 700 mĂštres. La surface s’est ensuite massivement soulevĂ©e donnant lieu Ă  une inversion de relief, la montagne de la chaĂźne des Puys est le rĂ©sultat de la remontĂ©e des magmas par les fissures créées lors la fracturation. C’est un alignement volcanique de quelque 80 Ă©difices aux formes trĂšs variĂ©es dĂŽmes, cĂŽnes, maars — cratĂšres— et leurs coulĂ©es apparus parallĂšlement Ă  la faille de Limagne. Il s’étale sur prĂšs de 32 kilomĂštres de long et 4 kilomĂštres de Ă©lĂ©ments illustrent le processus de la rupture continentale donnant lieu Ă  l’actuelle configuration des ocĂ©ans et des continents. Ici, s’est dĂ©roulĂ© un phĂ©nomĂšne unique dans l’histoire de notre PlanĂšte la rupture d’un continent. Sous ces verts pĂąturages, ce sont 350 millions d’annĂ©es d’histoire gĂ©ologique et une lisibilitĂ© des formes prĂ©servĂ©es mais aussi façonnĂ©es par l’agriculture, la sylviculture et le caractĂ©ristiques de ce site sont donc intactes et prĂ©servĂ©es de toute urbanisation depuis longtemps. GrĂące Ă  la coordination des acteurs locaux et de l’État, ce site qui est inclus dans le Parc naturel rĂ©gional des volcans d’Auvergne, d’une superficie de ha avec une zone tampon de ha autour, jouit d’une gestion et d’une protection depuis plus d’une centaine d’annĂ©es. Colombie le Parc national de Chiribiquete et la Maloca des jaguars » SituĂ© dans le nord-ouest de l’Amazonie colombienne, le parc national de Chiribiquete est la plus grande zone protĂ©gĂ©e du pays. L’une des spĂ©cificitĂ©s de ce parc est la prĂ©sence de tepuys mot d’origine amĂ©rindienne qui signifie montagne », des plateaux de grĂšs aux parois abruptes qui dominent la forĂȘt. Plus de peintures, datĂ©es de avant notre Ăšre jusqu’à nos jours, figurent sur les parois de 60 abris sous roche qui bordent le pied de ces tepuys. RattachĂ©es Ă  un culte supposĂ© du jaguar, symbole de pouvoir et de fĂ©conditĂ©, elles reprĂ©sentent des scĂšnes de chasse, de batailles, de danses ou de cĂ©rĂ©monies. Les communautĂ©s autochtones, qui ne sont pas directement prĂ©sentes sur le site, considĂšrent la rĂ©gion comme sacrĂ©e. Texte Unesco CC by-sa IGO — Photo Art rupestre. © Jorge Mario Álvarez Arango, tous droits rĂ©servĂ©sPour ces peuples, isolĂ©s volontairement ou non, ces terres reprĂ©sentent la Grande maison des animaux », comme en tĂ©moigne, sur nombre d’abris sous roche, la diversitĂ© des motifs peints par les premiers habitants d’Amazonie et ce, jusqu’à nos jours. Ces reprĂ©sentations rupestres tĂ©moignent du lien spirituel qui les unit avec le cosmos et la nature depuis des plus grand parc national de Colombie couvre une superficie de 2,7 millions d’hectares de nature vierge, l’une des plus importantes zones sauvages reculĂ©es du monde. Le site de Chiribiquete abrite des espĂšces animales telles que le jaguar, le puma, le tapir du BrĂ©sil, la loutre gĂ©ante, le hurleur roux et le lagotriche commun ainsi que d’autres endĂ©miques en grand conservation de cette biodiversitĂ© espĂšces vĂ©gĂ©tales et animales ont Ă©tĂ© recensĂ©es est d’une importance capitale, et d’une richesse irremplaçable ; l’isolement gĂ©ographique du site pourrait avoir favoriser des processus d’adaptation uniques sur la faune et la flore. Turquie Göbekli Tepe et son mystĂ©rieux temple SituĂ© dans la chaĂźne montagneuse du Germus en Anatolie du sud-est, ce site prĂ©sente des structures mĂ©galithiques monumentales de forme circulaire et rectangulaire, interprĂ©tĂ©es comme des enceintes, qui ont Ă©tĂ© Ă©rigĂ©es par des groupes de chasseurs-cueilleurs du NĂ©olithique prĂ©cĂ©ramique entre et avant notre Ăšre. Ces monuments ont sans doute Ă©tĂ© utilisĂ©s dans le cadre de rituels, probablement funĂ©raires. Des piliers caractĂ©ristiques en forme de T sont sculptĂ©s d’animaux sauvages qui donnent un aperçu de la vision du monde et des croyances des populations vivant en Haute MĂ©sopotamie il y a environ ans. Texte Unesco CC-by-sa IGO — Photo Vue aĂ©rienne de Göbekli Tepe en 2013. © DAI, Göbekli Tepe Project, tous droits rĂ©servĂ©sLe site de Göbekli Tepe littĂ©ralement Colline au nombril », est considĂ©rĂ© comme le plus vieux temple du monde. Cette sĂ©rie d’enceintes circulaires et concentriques, de 10 Ă  20 m de diamĂštre chacune, reliĂ©s par des blocs de pierre formant des murets, est ponctuĂ©e par de grands piliers, mesurant, pour les plus grands, 5 mĂštres de haut et pesant 16 tonnes. À l’intĂ©rieur ont Ă©tĂ© trouvĂ©s de magnifiques bas-reliefs stylisĂ©s, des statues, des sculptures d’animaux, des couteaux
Parce que le site est monumental et que sa disposition spatiale dĂ©note un souci de l’agencement, et une organisation du travail sur le long terme et donc sociale, les scientifiques y voient la premiĂšre conception architecturale, soit quelques millĂ©naires avant KĂ©ops et Stonehenge. Mais ils restent perplexes quant Ă  dĂ©terminer la fonction du lieu. Était-il un lieu de pĂšlerinage, de rituels ou d’un lieu de vie frĂ©quentĂ© quotidiennement ? Il semblerait que Göbekli Tepe soit le point de passage d’une sociĂ©tĂ© nomade Ă  une sociĂ©tĂ© sĂ©dentaire, initiant le concept d’espace de vie communautaire, les prĂ©mices de la une chose intrigue les archĂ©ologues, pourquoi ce site a-t-il Ă©tĂ© enfoui volontairement sous ces buttes artificielles ? Depuis sa dĂ©couverte en 1963 et le dĂ©but des fouilles en 1995, les chercheurs ne cessent de s’interroger. Danemark Aasivissuit-Nipisat, terres de chasse inuites Terres de chasse inuites entre mer et glace. Se trouvant au nord du cercle arctique dans la partie centrale de l’ouest du Groenland, le site contient des vestiges de ans d’histoire humaine. Les populations ont façonnĂ© un paysage culturel fondĂ© sur la chasse aux animaux marins et terrestres, les modes saisonniers de migration et un patrimoine culturel immatĂ©riel riche et prĂ©servĂ©, liĂ© notamment au climat, Ă  la navigation ou Ă  la mĂ©decine. Parmi les caractĂ©ristiques du site, figurent de grandes maisons d’hiver et des traces de chasse au caribou ainsi que des gisements archĂ©ologiques des cultures palĂ©o-inuites et inuites. Ce paysage culturel est prĂ©sentĂ© au travers de sept localitĂ©s importantes, de Nipisat Ă  l’ouest Ă  Aasivissuit, prĂšs de la calotte glaciĂšre, Ă  l’est. Il dĂ©montre la persistance des cultures humaines de cette rĂ©gion et leurs traditions de migrations saisonniĂšres. Texte Unesco CC by-sa IGO — Photo Vue vers l'ouest du lac d'Aasivissuit, prise Ă  l'est de la zone proposĂ©e. © Laust LĂžgstrup, tous droits rĂ©servĂ©sTroisiĂšme site groenlandais inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco, l’üle du Groenland, Ă  85 % recouvert de glace, est habitĂ©e par habitants, dont 90 % sont issus de migrations d’Asie centrale. MenacĂ© par le rĂ©chauffement climatique et jusqu’ici protĂ©gĂ© par le froid, le site comprend aussi un environnement de sites archĂ©ologiques qui tĂ©moignent de l’histoire des populations inuites, de leurs activitĂ©s sur cette partie du Groenland et de leurs traditions, comme ces habitats, les maisons d’hiver circulaires et semi-enterrĂ©es. Si la baleine fournissait de quoi se nourrir, se chauffer, elle permettait aux Inuits de construire des abris. La carcasse d’une baleine atteignant parfois 20 mĂštres de long, elle pouvait servir d’ossature pour la construction qui Ă©tait complĂ©tĂ©e par pierres et bois, mottes de terre, tourbe et des millĂ©naires, cette population nomade vit de cueillettes, de pĂȘche et de chasse communautaire. La chasse au caribou, animal fournissant chair, graisse et peau, Ă©tait une technique Ă©laborĂ©e nĂ©cessitant la participation de plusieurs familles pour la construction de clĂŽtures imposantes, de plusieurs kilomĂštres de grĂ© des variations saisonniĂšres tempĂ©ratures, luminositĂ©, prĂ©cipitations, les populations se dĂ©plaçaient sur des milliers de kilomĂštres de couloirs rĂ©pertoriĂ©s en fonction des ressources disponibles. Les trajets et les points de repĂšre Ă©taient mĂ©morisĂ©s avec un systĂšme toponymique propre aux Inuits, une cartographie mentale construite sur l’expĂ©rience directe, intime, et n’ayant pas de correspondance dans les canaux institutionnels. Plus qu’un savoir gĂ©ographique vernaculaire dont leur survie dĂ©pendait, il constitue l’expression culturelle inuite ancestrale. Oman la citĂ© ancienne de QalhĂąt Le site, qui se trouve sur la cĂŽte est du Sultanat d’Oman, comprend la citĂ© ancienne de QalhĂąt, dĂ©limitĂ©e par des remparts intĂ©rieurs et extĂ©rieurs, ainsi que des zones en dehors des remparts oĂč se situent des nĂ©cropoles. La citĂ© Ă©tait un port important de la cĂŽte orientale de l’Arabie, qui s’est dĂ©veloppĂ© du XIe au XVe siĂšcle de notre Ăšre sous le rĂšgne des princes d’Ormuz. Elle fournit des tĂ©moignages archĂ©ologiques uniques sur les Ă©changes commerciaux entre la cĂŽte orientale de l’Arabie, l’Afrique de l’Est, l’Inde et jusqu’à la Chine et l’Asie du Sud-Est. Texte Unesco CC by-sa IGO — Photo MausolĂ©e de BĂźbĂź Maryam. © MHC, tous droits rĂ©servĂ©sLe port mĂ©diĂ©val de QalhĂąt est l’un des sites archĂ©ologiques les plus importants du Sultanat d’Oman. FondĂ© vers 1100, il joue un rĂŽle important dans les Ă©changes commerciaux de la pĂ©ninsule arabique. Par voie maritime, l’Oman est alors le passage obligĂ© entre l’Asie et l’Afrique. Par voie terrestre, les grandes caravanes qui partent du sud de la pĂ©ninsule forment la Route de l’encens ». Marco Polo s’émerveille de la position stratĂ©gique de cette citĂ© cosmopolite. Un comptoir portugais s’y installe pendant 150 sa destruction par les Portugais et un probable tremblement de terre, la ville fortifiĂ©e antique est abandonnĂ©e au dĂ©but du XVIe siĂšcle. À part la grande mosquĂ©e richement dĂ©corĂ©e et Ă©rigĂ©e par BĂźbĂź Maryam, femme d’AyĂąz, gouverneur de la ville pour le royaume d’Ormuz au XIIIe siĂšcle, il ne reste qu’un vaste champ de ruines d’environ 35 ha, mais les fouilles ont rĂ©vĂ©lĂ© les principaux Ă©lĂ©ments de l’organisation de la citĂ© et leur Ă©volution en quartiers ont aussi mis en Ă©vidence un systĂšme d’approvisionnement en eau, des fortifications, plusieurs grandes maisons parfois trĂšs vastes, des bĂątiments alignĂ©s ou organisĂ©s autour de placettes, des ateliers d’artisans, des structures funĂ©raires. Ces Ă©lĂ©ments sont de prĂ©cieuses informations pour comprendre la vie quotidienne dans l’Oman mĂ©diĂ©val. Le projet d’un parc archĂ©ologique est en cours et son ouverture serait prĂ©vue pour 2020. Afrique du Sud les montagnes de Barberton Makhonjwa Ce site, qui se trouve au nord-est de l’Afrique du Sud, englobe 40 % de la ceinture de roches vertes de Barberton, une des plus anciennes structures gĂ©ologiques de notre planĂšte. Les montagnes de Barberton Makhonjwa reprĂ©sentent la succession de roches volcaniques et sĂ©dimentaires la mieux prĂ©servĂ©e datant de 3,6 Ă  3,25 milliards d’annĂ©es, lorsque les premiers continents ont commencĂ© Ă  se former sur la terre primitive. On y trouve des brĂšches de retombĂ©e rĂ©sultant des impacts de mĂ©tĂ©orites formĂ©es juste aprĂšs la fin du grand bombardement 4,6 Ă  3,8 milliards d’annĂ©es qui sont particuliĂšrement bien prĂ©servĂ©es. Texte Unesco CC by-sa IGO — Photo Upper Hyslops Faurea. © Tony Ferrar, tous droits rĂ©servĂ©sParmi les dix biens d’Afrique du Sud classĂ©s au patrimoine mondial de l’Unesco, celui-ci est le quatriĂšme bien naturel du pays. Il couvre une superficie de hectares situĂ©e dans le sud-est de la province de Mpumalanga. Le site est exceptionnel et unique pour la comprĂ©hension de l’apparition de la vie sur terre. La protection permanente de ce patrimoine revĂȘt donc une valeur inestimable et universelle tant pour l’Histoire que la Ă  l’étude des roches des montagnes de Barberton Makhonjwa, les chercheurs ont extrait les informations sur la formation de la croĂ»te terrestre réévaluant Ă  un milliard d’annĂ©es plus tĂŽt la premiĂšre apparition de la vie sur un enregistrement unique de la formation initiale de la planĂšte, le bien comprend une multitude d'espĂšces vĂ©gĂ©tales endĂ©miques et exceptionnellement riches, situĂ©es dans un paysage spectaculaire. Allemagne l'ensemble archĂ©ologique frontalier de Hedeby et du Danevirke Hedeby est un site archĂ©ologique comprenant les vestiges d’un emporium — ou ville commerciale — contenant des traces de rues, de bĂątiments, de cimetiĂšres et d’un port qui remontent au Ier et au dĂ©but du IIe millĂ©naire de notre Ăšre. Il est entourĂ© par une partie du Danevirke, une ligne de fortification traversant l’isthme du Schleswig, qui sĂ©pare la pĂ©ninsule du Jutland du reste de l’Europe continentale. En raison de sa situation unique entre l’Empire franc au sud et le royaume danois au nord, Hedeby devint une plaque tournante entre l’Europe continentale et la Scandinavie et entre la mer du Nord et la mer Baltique. En raison de son matĂ©riel archĂ©ologique riche et bien conservĂ©, le site est essentiel pour l’interprĂ©tation des Ă©volutions Ă©conomiques, sociales et historiques en Europe Ă  l’ùre viking. Texte Unesco CC by-sa IGO — Photo Le mur courbĂ© du Danevirke. © Rainer Heidenreich, ArchĂ€ologisches Landesamt Schleswig-Holstein, tous droits rĂ©servĂ©sCet ensemble, comprenant le centre de commerce de Hedeby et le systĂšme dĂ©fensif du Danevirke, tĂ©moigne de l’importance qu’a revĂȘtu Hedeby pendant plus de trois siĂšcles, c’est-Ă -dire, tout au long de l’ùre viking. Au Xe siĂšcle, la citĂ© Ă©tait intĂ©grĂ©e aux ouvrages dĂ©fensifs du Danevirke, une ligne dĂ©fensive d'une trentaine de kilomĂštres de long datĂ©e du IXe siĂšcle, Ă©rigĂ©e en terre de six Ă  sept mĂštres, renforcĂ©e par des traverses de bois et couronnĂ©es par une palissade ; un fossĂ© double le le port adjacent Ă  la ville, ont Ă©tĂ© dĂ©couverts trois pierres runiques ainsi que de nombreux Ă©lĂ©ments du mur, associĂ©s au Danevirke, dont des portions du mur courbe et des ouvrages en mer des vestiges en surface et des traces archĂ©ologiques en sous-sol ou sous l’eau. Ce site donne un aperçu exceptionnel concernant le maillage des rĂ©seaux commerciaux et sur les Ă©changes interculturels. Il aide Ă  mieux comprendre le dĂ©veloppement des villes en Europe occidentale et Europe habitĂ©e ni reconstruite depuis qu’elle a Ă©tĂ© abandonnĂ©e, la citĂ© de Hedeby recĂšle donc des gisements archĂ©ologiques authentiques. Seuls 5 % ont Ă©tĂ© Ă©tudiĂ©s, 95 % restant du site et de ses vestiges n’ont pas encore Ă©tĂ© fouillĂ©s. De toute Ă©vidence, pĂšsent aujourd’hui des menaces sur le paysage, telles que les Ă©oliennes, l’utilisation des terres, le dĂ©veloppement de l’urbanisation et son impact. Espagne la ville califale de Medina Azahara La ville califale de Medina Azahara est un site archĂ©ologique d’une ville Ă©difiĂ©e au milieu du Xe siĂšcle par la dynastie des Omeyyades comme siĂšge du califat de Cordoue. AprĂšs avoir prospĂ©rĂ© quelques annĂ©es, elle fut mise Ă  sac durant la guerre civile qui mit fin au califat en 1009-1010. Les vestiges furent oubliĂ©s pendant prĂšs de ans, jusqu’à leur dĂ©couverte au dĂ©but du XXe siĂšcle. Cet ensemble urbain complet comprend des infrastructures telles que des routes, ponts ou systĂšmes hydrauliques, des bĂątiments, des Ă©lĂ©ments de dĂ©coration et des objets du quotidien. Il apporte une connaissance approfondie de la civilisation islamique occidentale d’Al-Andalus, aujourd’hui disparue, au sommet de sa splendeur. Texte Unesco CC by-sa IGO — Photo Vue aĂ©rienne de la ville califale de MĂ©dina Azahara. © M. PijuĂĄn, Madinat al-Zahra Archaeological Site CAMaZ, tous droits rĂ©servĂ©sSituĂ© Ă  huit kilomĂštres de la pĂ©riphĂ©rie ouest de Cordoue, le site doit son aussi bonne prĂ©servation grĂące Ă  son oubli. Il n’a Ă©tĂ© ni reconstruit ni modifiĂ© durant cette pĂ©riode. Depuis le dĂ©but du XXe siĂšcle, ont Ă©tĂ© menĂ©s et rendus nĂ©cessaires d’importants travaux de conservation, de consolidation, de stabilisation des structures. Les seuls 10 % du site qui ont Ă©tĂ© fouillĂ©s ont mis Ă  jour une partie du Qasr, ou palais fortifiĂ©, et une sĂ©rie de bĂątiments bien conservĂ©s dont des murs originaux de plusieurs mĂštres de haut. La ville califale de Medina Azahara, littĂ©ralement Ville brillante » s’inscrit dans un quadrilatĂšre de m sur 700 m, formant une enceinte rectangulaire d’environ 112 ha, se distinguant ainsi du style typique de l’urbanisme musulman Ă  cette par le calife des Omeyyades de Cordoue, Abd-ar-Rahman III al-Nasir 912-961, la ville palatiale fut construite en haut d’une colline, en terrasses Ă©chelonnĂ©es Ă©pousant les flancs de la montagne, et divisĂ©e en trois parties. Le systĂšme d’irrigation est l'une des rĂ©alisations les plus admirables. Des canalisations parcourant les montagnes et traversant les vallĂ©es par des aqueducs amenaient l’eau en abondance dans les parcs et d’un point de vue architectural, esthĂ©tique que paysager, Madinat al-Zahra marque le dĂ©but l’architecture et de l’art islamique occidental. Dans l’Alhambra, se retrouveront plus tard des Ă©lĂ©ments de la ville palatiale, comme l’organisation des piĂšces autour d’une cour ou d’un jardin central. Iran le paysage archĂ©ologique sassanide de la rĂ©gion du Fars SituĂ©s dans le sud-est de la province iranienne du Fars, ces huit sites archĂ©ologiques se trouvent dans trois zones gĂ©ographiques Firouzabad, Bishapour et Savestan. Ces structures fortifiĂ©es, palais et plans urbains remontent aux premiers et derniers moments de l'Empire sassanide, qui s'Ă©tendait dans la rĂ©gion entre 224 et 658 apr. Les sites comprennent notamment la premiĂšre capitale du fondateur de la dynastie, Ardachir Papakan, ainsi qu'une ville et des structures architecturales de son successeur, le roi Shapur Ier. Ce paysage archĂ©ologique, qui s'appuie sur une exploitation optimale de la topographie naturelle, tĂ©moigne de l'influence des traditions culturelles achĂ©mĂ©nides et parthes et des Ă©changes avec l'art romain qui eurent un impact important sur l'architecture de la pĂ©riode islamique. Texte Unesco CC by-sa IGO — Photo Qal'eh Dokhtar. © © ICHHTO, tous droits rĂ©servĂ©sEn Iran, le bien, englobant une superficie de 639 hectares, est symbolique des innovations les plus significatives de la civilisation sassanide matĂ©rialisĂ©es dans diffĂ©rents contextes environnementaux occupation des sols, schĂ©mas d’établissement spĂ©ciaux, urbanisme, architecture et ce, pendant 400 cinq sites de Firouzabad sont liĂ©s au fondateur de la dynastie sassanide, Ardachir Ier son palais, la place forte de Qaleh Dokhtar et la ville circulaire de Gur, de m de diamĂštre, ainsi que les reliefs rupestres de l’investiture et de la victoire du roi, dans la vallĂ©e de Tang-i Ab. Les vestiges de Bishapour comprennent trois parties remarquables la ville antique circulaire créée par Shapur 1er, fils et successeur d’Ardachir, oĂč vivaient entre et habitants. On y trouve le temple d’Anahita et le palais de Shahpur 1er. Le site rupestre de Tang-e Chogan comprend des bas-reliefs et la grotte de Shapur abrite une statue de 6,7 m de hauteur sculptĂ©e dans une stalagmite, reprĂ©sentant finement le roi, Shapur monument de Sarvestan est aujourd’hui considĂ©rĂ© comme un temple du feu et non plus comme une structure palatiale. Il est caractĂ©risĂ© par une salle Ă  coupole centrale, deux couloirs Ă  colonnes, une cour intĂ©rieure et deux ayvans. Il tĂ©moigne d’une architecture de transition situĂ©e entre la fin de la pĂ©riode sassanide et la conquĂȘte arabe. Mexique la vallĂ©e de TehuacĂĄn-CuicatlĂĄn et son habitat originel de MĂ©so-AmĂ©rique La vallĂ©e de TehuacĂĄn-CuicatlĂĄn, qui fait partie de la rĂ©gion mĂ©so-amĂ©ricaine, est la zone aride ou semi-aride la plus riche en biodiversitĂ© de toute l’AmĂ©rique du Nord. ComposĂ© de trois Ă©lĂ©ments — ZapotitlĂĄn-CuicatlĂĄn, San Juan Raya et PurrĂłn —, ce site est l'un des principaux centres de diversification de la famille des cactus, trĂšs menacĂ©e au niveau mondial. La vallĂ©e abrite notamment les forĂȘts de cactus tubulaires les plus denses de la planĂšte, qui modĂšlent un paysage unique Ă©galement composĂ© d’agaves, de yuccas ou encore de chĂȘnes. Les traces archĂ©ologiques rĂ©vĂšlent par ailleurs un processus d'Ă©volution technique qui reflĂšte la domestication prĂ©coce des vĂ©gĂ©taux. La vallĂ©e prĂ©sente un systĂšme exceptionnel de gestion de l'eau constituĂ© de canaux, de puits, d'aqueducs et de barrages qui sont les plus anciens du continent et ont permis la sĂ©dentarisation de communautĂ©s vivant de l'agriculture. Texte Unesco CC by-sa IGO — Photos Cactus. © Diana Hernandez, CHAC, tous droits rĂ©servĂ©sLe site, d’une superficie d’environ hectares, est enclavĂ© au centre‑sud du Mexique, entre l’État de Puebla et l’État d’Oaxaca. Il se caractĂ©rise par la sĂ©cheresse de son climat. Et pourtant, comme sa vĂ©gĂ©tation, la diversitĂ© animale de la rĂ©gion y est impressionnante pour une zone aride et sĂšche, cette derniĂšre compte, notamment, de trĂšs nombreuses espĂšces animales endĂ©miques mammifĂšres terrestres, oiseaux, amphibiens et poissons ainsi qu’un nombre Ă©levĂ© d’espĂšces l’un des berceaux de la civilisation oĂč les traces d’occupation humaine remontent Ă  ans avant notre Ăšre, les vestiges retrouvĂ©s sur les sites archĂ©ologiques de cette vallĂ©e indiquent les premiers foyers de la domestication de l’agriculture maĂŻs. Ils tĂ©moignent de cette transition entre le ramassage du chasseur-cueilleur, Ă  l’agriculture ; celle-ci posant les fondements de la sĂ©dentarisation des sociĂ©tĂ©s, par ailleurs Ă©galement attestĂ©e par des peintures rupestres et des 2018, le Mexique compte 35 sites inscrits au patrimoine mondial, 28 culturels, 5 naturels et 2 mixtes. Il est le 7e pays au monde qui possĂšde le plus de sites classĂ©s Ă  l’Unesco. IntĂ©ressĂ© par ce que vous venez de lire ?
Lagazelle de Cuvier est d’ailleurs classĂ©e par la lĂ©gislation nationale parmi les espĂšces protĂ©gĂ©es, dont la capture, la dĂ©tention, la chasse et la vente sont interdites. Elle est protĂ©gĂ©e par la loi sur la protection des espĂšces de flore et de faune sauvages et le contrĂŽle de leur commerce (loi 29-05, adoptĂ©e en 2011), ainsi que par la loi relative au contrĂŽle de la
La solution Ă  ce puzzle est constituéÚ de 9 lettres et commence par la lettre A CodyCross Solution ✅ pour ENSEMBLE D'ESPÈCES DONT FAIT PARTIE LA GAZELLE de mots flĂ©chĂ©s et mots croisĂ©s. DĂ©couvrez les bonnes rĂ©ponses, synonymes et autres types d'aide pour rĂ©soudre chaque puzzle Voici Les Solutions de CodyCross pour "ENSEMBLE D'ESPÈCES DONT FAIT PARTIE LA GAZELLE" CodyCross Saisons Groupe 76 Grille 5 1 3 Partagez cette question et demandez de l'aide Ă  vos amis! Recommander une rĂ©ponse ? Connaissez-vous la rĂ©ponse? profiter de l'occasion pour donner votre contribution! CODYCROSS Saisons Solution 76 Groupe 5 Similaires ProtectionEspĂšce ProtĂ©gĂ©e. L'Oryx est un animal ruminant aussi appelĂ© Orynx, il fait partie de la famille des gazelles quoiqu'on la considĂšre souvent comme une antilope. Son corps mesure de 1.60 Ă  2.30 mĂštres et son poids de 200 Ă  225 kg. Il porte des cornes trĂšs droites mesurant 80 cm. Pointues comme des Ă©pĂ©es, les cornes
DĂ©finition de la concentration molaire Influence de la concentration molaire sur une solution DĂ©terminer une concentration molaire Concentration molaire et concentration massique Utiliser la concentration molaire pour calculer une quantitĂ© de solutĂ© Concentration molaire et dilution Concentration molaire et vaporisation Concentration molaire et saturation PrĂ©paration d’une solution ayant une concentration molaire donnĂ©e DĂ©finition de la concentration molaire La concentration molaire est une grandeur caractĂ©risant toute solution, elle reflĂšte la proportion d’une espĂšce chimique dissoute solutĂ© par rapport Ă  un solvant. La concentration molaire C d’une espĂšce chimique est le rapport de la quantitĂ© n de cette espĂšce chimique par le volume V de la solution, ce qui se traduit par la formule suivante C est en gĂ©nĂ©ral exprimĂ© en mole par litre mol/L, d’autres unitĂ©s sont envisageable mmol/L, mol/mL etc mais la mol/L est l’unitĂ© la plus courante la plupart des relations faisant intervenir la concentration molaire nĂ©cessitent cette unitĂ©. n est mole mol V est en litre L Remarques La notation C est souvent accompagnĂ©e d’une indication de l’espĂšce chimique conernĂ©e dont le nom ou la formule peut ĂȘtre mentionnĂ© entre parenthĂšses ou en indice. Le volume V utilisĂ© pour calculer une concentration molaire est celui de la solution et non celui du solvant mais lorsque la quantitĂ© de matiĂšre est faible on se permet souvent de faire l’approximation que le volume de la solution est le mĂȘme que celui du solvant. Lorsque le terme “concentration” est utilisĂ© sans prĂ©cision il fait en gĂ©nĂ©ral rĂ©fĂ©rence Ă  la concentration molaire et non Ă  la concentration massique. De mĂȘme si la notation “C” est utilisĂ©e sans prĂ©cision alors elle se rĂ©fĂ©re en gĂ©nĂ©ral Ă  la concentration molaire et non massique. Exemple Si une solution de 100 mL a Ă©tĂ© obtenue en dissolvant 0,050 mol de glucose dans de l’eau alors = 0,5 mol/L Influence de la concentration molaire sur une solution La concentration molaire peut avoir une influence sur l’aspect de la solution si le solutĂ© est une espĂšce chimique colorĂ©e alors la couleur est d’autant plus intense que la concentration de cette espĂšce est Ă©levĂ©e. Si l’espĂšce chimique dissoute Ă  un goĂ»t alors celui-si sera d’autant plus “fort” que la concentration est Ă©levĂ©e. Si l’espĂšce chimique dissoute est acide alors l’aciditĂ© de la solution sera d’autant plus forte et le pH d’autant plus bas que la concentration est Ă©levĂ©e. Inversement, si une espĂšce chimique est basique alors la basicitĂ© d’une solution sera d’autant plus forte et le pH d’autant plus haut que la concentration molaire est Ă©levĂ© Si l’espĂšce chimique dissoute est un rĂ©actif alors la rĂ©action sera d’autant plus rapide que la concentration est Ă©levĂ©e. DĂ©terminer une concentration molaire Par le calcul Si le volume de la solution et la quantitĂ© de matiĂšre alors la concentration molaire peut ĂȘtre calculĂ©e grĂące Ă  la relation qui la dĂ©finie comme le rapport de ces deux grandeurs Encadrement par une Ă©chelle de teinte Si l’espĂšce chimique dissoute est colorĂ©e alors il est possible de fournir un encadrement de sa concentration en rĂ©alisant une Ă©chelle de teinte la solution de concentration inconnue est comparĂ©e Ă  une sĂ©rie de solutions comportant la mĂȘme espĂšce chimique Ă  des concentrations connues dĂ©croissantes. Si sa teinte est intermĂ©diaire entre deux solutions plus claire que l’une mais plus foncĂ©e que l’autres alors les concentrations des ces deux solutions fournissent un encadrement de la concentration recherchĂ©e. Par un dosage Un dosage est une technique expĂ©rimentale qui exploite les propriĂ©tĂ©s chimiques ou physiques d’une espĂšce chimique afin de dĂ©terminer sa concentration, il est possible de rĂ©aliser des dosages pH-mĂ©triques, redox, conductimĂ©triques, spectrophotomĂ©trique.. Concentration molaire et concentration massique Chacune de ces concentrations reflĂšte la proportion de solutĂ© dissous dans une solution, la premiĂšre se rĂ©fĂšre Ă  la quantitĂ© de matiĂšre et la deuxiĂšme Ă  la masse. Il est possible de d’établir une relation entre les deux et d’exprimer l’une en fonction de le l’autre. Soit C la concentration molaire d’une espĂšce chimique dans une solution en mol/L Cm la concentration massique de cette espĂšce chimique dans la mĂȘme solution en g/L n la qantitĂ© de matiĂšre de cette espĂšce chimique en mol m la masse de l’espĂšce chimique dans cette solution en g V le volume de la solution en L M la masse molaire de l’espĂšce chimique en g/mol La concentration molaire est dĂ©finie par la relation suivante or donc or Donc La concentration molaire d’une espĂšce chimique correspond au rapport de la concentration massique par la masse molaire de l’espĂšce chimique On peut Ă©galement dĂ©duire la concentration massique Ă  partir de la centration molaire grĂące Ă  la relation suivante Cm = Cette formule indique que la concentration massique est le produit de la concentration molaire par la masse molaire de l’espĂšce chimique. Utiliser la concentration molaire pour calculer une quantitĂ© de solutĂ© Lorsqu’on dispose d’une solution de concentration connue il est possible d’exprimer la quantitĂ© de matiĂšre contenue dans la totalitĂ© de la solution ou dans un prĂ©lĂšvement de volume V Ă  partir d’une relation. Puisque par dĂ©finition On obtient la formule suivante n = Ce qui signifie que la quantitĂ© de matiĂšre d’un solutĂ© correspond au produit de sa concentration par le volume de solution. Utiliser la concentration molaire pour calculer un volume de solution Pour dĂ©terminer le volume Ă  prĂ©lever dans une solution pour avoir une quantitĂ© de matiĂšre donnĂ©e on peut adapter les relations prĂ©cĂ©dentes pour obtenir la formules suivante Concentration molaire et dilution Par dĂ©finition la dilution d’une solution aqueuse consiste Ă  lui ajouter du solvant sans modifier la quantitĂ© de matiĂšre totale qu’elle contient. Puisque la concentration de cette solution est donnĂ©e par la relation , l’augmentation du terme “V” sans variation de “n”indique que la concentration diminue La dilution d’une solution provoque une diminution de la concentration Par exemple si une solution est diluĂ©e en doublant le volume de solvant alors la concentration C2 de cette solution diluĂ©e est Doubler le volume solvant revient Ă  diviser la concentration par deux mais on pourrait aussi montrer que multiplier le volume par 3 conduit Ă  diviser la concentration par 3, multiplier le volume par 4 divise la concentration par 4 etc
. Puisqu’une dilution provoque une baisse de concentration il peut Ă©galement y avoir un Ă©claircissement de la teinte pour une solution colorĂ©e un gout salĂ©, sucrĂ©e ou autre moins prononcĂ© si le solutĂ© a un goĂ»t une baisse de l’aciditĂ© pour une solution acide une baisse de la basicitĂ© pour une solution basique etc Concentration molaire et vaporisation Une vaporisation conduit Ă  une perte de solvant et s’accompage d’une diminution du volume de la solution alors que la quantitĂ© de matiĂšre ne varie pas en gĂ©nĂ©ral le solutĂ© n’est pas vaporisĂ©. Une vaporisation a donc des consĂ©quences inverses de celle d’une dilution la concentration augmente la teinte s’assombrit le goĂ»t s’accentue etc Concentration molaire et saturation La concentration molaire que peut possĂ©der une espĂšce chimique dans un solvant donnĂ© est toujours limitĂ©e, lorsque cette limite est atteinte on dit que la solution est saturĂ©e et la concentration prend une valeur particuliĂšre elle correspond Ă  la solubilitĂ© de l’espĂšce chimique dans le solvant. PrĂ©paration d’une solution ayant une concentration molaire donnĂ©e La prĂ©paration d’une solution est en gĂ©nĂ©ral rĂ©alisĂ©e en suivant ce protocole Chercher une fiole jaugĂ©e dont la contenance V correspond au volume de solution que l’on souhaite prĂ©parer. DĂ©terminer la quantitĂ© de matiĂšre “n” nĂ©cessaire pour obtenir une concentration donnĂ©e “C” dans une solution de volume “V” n = DĂ©terminer la masse “m” de solutĂ© Ă  dissoudre m = M est la masse molaire du solutĂ© Si le solutĂ© est solide il est prĂ©levĂ© Ă  l’aide d’une spatule et placĂ© dans une coupelle ou directement dans un bĂ©cher. Le bĂ©cher placĂ© sur une balance et aprĂšs une tare remise Ă  zĂ©ro une masse “m” de solutĂ© est ajoutĂ©. La dissolution commence dans le bĂ©cher en ajoutant un volume de solvant largement infĂ©rieur Ă  celui de la solution. L’agitation se fait se fait de prĂ©fĂ©rence Ă  l’aide d’un barreau aimantĂ© et d’un agitateur magnĂ©tique. AprĂšs dissolution totale le mĂ©lange homogĂšne est transvasĂ© dans la fiole jaugĂ©e de volume V. Le bĂ©cher est rincĂ© avec le solvant puis versĂ© dans la fiole. Le solvant vient complĂ©ter la solution, il est ajoutĂ© jusqu’à ce que la partie infĂ©rieure du mĂ©nisque en surface coĂŻncide avec le trait de jauge. La fiole est ensuite agitĂ© avec un bouchon afin d’homogĂ©nĂ©iser la solution La solution est prĂȘte. Remarque Si le solvant est liquide il est nĂ©cessaire de dĂ©terminer le volume V’ Ă  prĂ©lever Ă  partir de la masse “m” dĂ©jĂ  calculĂ©e et de la masse volumique
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Cest possible. Car nombre d'animaux semblent prĂ©senter des conditions de sommeil propices aux envolĂ©es oniriques. Mieux : on commence Ă  deviner Ă  quoi ils rĂȘvent. Le chat se lĂšche Le 26 juin 2019, le Gouvernement du Niger a annoncĂ© la modification des limites de la plus grande rĂ©serve terrestre d’Afrique la RĂ©serve Naturelle Nationale de Termit et Tin-Toumma RNNTT. Cela fait suite aux pressions exercĂ©es par la China National Petroleum Corporation CNPC, dans le but de dĂ©classer la partie de la RĂ©serve qui se superpose Ă  3 blocs pĂ©troliers. Ce dĂ©classement entraĂźnerait la disparition d’une grande partie de la faune, et de certaines espĂšces trĂšs menacĂ©es, comme l’addax. Cette dĂ©cision intervient aprĂšs que le Niger se soit engagĂ© en novembre dernier avec NoĂ©, ONG française de protection de la biodiversitĂ©, dans une gestion durable et pĂ©renne de la RNNTT qui prĂ©voit de faire cohabiter exploitation pĂ©troliĂšre et prĂ©servation de la RĂ©serve Naturelle Nationale de Termit et Tin-ToummaPlus grande rĂ©serve terrestre d’Afrique avec une superficie d’environ km2 soit 3 fois la Belgique, la RNNTT se trouve Ă  l’est du Niger dans le Sahara. Elle est composĂ©e de grandes Ă©tendues de dĂ©sert, ainsi que du massif montagneux de RNNTT un site exceptionnel pour la biodiversitĂ©. Au total, la RNNTT accueille 130 espĂšces d’oiseaux et 17 espĂšces de mammifĂšres dont l’addax, une des antilopes les plus menacĂ©es au monde, qui n’existe plus que dans la RNNTT avec moins de 100 individus Ă  l’état sauvage. La RNNTT abrite de nombreuses espĂšces de faune et flore particuliĂšrement adaptĂ©es aux milieux arides telles que les gazelles dama et dorcas, le guĂ©pard, la hyĂšne rayĂ©e, le fennec
Reconnue par la communautĂ© internationale comme un site d’importance Ă  protĂ©ger, plus de 11 millions d’euros ont Ă©tĂ© investis pour sa prĂ©servation depuis 2003. Cet investissement a permis de confier la gestion dĂ©lĂ©guĂ©e de la RNNTT Ă  NoĂ© le 5 novembre 2018, avec pour objectifs la sauvegarde de la biodiversitĂ© et du patrimoine naturel ainsi que la sĂ©curitĂ© et le dĂ©veloppement communautaire des populations sociĂ©tĂ© pĂ©troliĂšre en opposition Ă  la RNNTTTrois blocs pĂ©troliers se superposent en partie Ă  la RNNTT. Vingt et un puits y sont en cours d’exploitation par la CNPC 4Ăšme sociĂ©tĂ© au niveau mondial en termes de chiffre d’affaires tous secteurs d’activitĂ©s confondus, et un olĂ©oduc rejoint la seule raffinerie du pays, situĂ©e Ă  Zinder, en traversant la RĂ©serve sur plus de 100 la crĂ©ation de la RĂ©serve en mars 2012, NoĂ© interpelle la CNPC afin de mettre en place des mesures environnementales et sociales et des mĂ©canismes de compensation selon des normes internationales prĂ©conisĂ©es par la communautĂ© internationale, par un grand nombre de banques d’investissement et par de grandes ONG internationales de conservation de la biodiversitĂ©. Cependant la CNPC n’a jamais rĂ©pondu aux sollicitations de NoĂ© alors que cette compagnie applique ces mĂȘmes normes dans son propre pays, la la signature de la gestion dĂ©lĂ©guĂ©e de la RNNTT Ă  NoĂ© le 5 novembre 2018, la CNPC a exercĂ© des pressions pour que les blocs pĂ©troliers situĂ©s au sein de la RĂ©serve soient soustraits de l’aire protĂ©gĂ©e afin de pouvoir poursuivre ses exploitations d’une partie majeure de la RNNTTLe 26 juin 2019, le Conseil des Ministres du Niger a annoncĂ© la modification des limites de la RNNTT excluant prĂšs de 45 000 km2 de l’aire protĂ©gĂ©e. Cette mĂȘme superficie serait reportĂ©e dans de nouvelles zones Ă  l’ouest, mais qui sont sans grand intĂ©rĂȘt dĂ©cision va Ă  l’encontre de la volontĂ© de la majoritĂ© des parties prenantes Ă  la gestion de la RNNTT, de la sociĂ©tĂ© civile qui s’inquiĂšte de l’absence de concertations et d’études prĂ©alables, des communautĂ©s et autoritĂ©s locales impliquĂ©es dans la prĂ©servation de leurs ressources solutions alternatives existent !Alors que la CNPC parvient Ă  faire dĂ©classer en partie l’un des derniers refuges de la faune sauvage africaine la condamnant Ă  court-terme, l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature UICN, sous prĂ©sidence chinoise, organise en France Ă  Marseille en juin 2020 le CongrĂšs Mondial pour la Nature ». La Chine accueillera Ă©galement la prochaine COP15 de la Convention pour la DiversitĂ© Biologique » en novembre 2020. Par ailleurs la Chine, avec la France, a pris des engagements en faveur de la lutte contre le changement climatique et contre l’érosion de la biodiversitĂ©, rappelĂ©s par leurs PrĂ©sidents Emmanuel Macron et Xi Jinping le 25 mars 2019 Ă  au regard de cet agenda et des engagements pris par la Chine, l’ensemble des parties prenantes Ă  la gestion de la RNNTT appelle Ă  mettre place un processus de concertation avec la CNPC pour ne pas dĂ©classer la RNNTT et Ă©tablir un cadre de collaboration bĂ©nĂ©fique Ă  la fois au Niger, aux populations locales, Ă  la CNPC et Ă  la biodiversitĂ©. LespĂšce a donc Ă©tĂ© observĂ©e dans des milieux steppiques sahariens essentiellement plats, une seule observation ayant Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e dans des steppes de collines. Contrairement aux observations faites au Niger (Grettenberger 1986), la gazelle dama au Maroc n'Ă©tait pas obligatoirement infĂ©odĂ©e aux milieux Ă 

TLFi AcadĂ©mie9e Ă©dition AcadĂ©mie8e Ă©dition AcadĂ©mie4e Ă©dition BDLPFrancophonie BHVFattestations DMF1330 - 1500 INDIVIDUATION, subst. d'un individu des autres de la mĂȘme espĂšce ou du groupe, de la sociĂ©tĂ© dont il fait partie; fait d'exister en tant qu'individu. Synon. implique l'Ă©goĂŻsme, la lutte pour l'existence, le droit de se dĂ©fendre et d'attaquer. La vie est un combat de chacun contre tous MĂ©nard, RĂȘv. paĂŻen,1876, p. 122.En chaque chose vit secrĂštement un germe de l'unitĂ© perdue et future, en mĂȘme temps qu'un principe d'individuation et de sĂ©paration BĂ©guin, Âme romant.,1939, p. 68.Le degrĂ© d'individuation diminue lorsqu'on Ă©tudie par exemple les sociĂ©tĂ©s animales infĂ©rieures madrĂ©pores oĂč il est parfois difficile de distinguer les parties du tout Legrand1972, individu.V. amitiĂ© ex. 6 1. ... la sociĂ©tĂ© devient plus capable de se mouvoir avec ensemble, en mĂȘme temps que chacun de ses Ă©lĂ©ments a plus de mouvements propres. Cette solidaritĂ© ressemble Ă  celle que l'on observe chez les animaux supĂ©rieurs. Chaque organe, en effet, y a sa physionomie spĂ©ciale, son autonomie, et pourtant l'unitĂ© de l'organisme est d'autant plus grande que cette individuation des parties est plus marquĂ©e. Durkheim, Divis. trav.,1893, p. 101.− SpĂ©cialement♩ EMBRYOL. ,,Processus d'induction qui aboutit Ă  la constitution de structures organiques complĂštes`` MĂ©d. Biol. t. 2 1971; Ă©galement ds Husson 1970 et ThinĂšs-Lemp. 1975. ♩ LING. ,,Processus par lequel un groupe se caractĂ©rise face Ă  un autre groupe grĂące Ă  des constances de l'activitĂ© langagiĂšre`` Ling. 1972; Ă©galement ds Greimas-CourtĂ©s 1979. ♩ PHILOS. RĂ©alisation d'une idĂ©e gĂ©nĂ©rale, d'un type, d'une espĂšce dans un individu. À l'Ă©tendue il est nĂ©cessaire d'ajouter quelque autre chose encore qui lui donne [Ă  la matiĂšre] la forme, l'organisation, la rĂ©alitĂ© et la vie, le fameux principe d'individuation, la forme substantielle de la scholastique [sic] pĂ©ripatĂ©ticienne Cousin, Hist. gĂ©n. philos.,1861, p. 4862. Ce que la doctrine thomiste de l'individuation a pour objet d'expliquer, c'est l'individuation mĂȘme, et rien d'autre. De ce qu'il n'y aurait pas d'individus s'il n'y avait pas de corps humains, il ne rĂ©sulte aucunement que ce soit le corps qui confĂšre Ă  l'individu sa dignitĂ© ni mĂȘme qui en dĂ©finisse l'originalitĂ©. Gilson, Espr. philos. mĂ©diĂ©v.,1931, p. 205.♩ PSYCHANAL. Processus de prise de conscience de l'individualitĂ© profonde, dĂ©crit par Jung. Tel qu'il est utilisĂ© par Jung, le terme [individuation] semble couvrir deux notions la prise de conscience qu'on est distinct et diffĂ©rent des autres, et l'idĂ©e qu'on est soi-mĂȘme une personne entiĂšre, indivisible, selon Jung, l'individuation est une des tĂąches de la maturitĂ© 3. Il [Jung] dĂ©couvrit ... l'influence des tensions nĂ©vrotiques des parents sur le dĂ©veloppement de la personnalitĂ© de l'enfant et insista sur le fait que l'Ă©ducation refoulait non seulement des tendances nuisibles mais des tendances qui font partie des meilleures possibilitĂ©s de l'individu, le forçant Ă  dĂ©vier de sa ligne vĂ©ritable et entravant aussi son individuation, c'est-Ă -dire la rĂ©alisation de lui-mĂȘme. Delay, Psychol. mĂ©d.,1953, p. et Orth. [Δ ̃dividÉ„asjɔ ̃]. Att. ds Ac. 1935. Étymol et Hist. 1551 Denis Sauvage [Du Parc], Trad. de la Philosophie d'amour de LĂ©on HĂ©breu, 55 ds Z. rom. Philol. t. 28, p. 729 l'individuation corporelle; 1754 principe d'individuation Formey, MĂ©l. philos., t. I, p. 485 ds Gohin, p. 266. Empr. au lat. le fait de devenir un individu ce qui fait qu'un ĂȘtre possĂšde une existence singuliĂšre »; principium individuationis xiiies., L. SchĂŒtz, Thomas-Lexikon; Blaise Latin. Med. Aev., cf. individuer. FrĂ©q. abs. littĂ©r. 37.

3il8i.
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  • ensemble d espĂšce dont fait partie la gazelle